La Succession des Âges : point d’avancement

Point d’avancement comme “faire le point”, pas comme “y a pas d’avancement”, hein. Haha. (Je l’ai déjà faite autrefois, et c’était exprès, olol.)

Que se passe-t-il dans les profondeurs du Studyoze (car c’est le nom véritable de mon nouveau bureau à Melbourne, où je bénéficie d’une surface respectable, et je parle de la pièce, pas de ma circonférence abdominale nourrie en burgers) en ce moment ? Où en est La Succession des Âges ? Est-ce qu’on le verra à un moment avant la fin du monde ?

Eh bien, auguste lectorat, les choses progressent plus ou moins au rythme défini, ce qui constitue un soulagement rien qu’en soi, pour tout avouer. Pour mémoire, je possède actuellement ça, oui, ça fait 20 cm de hauteur (bon, c’est en corps 14 et la plupart est imprimé sur du brouillon donc en recto seul, mais quand même). 3,2 millions de signes, parce que AHAHA tuez-moi s’il vous plaît. (Ça ne fera pas tout ça au final, hein. Ça sera GROS. Mais ça ne fera pas ce volume. Normalement. Mes manuscrits maigrissent toujours beaucoup aux corrections, et celui-là va perdre encore plus que la moyenne. Priez pour nos âmes.)

Mon héroïque et incroyable directrice d’ouvrage, Florence Bury, a besoin de temps à son tour pour digérer tout ça et effectuer les corrections éditoriales, donc le plan est le suivant :

  • Je corrige les 3,2 millions de signes sus-dits pour lui envoyer un maximum de chapitres que nous retravaillons, pendant que je…
  • … termine la rédaction des 800 000 derniers signes une fois que j’ai pris assez d’avance sur elle,
  • Pour viser la publication à l’automne 2024.

Nous avons fait ça sur tous les tomes précédents depuis le 2, et ça s’est toujours terminé correctement (quoiqu’un peu sur le fil parfois). Et aujourd’hui, où en suis-je ? Eh bien :

  • Relecture attentive et annotée du manuscrit existant : ✅
  • Réflexion de haut niveau sur ce qu’il faut reprendre et réarchitecturer : ✅ (autant que possible sans rentrer dans le détail)
  • Réécriture, envoi aux bêta-lecteurs pour validation avant envoi à Florence : chapitres 1 et 2 ✅

De longues semaines de corrections / réécriture (certains chapitres doivent être entièrement refaits, la faute à la complexité du projet) m’attendent maintenant. J’adore cette étape, je sais, presque tout le monde me regarde de travers, mais c’est un tel soulagement de voir enfin le tableau prendre sa forme finale, les pièces adopter leurs places définitives et de pouvoir, bon dieu, dire : “ça, c’est fini, c’est fixé”. Pour le meilleur ou pour le pire. Mais j’ai confiance dans le processus. Il ne m’a jamais fait défaut ; moi, en revanche, oui, et c’est justement là qu’il faut réécrire en profondeur.

Shit’s getting DONE. Yes.

2023-10-15T08:11:57+02:00jeudi 19 octobre 2023|Dernières nouvelles|2 Commentaires

Nouveau projet chez les éditions Argyll

Parce que tant que j’ai des mains qui marchent (quoique, vaut mieux marcher sur ses pieds), faut bien que je m’en serve, hein ?

Je suis ravi d’annoncer un nouveau projet à venir chez les toutes nouvelles éditions Argyll ! Si vous avez regardé la barre de progrès sur le côté… c’est le petit projet qui s’est glissé et qui avance très vite (et dont je parlais à mots couverts la semaine dernière…)

Alors minute hoplà une seconde, mais qui sont les éditions Argyll ? C’est un projet porté par Xavier Dollo, Simon Pinel, Xavier Collette et Frédéric Hugot :

Il s’agit d’une maison d’édition qui publiera dans les domaines de l’imaginaire, mais aussi du polar et du roman historique. Elle fait partie d’un projet plus large, qui comprend une librairie et un incubateur de projets, le tout fonctionnant en économie solidaire et sociale. Argyll se voit donc comme une maison d’édition éthique, ou du moins la plus éthique possible. 

