La Messagère du Ciel en musique, suite ! Chapitre 2 – Izara

Jérôme Marie continue, infatigable, à adapter « Les Dieux sauvages » en musique, et je suis renversé par sa capacité à sentir ce que le texte ne dit pas, mais qui se dévoilera à terme (y compris des développements figurant pour l’instant dans La Succession des Âges). Merci à lui pour ce travail pharaonique qui m’honore – voici donc l’introduction d’Izara (chapitre 2).

➡️ Pour mémoire, tous les morceaux sont compilés au fur et à mesure sur cette page.

2024-01-20T08:15:00+01:00mercredi 17 janvier 2024|À ne pas manquer|Commentaires fermés sur La Messagère du Ciel en musique, suite ! Chapitre 2 – Izara

Deux nouvelles mises en musique pour La Messagère du Ciel

Jérôme Marie est incroyable ! Il est en train d’adapter La Messagère du Ciel littéralement scène par scène, ce qui représente une œuvre pharaonique, je peux vous le dire. Après le premier chapitre entre Ailleurs et Mériane, il dévoile deux thèmes, un pour Juhel, un pour Erwel, suivant la structure du chapitre 2 :

C’est vraiment incroyable de voir son histoire réimaginée avec un langage totalement différent, et pourtant tellement adapté. Je suis extrêmement reconnaissant et enchanté ; mille mercis à Jérôme Marie, d’autant que même si je pratique ce langage aussi, je crois bien que je serais incapable d’adapter une de mes histoires. Pour moi, cela revient à deux domaines totalement différents. Pour l’heure, en tout cas.

Il convient bien sûr de ne pas perdre ces œuvres dans le flot du blog, donc elles seront au fur et à mesure rassemblées sur une page dédiée que voici que voilà :

➡️ La Messagère du Ciel – adaptation musicale

2023-12-06T06:34:20+01:00jeudi 16 novembre 2023|À ne pas manquer|Commentaires fermés sur Deux nouvelles mises en musique pour La Messagère du Ciel

Le premier chapitre de La Messagère du Ciel mis en musique

Jérôme Marie est déraisonnable mais aussi merveilleux, comme bien des artistes déraisonnables : après sa mise en musique du prologue de La Messagère du Ciel, le voilà qui revient avec une adaptation du premier chapitre en 15 minutes ! Je ne saurais vous dire combien je suis honoré d’un tel travail !

Mille mercis au maestro pour son œuvre, à écouter et réécouter ci-dessous. Vous vous souvenez de… ?

2023-12-20T08:34:51+01:00mardi 7 novembre 2023|À ne pas manquer|Commentaires fermés sur Le premier chapitre de La Messagère du Ciel mis en musique

La musique du mercredi prend La Messagère du Ciel comme inspiration

C’est toujours un honneur et un privilège de voir comment mes humbles histoires peuvent faire leur chemin dans l’esprit des autres : Jérôme Marie, qui m’avait déjà fait la joie de composer une trilogie musicale pour « Léviathan », revient avec Ailleurs, un incroyable morceau d’ambiance inspiré de « Les Dieux sauvages ».

Un immense merci pour cette œuvre, qui épouse à la perfection ce que j’imagine des zones instables ! Armez-vous, abandonnez toute espérance, et osez vous aventurer dans les forêts inexplorées de Rhovelle, peut-être au contact des ruines contaminées d’Asrethia…

2023-11-06T08:19:23+01:00mardi 17 octobre 2023|À ne pas manquer|Commentaires fermés sur La musique du mercredi prend La Messagère du Ciel comme inspiration

La Messagère du Ciel en route pour son cinquième retirage

Je n’en reviens toujours pas, que cette série (qui devait être un projet relativement contenu avant les sagas plus longues relatives à Évanégyre – AHEM) ait réussi à faire un tel chemin dans vos cœurs et vos esprits.

Couv. Alain Brion

La Messagère du Ciel, « Les Dieux sauvages » 1 est donc en route pour son cinquième (cinquième !) retirage depuis sa sortie en 2017. Merci à toutes et tous de votre enthousiasme et de votre fidélité.

On va très joliment boucler cette série avec La Succession des Âges, promis.

2023-04-13T09:06:16+02:00mardi 11 avril 2023|À ne pas manquer|Commentaires fermés sur La Messagère du Ciel en route pour son cinquième retirage

7h30 d’interviews auteurs pour les Imaginales…

… dont mon humble pomme (sans App Store).

