Les liens pour la BO de Psycho Starship Rampage rassemblés au même endroit

Juste un mot très rapide pour annoncer, au cas où, que l’organisation des liens d’achat et streaming de musique ont été rationalisés sur le site frère Wildphinn, sur le modèle du présent site (y a pas de hasard, ma bonne dame). Structuré par le même système (WooCommerce), la page de chaque sortie présentera les liens commodément rassemblés au même endroit (au lieu de l’ancien système d’albums et de pistes qui ne fonctionnait pas du tout). La page correspondant à Psycho Starship Rampage se trouve ici.

Sur ce, je pense que c’est à peu près bon pour la structure du site. Faudrait voir à régler les bugs de celui-ci, maintenant.

2017-02-21T15:32:49+01:00mardi 21 février 2017|Alias Wildphinn|Commentaires fermés sur Les liens pour la BO de Psycho Starship Rampage rassemblés au même endroit

Une nouvelle version du site ! (qui marche)

Note à moi-même : si je veux tester des trucs pour rire sur le site, le faire sur un serveur de test. Oui, je sais, c’est un conseil de débutant, mais… j’ai la flemme. Voilà, j’ai la flemme. Et puis les vrais mecs codent sur le serveur de prod, parce qu’ils ne font jamais d’erreur. Jamais.

Je laissais entendre depuis quelque temps que je réfléchissais à une nouvelle version du site, plus élégante et surtout plus extensible ; et mes “réflexions” de ce week-end ont donné un “OK, j’ai cassé plein de trucs. Maintenant, soit je prends une journée à tout réparer, soit je prends cette fameuse journée à installer cette fameuse nouvelle version”.

Suivant la loi habituelle de l’informatique, donc, ça m’a pris en réalité deux jours de quinze heures, de tâtonnements et d’arrachage de cheveux. (Enfin, non, ça, plus.)

Bienvenue donc sur la sixième version de ce site en une petite dizaine d’années. Le temps passe, ma bonne dame, ils nous dérèglent le DSLAM avec leurs maudits sites responsive.

Ce qui change

  • Si vous avez les mêmes goûts que moi, c’est plus beau et plus aéré. (C’est à chaque fois plus beau et plus aéré. Comment ça se fait ? Dans dix ans, on concevra des sites web avec deux lignes de texte sur un grand canevas blanc. On en revient toujours au haiku.)
  • Le site est maintenant entièrement compatible sans anicroches avec les terminaux mobiles, notamment les téléphones (en principe), ce qui était une épine dans son pied depuis les années 2010. Vous pourrez donc recevoir votre dose d’expériences en temps réel peinard sur la ligne 13. (Ah non, pardon, on a encore que de la 2G en France. Bon, bah dans le métro de Séoul et sa 4G, alors.)
  • Les pages des livres, des nouvelles, des ouvrages dirigés sont plus belles, mettent davantage les couvertures en valeur, proposent un aperçu rapide, bref, plein de trucs qui font zouif et pchut. Alors ça n’a l’air de rien, juste d’une différence d’allure, mais il y a derrière une énorme migration envisagée depuis un moment et qui permettra plein de développements.

Ce qui ne marche plus pour l’instant

“Non-régression », qu’il disait. Impossible de faire migrer dans l’intervalle d’autres parties du contenu, mais qui sont peu consultées et de toute façon insatisfaisantes en l’état actuel. Ça aussi, ça doit changer, et depuis un moment, mais on n’y est pas encore. Voici ce qu’on a perdu :

  • Les portails univers. Qui sont toujours en ligne mais cachés pour l’instant. Ils n’ont jamais été très pertinents en l’état, de toute manière, ils sont maintenant cassés en partie, c’est à refaire et intelligemment.
  • La revue de presse. Le système a toujours été bancal, de toute façon. Les renvois récents sont désactivés, mais il en traîne encore plein dans les archives du blog qui devront dégager. Un nouveau système est en place, qui nécessitera quelques soirées de maintenance et des imports à la main, mais le tout sera bien plus sensé.

Ce qui se profile à l’horizon

Avec les solutions précédentes, le site était coincé en partie du contenu avec des formats semi-propriétaires qui rendaient toute évolution difficile, voire impossible, car en fin de vie. Pour la présentation des livres, il y a une nouvelle solution bien plus robuste, et surtout bien plus modulaire car découplée de l’apparence du site. Cela signifie, dans les faits, que l’allure du site pour évoluer bien plus facilement à l’avenir sans rester coincé avec des parties vitales qui ne pourront plus suivre. Tout est indépendant.