Les tout premiers auteurs au catalogue seront Richard Cowper, Christophe Nicolas et Carol Emshwiller, excusez du peu. Pour en savoir plus, rendez-vous vers cet entretien détaillé chez ActuSF.

Quant à moi, ce que je peux dire sur ce qui se prépare :

  • Ce n’est pas de la fiction
  • Par rapport à d’habitude, c’est beaucoup plus bref (300 – 320 000 signes)
  • Ça sortira en mai 2021, à temps pour les Imaginales (en même temps que L’Impassible armada redux)
  • (Ce n’est pas lié à Obsidian ni à tous les workflows pour lesquels j’ai pu parler d’un superbe écrin la semaine dernière. Ça, c’est encore autre chose.)

Voilààààà

Et comme vous savez depuis le temps que j’ose tout, c’est même à ça qu’on me reconnaît, I am become meme, destroyer of Internets. Argyll m’avait demandé une photo avec le contrat signé, et puis… je ne sais pas ce qui s’est passé.

Évidemment, pendant ce temps, le travail sur La Succession des Âges avance et avance même beaucoup. L’écriture proprement dite devrait commencer en janvier, pour m’emmener jusqu’à l’automne à plein temps.

2020-12-08T11:28:39+01:00lundi 14 décembre 2020|À ne pas manquer|10 Commentaires

L’Héritage de l’Empire : où en suis-je ?

Il y a deux mois environ, je prévenais que les barres de progrès sur le côté risquaient d’être aussi fiables que celles d’une copie de fichier Windows : avec tous les soucis de 2020, je devais temporairement passer en mode corrections sur L’Héritage de l’Empire (« Les Dieux sauvages » 4) avant de terminer le premier jet – dont il ne reste, donc, pas grand-chose à écrire (mais tout créatif vous dira que le pas grand-chose de la fin nécessite autant d’énergie que tout ce qui précède). L’idée étant d’alimenter ma directrice d’ouvrage en parallèle à mon propre bouclage du manuscrit. Pas la manière idéale de travailler, mais quand vous avez passé deux mois manchot, il faut ce qu’il faut.

Cette opération est donc terminée (la correction, pas celle de la main, même si oui, aussi) – pour la petite histoire, j’ai supprimé du premier jet plus de 200 000 signes dans cette passe (une bonne centaine de pages), et les derniers chapitres sont actuellement évalués par les bêta-lecteurs. Histoire de refléter le processus, on est fou, on est dingue, une deuxième barre de progrès est apparue à droite, avec la rédaction du premier jet et les corrections du manuscrit en parallèle, histoire de tout suivre, parce que pourquoi pas.

Concrètement :

  • Il me reste 2-3 chapitres à écrire (qui mesureront entre 100 et 200 000 signes, ça tombe bien, je les ai récupérés) ;
  • Mes corrections personnelles sont pour ainsi dire terminées (il me restera à évaluer et à reprendre les derniers 3 chapitres une fois ceux-ci terminés) ;
  • La couverture est pour ainsi dire prête (et elle dépote) ;
  • Nous sommes dans les starting-blocks pour les corrections éditoriales.

2020 a été extrêmement compliquée pour tout le monde, et j’ai joué en plus cette année en mode hard (deux mois de chômage technique, des projets d’envergure, côté personnel, en train de se monter aussi – auxquels la situation mondiale ont hélas mis un coup d’arrêt temporaire, mais qui reprendront dès qu’on aura un vaccin, soit, si tout va bien, dans plus trop longtemps).

Nous faisons tout, tous, pour proposer un tome 4 qui qui déchire à l’automne, évitons pour l’instant de donner une date de sortie trop précise, mais, franchement, je pense qu’on en prend bien le chemin, et, pour des tas de raisons différentes, j’ai rarement eu aussi hâte d’apporter enfin ma validation finale à des épreuves.

Plus d’infos dès que ce sera possible !

2020-08-15T21:11:29+02:00mardi 18 août 2020|Journal|4 Commentaires

Passage temporaire en mode corrections pour L’Héritage de l’Empire

Si par extraordinaire vous surveilliez les barres de progrès du site, pas d’inquiétude si le premier jet de L’Héritage de l’Empire reste bloqué à 95% : pour arriver à tenir la date de publication en novembre, j’ai attaqué mes corrections, et je bouclerai ensuite la fin.