L’Archipel Numérique, à travers son émission Les Littéranautes sur Twitch, a réalisé une couverture titanesque des Imaginales la semaine dernière : notamment 7h30 de live, avec des tas d’interviews d’auteurs et autrices, réalisées en studio ou même dehors, permettant d’entrevoir le cadre de ce festival un peu spécial qu’on a drôlement attendu… 

Comme toujours avec Twitch, les rediffusions seront disponibles pendant un temps assez limité sur le service, mais une partie des vidéos ont été exportées vers YouTube, où leur durée de vie est largement supérieure. Pour voir tout ça, rendez-vous sur :

Et pour ma propre pomme, donc, ça peut être par exemple ci-dessous ; l’enregistrement réalisé avant le festival a été l’occasion de discuter d’écriture, de représentation dans la fiction, et se clôt par une courte lecture de La Messagère du Ciel. Merci à Laurent et François pour leur disponibilité avant l’événement !

2021-10-18T17:13:48+02:00mercredi 20 octobre 2021|Entretiens|Commentaires fermés sur 7h30 d’interviews auteurs pour les Imaginales…

L’inconscient sait ce qu’il fait (mais surtout, le Mystère pilote tout)

Victor Hugo a passé plus de deux ans à faire du spiritisme. Les messages qui, disait-il, lui étaient transmis étaient inspirés et grandioses ; il n’était guère difficile de les imaginer dictés par l’esprit de Shakespeare ou de Châteaubriand… à moins que ce ne soit Hugo lui-même qui les ait écrits sous le feu d’une connexion directe avec son inconscient, les pensant, de bonne foi, venus d’ailleurs.

Un type avec une tête très très lourde. Est-ce à lui que l’on doit la pose de l’auteur pensif en photo de presse ?

J’en parle un peu dans Comment écrire de la fiction ?, mais tous les auteurs avec qui j’en discute – à commencer par moi – parce que je discute avec moi – arrêtez de me regarder bizarrement – ont une relation fascinante, curieuse, avec leur imaginaire, leur inconscient ; c’est un objet vécu comme extérieur, qu’il faut cajoler pour qu’il amène à la conscience ou du moins à la possibilité de l’exécution la réalité d’une œuvre en devenir. Les anciens parlaient évidemment de Muse, mais Steven Pressfield aussi ; pour Elizabeth Gilbert, les idées sont une forme de vie qui cherchent à s’incarner. On a parlé dans ces articles de l’auteur (ou du créateur au sens large) vu comme un ou une chaman·e, et j’ai livré une histoire extrêmement troublante où mon inconscient avait inexplicablement préparé le terrain pour une histoire contenue dans une autre, alors que j’étais persuadé de ne jamais revenir à cet événement (et que j’avais même tout écrit pour que ce soit impossible).

Personnellement, j’appelle cela le Mystère. Je ne sais pas ce que c’est : la Muse ? Mon inconscient ? Une réalité parallèle ? La voix des anges ? L’esprit de Shakespeare ? (yeah, baby) Tout ce que je sais, c’est que je ne peux y accéder directement, que cela m’est donc extérieur (et ma relation avec la chose m’intéresse beaucoup plus que la nature d’icelle ; si le Mystère veut rester mystérieux, je le respecte). Je dois réussir à collaborer avec, en mettant en ordre “l’île de mon tonal” (comme dirait Castaneda), soit le plateau de ma volonté consciente. En revanche, je suis le seul capable à canaliser ce que le Mystère me murmure, de la même manière que tous les autres auteurs et autrices sont seul·es capables de canaliser ce que le Mystère leur murmure à eux et elles. Nous sommes des prismes, chacun et chacune réglé·es différemment, et surtout, c’est d’abord notre travail assidu et délibéré qui distille la lumière. (Sans ça, il n’y a rien.)

Or, en écrivant « Les Dieux sauvages », je suis tombé sur deux nouvelles coïncidences incroyables, imprévisibles, dont je promets qu’elles sont entièrement inconscientes.

