L’écriture ressemble à la prostitution. D’abord on écrit pour l’amour de la chose, puis pour quelques amis, et à la fin, pour de l’argent. – Molière

… mais est-ce mal, et cela signifie-t-il qu’on ne fasse pas ça bien, ou et même avec plaisir ?

Si c’est la vérité, alors je m’emploierai à être une geisha (et là, des images mentales d’horreur vous assaillent, qui vous accompagneront toute la journée. De rien).