2020-06-06T21:23:34+02:00jeudi 11 juin 2020|Brèves|Commentaires fermés sur Passage temporaire en mode corrections pour L’Héritage de l’Empire

En mars : stage d’écriture intensif sur le conflit en narration

Auguste lectorat, fin mars (les 30 et 31), j’aurai le plaisir de proposer une nouvelle édition d’un stage intensif d’écriture qui me tient particulièrement à cœur, car il porte sur (à ce jour) un des outils les plus précieux à mon sens pour raconter une histoire, et c’est la notion de conflit. Le conflit ne recouvre pas, contrairement à ce que l’on peut croire, une simple notion hollywoodienne d’affrontement ; ça n’en est d’ailleurs que la version la moins intéressante. Le conflit, au sens narratif, est ce qui fait l’essence même d’une histoire : la raison pour laquelle on la raconte, et ce qui fait même ce que l’on va en raconter. Tous les personnages affrontent un conflit, de Frodon à Emma Bovary, et le cerner tient du super-pouvoir permettant, à tout le moins, de comprendre les points saillants de son récit – et donc, de moins lutter pour l’écrire. (J’ai dit “moins”, pas “plus du tout”, je ne suis pas JÉSUS NON PLUS HEIN, j’ai plus les cheveux, de toute façon.)

Cela se déroulera sur trois demi-journées intenses à l’excellente l’école Les Mots, à Paris.

Pour une bafouille plus officielle :

Bien des écoles de création littéraire américaine résument la notion d’histoire à celle de conflit. Où est l’adversaire ? Qui les personnages doivent-ils vaincre ? Mais cette notion est souvent mal comprise, résumée à une opposition binaire entre deux camps et à une confrontation souvent fondée sur la violence. Or, dans le contexte de la création narrative, elle est bien plus vaste : elle représente l’énergie fondamentale de tout récit, tandis qu’elle exprime, de façon globale, la notion de difficulté et de tension, qui sous-tend toute intrigue romanesque.

À la fois question préparatoire féconde et boussole pour s’extirper d’une impasse littéraire, la notion de conflit en narration forme un socle dont la compréhension profonde aide l’auteur à rendre ses récits plus efficaces, plus prenants, tout en simplifiant son travail en lui fournissant les questions cruciales qui l’aideront à progresser dans son histoire. Et, loin d’un affrontement binaire de film à grand spectacle hollywoodien, elle lui permettra au contraire, s’il le désire, de complexifier ses intrigues et ses personnages sans jamais sacrifier le suspense et l’intérêt du lecteur.

L’atelier s’organisera en temps d’écriture et de discussion (six exercices avec contrainte suivant un chemin qui se veut pédagogique, car je suis comme les Cylons, I HAVE A PLAN).

Pour en savoir plus et s’inscrire, rendez-vous sur la page dédiée de l’école ; attention, il ne reste déjà plus qu’une poignée de places, donc ne tardez pas si le stage vous intéresse.

2019-02-25T06:39:57+01:00lundi 18 février 2019|À ne pas manquer|6 Commentaires

« Les Dieux sauvages » comptera cinq volumes : pourquoi et comment

Couv. Alain Brion

Simon Pinel, directeur éditorial de Critic, l’a dévoilé en présentant le programme de publication de 2019 (dont La Fureur de la Terre, « Les Dieux sauvages » vol. III, fait partie) – donc je peux annoncer publiquement ce qui s’est profilé de plus en plus clairement en fin d’année dernière :

« Les Dieux sauvages » comptera cinq volumes et non pas quatre.

Bon, les premières réactions sur les réseaux sociaux ont été déjà très enthousiastes, donc c’est en tremblant moins qu’à la même époque il y a un an que je fais cette annonce (quand je disais qu’au lieu de trois, il y aurait quatre volumes). Sincèrement, ça me touche énormément de lire vos réactions à peu près toutes en mode « Bah c’est cool ! Ça en fera plus à lire ! ». Merci ! Vous êtes juste incroyables !