  • La première réalisation, progressive, sera l’ajout d’une pseudo-boutique en ligne. Je dis pseudo car je ne vends rien moi-même : en revanche, il sera enfin possible de proposer une ribambelle de liens d’achat vers les plates-formes principales de vente en ligne et hors-ligne, pour le papier et le numérique, directement pour les livres concernés. Sans, donc, avoir à privilégier un revendeur plutôt qu’un autre (et ce ne serait certainement pas Amazon). Et, pour ça, il fallait une plate-forme prévue à cet effet, qui est vraiment la grosse évolution de cette v6 (ça n’a probablement l’air de rien, mais c’est en réalité très compliqué à gérer intelligemment1).
  • Ce qui sera inauguré par l’annonce officielle de plusieurs recueils en numérique. (Hint, hint)
  • Il y aura la refonte de la revue de presse, qui disparaîtra des flux habituels pour de bon et sera silencieusement intégrée aux ouvrages concernés.
  • Il y aura la refonte des portails univers. Qui seront, enfin et pour de vrai, des portails.
  • Enfin, un projet qui me chatouille de longue date, c’est la proposition d’une boîte à outils de l’écrivain. La technologie offre quantité d’outils qui font gagner un temps fou dans l’organisation des idées, la documentation, la recherche, que ce soit logiciel ou matériel. Et il y a toute la tendance moderne sur le lifehacking, les systèmes modernes de productivité dont nous avons parlé durant l’été 2013, et pour lesquels j’ai pu constater un réel intérêt. Une section de la pseudo-boutique proposera donc sans doute des liens vers un éventail d’outils triés sur le volet et robustes, liés à l’écriture et à l’organisation personnelle.

Enfin, si la question de vendre des choses en direct se présente (pas des livres ; plutôt des compilations d’articles du blog présentées de jolie manière pour une somme symbolique, peut-être des tirages photo d’art, etc.), ce sera possible.

  1. Pour les spécialistes dans la salle, en plus de changer le thème WordPress, la partie livres vient de passer sous Woocommerce, ce qui la découple d’un éventuel custom post type attaché à un thème (le problème que j’avais jusqu’ici et qui empêchait les migrations, même vers des versions ultérieures du même thème). Je viens en plus de découvrir Visual Composer, et c’est carrément de la magie vaudou.
2015-02-11T04:07:41+01:00mercredi 11 février 2015|À ne pas manquer|20 Commentaires

Le petit marchand de peluches

Voilà que je m’installe doucement à Tobermory et dans le travail qu’on attendra de moi : hier, malgré une période un peu agitée pour le Trust (travaux dans les bureaux, beaucoup de chantiers en cours, des imprévus), j’ai été formé à… tenir la boutique.

Pas le Trust lui-même, allons. Mais la vraie boutique de souvenirs que tient la fondation sur la rue principale de Tobermory. Toutefois, me suis-je aussitôt rendu compte, c’est loin de n’être qu’un simple point de vente dont la fondation retire des fonds bien nécessaires : c’est aussi un point d’eau pour les passionnés de faune marine, qui viennent s’informer, partager et signaler leurs informations (échouages, renconters en mer), et tout simplement entretenir leurs liens. En effet, la nature très découpée des côtes des Hébrides rend l’observation depuis la terre (et même en mer) très difficile et nécessite une forte coopération avec le public pour obtenir une vision un tant soit peu globale de ce qui se passe dans l’archipel.

La boutique est aussi un musée miniature et une aire d’éveil et de découverte pour enfants et adultes, où l’on peut découvrir des squelettes d’animaux marins en excellent état (notamment une baleine à bec de Cuvier complète) et écouter les vocalises des cétacés les plus courants dans les eaux écossaises (ce qui a donné lieu avec ma collègue, également volontaire, au blind test le plus spécialisé et nerdy qui soit – et je ne sais pas si je dois avoir peur d’avoir reconnu les vocalises de 75% des espèces dès la première écoute).

Bref, j’ai enfin la réponse à une question qui me taraudait depuis des années : bon dieu, mais à quoi servent tous ces fichus boutons ésotériques sur une caisse enregistreuse ? Pourquoi tous ces sigles sybillins ? Où suis-je, dans quel état j’erre, où TVA-t-on.

Aujourd’hui, après une matinée de briefing sur la faune des Hébrides et les différents intérêts en jeu (tourisme, pêche, défense…) et une après-midi de rédactionnel, je prépare mes affaires pour une première sortie en mer demain. Nous serons deux volontaires à représenter le Trust au cours d’une excursion touristique ; nous en profiterons pour répondre aux questions, nous efforcer de faire passer quelques informations, et je fourbis le matériel photo dans l’espoir d’étrenner mon nouveau zoom de guerre (100-400 4.5-5.6 L IS USM, pour les connaisseurs) avec de belles premières images, et d’autres à visée scientifique.

(Photos de la galerie toujours prises avec le portable, donc toujours pourries.)

