Donc voilà, elle est là, ou du moins, un premier aperçu…

Les monteurs sont malins : on ne nous montre rien de Smaug, qu’on meurt d’envie de voir, et dont on peut parier qu’il ne sera que révélé tardivement dans toute sa beauté au cours de ce deuxième volet. Même sa voix n’est révélée qu’à la toute fin… Montrer le monstre, ou même le héros charismatique, et c’est satisfaire une attente, mais c’est aussi mettre fin à tout un effet d’anticipation du récit.