Mais bon, parce que j’aime bien lever le voile un peu sur ce qui se passe, je pensais expliquer / développer un peu pourquoi comment se fait-ce (tival).

Comment on passe de trois à cinq volumes au fil des ans

Très simplement : en sous-estimant l’envergure et l’ambition de son projet. Je n’en suis pas à mon coup d’essai, remarquez : « Léviathan », trilogie de thriller de fantasy urbaine, était parti pour être un roman seul. C’est donc devenu, hein, une trilogie (de bouquins assez épais, en plus).

« Les Dieux sauvages » est simplement une fresque immense, avec de six à huit points de vue différents dans chaque tome, qui évoluent, changent parfois, relatent tous les événements d’une transformation profonde du monde de cette époque, et avec tout ce que j’ai mis en mouvement, je ne peux tout simplement pas clore avec le même soin du détail cette histoire en trois ou même quatre tomes. Il m’en faut un cinquième. Ce qui m’assurera de conserver le même élan, de traiter toutes les promesses que j’ai faites dans les volumes précédents, de boucler chaque fil narratif comme il se doit ou, du moins, au mieux de ma compétence.

Je tiens à dire tout spécialement, à nouveau, un immense merci aux éditions Critic qui m’accompagnent et me soutiennent dans tous mes projets, y croient avec enthousiasme et les défendent bec et ongles. Pas un instant ils n’ont ne serait-ce que suggéré de boucler prématurément la série ou de la caviarder de quelque manière que ce soit – leur réaction a toujours été, fidèlement et résolument : « Écoute, ça fera le volume que ça fera. Tout ce qui compte, c’est que tu nous fasses de bons bouquins dont tu sois content. »

Et ça, auguste lectorat, ça n’a pas de prix. Parce que si je suis content, il y a une chance que vous aussi.

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Non, ce ne seront pas des livres coupés en deux

Là, c’est ma faute. Quand j’ai annoncé l’année dernière qu’il y aurait un volume de plus, j’étais tellement terrorisé à l’idée de prendre une volée de bois vert (« Tu as rompu le contrat de confiance qui nous unissait ! Tu es pire que Darty ! ») que j’ai tenu (contre le conseil de Simon, d’ailleurs) à expliquer que, hé, en fait, le tome 2 (Le Verrou du Fleuve) sera coupé en deux, ne m’en voulez pas, en vrai, je ne rajoute pas un bouquin.

J’ai tellement bien insisté dessus que cela s’est retrouvé dans des chroniques. Et celles qui le mentionnaient se déclaraient souvent un peu déçues par ce qu’elles percevaient comme, en effet, une première moitié de quelque chose, alors que celles à qui l’info avait échappé prenaient le livre avec un enthousiasme sans préjugé, au même titre que La Messagère du Ciel – soit simplement comme un volet d’une saga plus vaste.

Tu veux savoir l’ironie, auguste lectorat ? Au bout du compte, Le Verrou du Fleuve n’a pas été la première moitié d’un livre plus vaste. Effectivement, quand j’ai fait l’annonce (en septembre 2017), cela se présentait ainsi. Mais en bouclant le livre, cet aspect, justement, m’a sauté au visage. Une chose était claire : je n’en voulais pas.

Couv. Alain Brion

Et j’ai énormément bossé, ensuite, pour justement éviter cet écueil. J’ai complètement repensé le troisième acte du Verrou pour que ce volume ait sa propre unité et tienne debout par lui-même. Toute la fin publiée de ce livre n’a rien, mais alors plus rien à voir avec mes projets d’origine. Dans le grand ordre des choses, on s’est retrouvé à peu près au même endroit, mais je suis passé par des détours et des actions entièrement différentes, pour viser à plus d’efficacité dans le contexte d’un roman contenu (et, oserais-je dire, c’est devenu vachement mieux, en plus).

Encore une fois, c’est ma faute d’avoir répandu cette idée : qui peut-on croire si ce n’est l’auteur lui-même ? Je comprends donc évidemment que cela ait été repris et que cela ait teinté les attentes. Quand Le Verrou du Fleuve a pris sa forme finale, très différente, je n’ai pas pris soin de me corriger moi-même – à quoi bon, hein ? Qui lit ce que je raconte sur mes bouquins, de toute façon ?