2012-08-01T19:54:24+02:00mardi 10 juillet 2012|Carnets de voyage|14 Commentaires

Sortie du monastère

Hello World, auguste lectorat, chéri mon amour.

Tel le pilote abattu en vol, j’émerge des débris de mon appareil, non sans avoir, au cours d’une interminable lutte à mort, finalement brisé la résistance de mon manuscrit lors d’une interminable chute vers le sol. Celui-ci est maintenant rendu aux mains qui l’attendaient et je suis, comme qui dirait, dans l’attente.

Auguste lectorat, tu sais que mon amour pour toi est sans bornes, je vais à présent te révéler les dessous de l’édition. On nous imagine prenant des petit-déjeuners coûteux sur des terrasses de restaurant dont le nom comporte une combinatoire entre un lieu aux connotations délicieusement surannées (atrium / closerie / atelier / abri de jardin Ikea), une fleur (lilas / marguerite / jonquille / nénuphar / drosera carnivore) et/ou une ville lointaine au parfum chargé d’histoire (Prague / Madrid / Vienne / la Motte-Beuvron). En réalité, un auteur envoyant un manuscrit à son éditeur reçoit invariablement une réponse parmi les trois suivantes :

  1. OMONDIEU SAY GENIÂÂL ON VA FAIRE LE NOBEL
  2. Non mais qu’est-ce que c’est que cette bouse, vous vous êtes injecté quoi dans les veines, rendez-moi votre avance, je savais bien que vous n’étiez qu’un faisan, un imposteur, toute votre carrière jusqu’ici n’était faite que d’heureux hasards, je ne veux plus jamais entendre parler de vous, j’ai donné votre manuscrit à manger à mes dobermans, j’ai effacé à la Javel votre nom de mon carnet d’adresses, j’ai immolé vos mails par le feu après les avoir imprimés encore pour les percer de petites aiguilles empoisonnées au curare, vous avez totalement échoué dans votre choix d’orientation mon pauvre type (ça se termine généralement par l’assassinat désespéré d’une conseillère d’orientation de 3e qui n’a rien demandé à personne puisque, de toute façon, elle vous avait conseillé de faire une licence de maths)
  3. Bon, écoutez, c’est pas mal, y a de bonnes choses, mais aussi probablement pas mal de retravail, quand est-ce qu’on peut en discuter ?

Tout auteur rêve de 1. mais pense en réalité qu’il va recevoir 2., aussi pousse-t-il secrètement un soupir de soulagement quand il reçoit 3.

Sauf que – et c’est là le secret, auguste lectorat, le secret sur lequel repose toute l’édition, TOUTE L’ÉDITION TU M’ENTENDS – tout éditeur ayant sollicité un manuscrit à son auteur n’imagine jamais qu’il pourrait dire 1., ni 2. d’ailleurs, aussi n’a-t-il en réalité qu’une seule réponse à son répertoire : 3.

Je suis donc en train d’attendre mon 3. en étant persuadé que je vais recevoir mon 2., mais vois ce que je fais, auguste lectorat, j’exorcise, j’exorcise, j’exilerai ma peur, j’irai plus haut que toutes ces montagnes de douleur.

Du nouveau dans le tuyau

Victor n’est pas resté inactif pendant ce temps et les plus attentifs, pointus, fidèles, précis, obsessionnels – compulsifs (salut camarades, vous n’êtes pas seuls ici) parmi vous auront déjà remarqué les nombreux changements et améliorations qu’il a apporté – gloire à lui, qu’il en soit remercié, alors qu’il vole déjà vers d’autres cieux féconds, la reprise de ses cours :

  • Une boutique ! Buy buy buy ! Trouver les ouvrages n’est pas forcément facile avec les éditeurs indépendants et cette page permettra de trouver leurs coordonnées et sites facilement en un seul et même endroit, ce qui permettra d’alléger ces mentions ailleurs. Je précise que je ne suis affilié à rien ni personne et que nous avons essayé de favoriser les éditeurs et distributeurs les plus pratiques à l’utilisation pour vous.
  • Un nouveau carrousel en page d’accueil. L’ancien avait tendance à baver un peu partout sur les connexions lentes avant de se mettre correctement en place. Le nouveau est plus sleek, plus clean, plus wiz.
  • Diverses réorganisations et améliorations un peu partout : pour la présentation des nouvelles, la bio, les pages livres sont refaites, etc.

Les aperçus de chaque article vont également recevoir des petites zimages fixes en fonction de la catégorie pour plus de clarté sur la page d’accueil. Les voici les voilou :

Il y a encore deux ou trois trucs à polir mais la plate-forme atteint plus ou moins sa forme définitive pour un petit moment. Bonne visite à tous !

2011-02-15T13:04:45+01:00mardi 15 février 2011|Actu|8 Commentaires

Titre

Aller en haut