Il se trouve que “messagère du Ciel” était un titre plus rare et moins connu de Jeanne d’Arc. Je n’en savais fichtre rien, et je ne crois pas avoir jamais croisé cette appellation, d’autant plus que le titre d’origine prévu pour le roman était “La Messagère de Wer” (puis “La Fureur d’Aska” et “L’Héritage d’Asrethia”, à l’époque où c’était prévu comme une trilogie, et que j’ai décidé de supprimer de mes titres ces noms propres qui ne diraient de toute façon rien à personne. Évitez les noms propres dans les titres. Personne ne sait de qui vous parlez).

Et je viens de découvrir que Nehyr signifie “lumière divine” en araméen. Spoiler : je cause pas araméen. Au cas où vous vous poseriez la question, hein.

La part rationnelle en moi dit : si l’on évolue dans le domaine d’une élue divine venue changer les temps, il n’est pas complètement absurde de retomber sur un titre identique de par les voisinages symboliques. La part rationnelle en moi dit : si l’on prend un ensemble de phonèmes facilement prononçables par la bouche humaine (comme un nom) et qu’on balance ça dans un moteur de recherche, la probabilité de tomber sur une signification éloquente est loin d’être nulle.

La part non-rationnelle en moi dit : wooooooh c’est cool (et un peu flippant aussi). Okay, Mystère. Je vais faire mon possible pour écouter. Avec mes tripes. Parce que les tripes sont l’oreille du Mystère.

Et je dis : je pose ça là, à vous de voir.

2021-01-17T18:52:59+01:00mardi 19 janvier 2021|Journal, Technique d'écriture|8 Commentaires

-50% sur toutes les portes d’entrée à Évanégyre en novembre

Le saviez-vous ? Non, et vous avez bien raison, mais novembre c’est mon anniversaire, et donc, cadeau de la part de Critic !

Non, en fait il n’y évidemment aucun rapport : c’est à l’occasion de la sortie de L’Héritage de l’Empire (« Les Dieux sauvages » IV) le 20 novembre, et donc : quasiment tous les livres pouvant servir de porte d’entrée à l’univers d’Évanégyre – rappelons que les ensembles narratifs sont indépendants les uns des autres – sont à -50% en numérique jusqu’au 30 novembre.

Plus en détail :

La Route de la Conquête

Couv. François Baranger

On la surnomme la Faucheuse. Débarquée trente ans plus tôt dans le sud, la généralissime Stannir Korvosa assimile méthodiquement nations et tribus au sein de l’Empire d’Asreth, par la force si nécessaire. Rien ne semble résister à l’avancée de cette stratège froide et détachée, épaulée par des machines de guerre magiques.

Parvenue à l’ultime étape de sa route, elle est confrontée à un nouveau continent – un océan de verdure où vivent des nomades qui ne comprennent pas les notions de frontières ou de souveraineté. Elle doit pourtant affirmer l’autorité impériale car, dans le sous-sol de la steppe, se trouvent des ressources indispensables pour Asreth. Mais après une vie de conquête, Korvosa pourrait bien rencontrer la plus grande magie qui soit… et affronter un adversaire inédit : le pacifisme.

Lauréat du prix Exégète 2015

Finaliste du prix Elbakin 2015 / Finaliste du prix Imaginales 2015 / Finaliste du prix Mythologica 2016

➡️ Plus d’informations et commander

Port d’Âmes

Couv. François Baranger

Rhuys ap Kaledán est un héritier déchu.

Tout juste libéré de la servitude et des galères, il rejoint la cité franche d’Aniagrad, où tout se vend et tout s’achète, pour reconquérir l’honneur de sa famille. L’occasion lui en est rapidement donnée : Edelcar Menziel, un ancien ami de son père, lui propose de travailler sur la conversion dranique, un procédé perdu depuis des siècles qui permettrait de réaliser des machines magiques.  Résolu à tracer son chemin dans la haute société de la ville,  le jeune homme s’investit de tout son cœur dans le projet.

Mais bientôt, coincé entre des intrigues politiques et son amour pour une mystérieuse jeune femme qui vend des fragments de son âme pour survivre, Rhuys découvre que le passé recèle des secrets bien sombres et tortueux. Aux prises avec l’ambition, la duplicité et le mensonge, il devra se montrer plus rusé que ses ennemis s’il veut atteindre son but sans perdre son âme.