Eh bien… il se trouve que pas mal de monde, en fait !

Donc, je le dis ici : la série ne se compose pas de livres coupés en deux parce qu’ils seraient trop longs. Chaque tome, chaque acte de la saga, est pensé comme une étape avec sa propre unité. Ce nouveau plan en cinq tomes, comme l’était le plan en quatre, correspond à une architecture différente de l’histoire que je voulais raconter, qui n’est pas l’histoire envisagée, mais l’histoire telle qu’il va falloir la raconter, dans les faits. Elle suit ses propres lignes de force, qui m’apparaissent peu à peu une fois que je fais le chemin avec tous ces personnages. De loin, je vois le parcours, je sais quelle est ma destination ; de près, je constate qu’on doit faire un détour par ici, par là, qu’il y a un ravin dans lequel il faut descendre, etc. Tout cela pour faire servir tous les événements qui se sont déroulés jusque-là dans l’histoire.

Donc, je sais toujours où je vais. Je suis juste agréablement surpris par le trajet que je prends pour y aller, et une chose est sûre, quand les personnages commandent… il faut les suivre. (C’est peut-être un des rares commandements cardinaux de ce métier.)

Découvrez le titre du cinquième tome

Bah vi, hé. Parce que bon, faisons-nous plaisir. Je l’avais dans un coin de ma tête, ce titre, mais je ne pensais pas m’en servir. Il se trouve que c’est une bonne chose qu’il tournait dans ma tête, au bout du compte.

Ce qui est amusant avec la manière dont l’écriture, cet espèce de dérapage incontrôlé livré à la conduite cinglée de son inconscient, se déroule, c’est que tous les titres de la série collent encore mieux que je ne l’avais prévu au déroulé réel de l’action. Ce qui sera le tome 4 – L’Héritage de l’Empire – correspondra encore mieux à cet intitulé que je ne l’avais imaginé. Ce qui est quand même super chouette et fait partie des moments presque mystiques de ce métier.

Bon, bref, j’arrête de causer.

Le volume 5 de « Les Dieux sauvages » s’intitulera La Succession des Âges.

Ce qui donne le plan final de la série :

  1. La Messagère du Ciel
  2. Le Verrou du Fleuve
  3. La Fureur de la Terre (printemps 2019)
  4. L’Héritage de l’Empire (automne 2020)
  5. La Succession des Âges (printemps 2022)

Merci

Merci encore pour votre suivi à toutes et à tous, et votre joie pour ainsi dire unanime en annonçant que la série se rallonge. J’ai un éditeur génial, mais j’ai aussi les meilleurs lecteurs du monde – c’en est la preuve. C’est une prodigieuse preuve de confiance et de joie que vous me faites, et je vais faire de mon mieux pour que « Les Dieux sauvages » vous emportent.

Au sens figuré, hein.

2019-04-23T18:01:06+02:00lundi 21 janvier 2019|À ne pas manquer|18 Commentaires

Toutes les interventions des auteurs seront rémunérées à Livre Paris (+ : c’est la journée internationale des femmes)

Splendide nouvelle, et merci à toutes les organisations et acteurs (avec la Charte des auteurs et illustrateurs jeunesse, présidée par Samantha Bailly, en fer de lance) : Livre Paris a annoncé que toutes les interventions, ateliers ET tables rondes, seront bel et bien rémunérées. Merci également à l’événement d’avoir su réviser sa position et comprendre la situation ! Cela valait bien un petit mot. Voir le bilan d’Actualitté ici.

Ce qui vaut bien un mot aussi, c’est qu’aujourd’hui c’est la journée internationale des femmes. L’année dernière, je voulais profiter de l’occasion pour dire un mot de Delia Derbyshire, mais je suis arrivé trop tard – cette fois, c’est fait. Delia Derbyshire était l’une des figures majeures, mais injustement oubliée, de la musique électronique et concrète : l’arrangement du thème célébrissime de Doctor Who, c’est elle. Je vous en dis quelques mots sur le blog Wildphinn.

2018-03-08T07:22:16+01:00jeudi 8 mars 2018|Alias Wildphinn, Le monde du livre|5 Commentaires

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