Finaliste du prix Imaginales du roman / Finaliste du prix Imaginales des lycéens / Finaliste du prix Elbakin.net

➡️ Plus d’informations et commander

La Messagère du Ciel (« Les Dieux sauvages » I)

Couv. Alain Brion

(Si vous voulez vous mettre à la série, c’est évidemment celui-là qu’il vous faut)

Mériane est une trappeuse, une paria, une femme. Autant de bonnes raisons d’en vouloir aux Dieux qui ont puni le peuple de la Rhovelle pour les fautes de ses aïeux. Car depuis la chute du glorieux Empire d’Asrethia, le monde est parcouru de zones instables qui provoquent des mutations terrifiantes, les gens ont faim, et une religion austère qui prêche la haine des femmes soutient un système féodal.

Pourtant, quand les Dieux décident de vider leur querelle par l’intermédiaire des humains, un rôle crucial échoit à Mériane. Pour elle débute une quête qui la verra devenir chef de guerre et incarner l’espoir de tout un peuple.

Prix Elbakin 2017 du meilleur roman de fantasy français

Prix Imaginaire Découverte 2018 des Petits mots des libraires

Présélection du prix littéraire de l’imaginaire Booktubersapp

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Comment choisir ?

En prenant les trois, bien entendu ! Quoi, comment ? Davantage de précisions ? Okay. Faisons extrêmement simple, en mode TL;DR. Vous voulez :

  • Une saga, épique, restant globalement dans les codes de la fantasy : La Messagère du Ciel.
  • De l’épique, mais en tome indépendant, à la frontière entre fantasy et SF, dans les territoires du planet opera : La Route de la Conquête.
  • Un roman indépendant, plus intimiste et initiatique, dans une ambiance pré-révolution industrielle : Port d’Âmes.
2020-11-30T18:33:04+01:00mercredi 11 novembre 2020|À ne pas manquer|2 Commentaires

La Messagère du Ciel et Le Verrou du Fleuve réimprimés

Couv. Alain Brion

… et comme un bonheur n’arrive jamais seul (ah bon ? D’où ça vient ? Qui a décrété cela ? Et est-ce vraiment bien optimal, puisque cela veut dire que l’on concentre des bonheurs par paires sur un effectif plus réduit de la population alors qu’on pourrait les distribuer plus largement ? Enfin – je ne me plains pas, on est d’accord !), les illustres éditions Critic annoncent que La Messagère du Ciel et Le Verrou du Fleuve (« Les Dieux sauvages » 1 et 2) sont réimprimés (…  pour la deuxième fois, dans le cas de La Messagère du Ciel !)

Merci à toutes et tous pour votre enthousiasme incroyable pour cette série. J’avoue que je n’imaginais pas, tandis que je construisais l’ossature de l’épopée de Mériane au passage en écrivant les premières moutures de Port d’Âmes il y a plus de dix ans, qu’on en serait là aujourd’hui.

Pour mémoire, après la longue écriture du tome 4, il y a plein de « Dieux sauvages » en ce moment :

En espérant qu’on puisse au maximum se revoir en personne pour que je vous le présente de mes mains hydroalcoolisées, puissent les dieux sauvages vous laisser tranquilles !

2020-10-18T20:21:17+02:00mardi 20 octobre 2020|Dernières nouvelles|Commentaires fermés sur La Messagère du Ciel et Le Verrou du Fleuve réimprimés

La Messagère du Ciel (« Les Dieux sauvages » 1) est disponible en poche !

Je l’ai eu en avant-première aux Aventuriales il y a dix jours : il est beau, il tient bien en main, il est épais comme il faut.

Couv. Georges Clarenko

Je suis ravi de pouvoir annoncer que La Messagère du Ciel, tome 1 de la saga « Les Dieux sauvages », est disponible en poche chez Folio SF ! Commandable dans toutes les librairies, et si la Providence nous donne encore quelques salons, je l’aurai évidemment en dédicace.

Merci à toutes les équipes de Gallimard, à Georges Clarenko, illustrateur de cette édition qui fait nettement ressortir le côté dark fantasy de la saga, à toutes celles et ceux qui ont accompagné ce projet… et à vous qui l’avez aimé et suivi !

Et si vous voulez le gagner, le site de référence Elbakin.net, en partenariat avec Folio SF, vous propose d’en gagner 10 exemplaires jusqu’au 11 octobre ! Pour cela, rendez-vous sur cette page pour répondre à des questions qui ne devraient pas être trop difficiles si vous lisez ceci… (Même moi j’y arrive !)

2021-06-02T18:26:19+02:00jeudi 8 octobre 2020|À ne pas manquer|2 Commentaires

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