Procrastination podcast s05e10 – Vivre la critique

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Deux semaines ont passé, et le nouvel épisode de Procrastination, notre podcast sur l’écriture en quinze minutes, est disponible ! Au programme : “s05e10 – Vivre la critique“.

La critique positive, c’est merveilleux ! La critique négative, ça l’est un peu moins. Et se faire descendre en flammes, ça ne fait pas beaucoup plaisir. C’est de ces deux derniers cas dont il est question : quels sont les types de critiques négatives, comment peut-on les recevoir, que peut-on en retirer – et que refuse-t-on ?
Lionel commence par rappeler qu’aucune œuvre porteuse de sens ne peut, ni ne devrait chercher à faire l’unanimité ; des retours négatifs viennent asseoir les retours positifs (tant que la proportion est favorable…). Estelle appuie que l’art, c’est tout sauf l’ennui ; et que des critiques négatives peuvent être même révélatrices du bien-fondé d’un projet quant à l’esprit du temps. Mélanie aborde les chroniques que l’on ne peut accepter : la mauvaise foi, et celles qui insistent pour voir dans une œuvre autre chose que son propre projet.

Références citées
– Fight club, Chuck Palahniuk, adapté au cinéma par David Fincher
– Joe Michael Straczynski
– Comme par Magie, Elizabeth Gilbert

Procrastination est hébergé par Elbakin.net et disponible à travers tous les grands fournisseurs et agrégateurs de podcasts :

Bonne écoute !

2021-02-12T18:03:35+01:00lundi 1 février 2021|Procrastination podcast|2 Commentaires

Une première tentative de remix (et les leçons qui vont avec)

deadmau5-remix-contestVoilà donc, tandis que je sors peu à peu du placard concernant le versant musique électronique de mes activités (avec notamment la bande-originale et le sound design du jeu Psycho Starship Rampage, projet qui avance bien et sur lequel je devrais bientôt pouvoir en dévoiler davantage), je tente quelques expériences. Je n’ai jamais trop eu la culture remix, car, en toute honnêteté, cela m’échappe toujours un peu : loin de moi l’idée de minimiser l’aspect collaboration et expérience – mais, en-dehors de ces bénéfices précis, pourquoi ne pas produire plutôt, la plupart du temps, quelque chose d’original et de personnel ?

Néanmoins, j’ai toujours envie de comprendre, alors, quand un concours basé sur un des artistes les plus intéressants en électro à l’heure actuelle à mon sens – deadmau5 – s’est présenté, je me suis dit que c’était justement l’occasion d’apprendre deux ou trois trucs et de finir, pour une fois, une vraie tentative au lieu de la laisser en plan comme toutes les précédentes. Si cela t’intéresse et pour changer un peu d’univers, auguste lectorat, tu trouveras l’original à remixer ici, et mon humble tentative là.

Honnêtement, c’est surtout pour le partage plutôt que pour l’ambition, et je ne t’appelle certainement pas au vote, auguste lectorat (sauf si tu en as envie et que tu as un compte Beatport, deux probabilités qui me semblent de toute façon assez faibles) car je ne considère pas cela totalement abouti ; je n’ai pas eu le temps de finaliser proprement le master (et je ne pouvais pas passer toute la semaine dessus). L’expérience a quand même été instructive :

  • Remixer un morceau qu’on aime n’est pas l’idée du siècle, puisqu’on trouve forcément difficile d’apporter du nouveau à quelque chose qu’on trouve déjà abouti ;
  • Dans un délai court, il vaut mieux tenter de partir dans un genre préétabli et de s’amuser à en subvertir les codes pour organiser leur rencontre avec le morceau à remixer. Si j’avais fait cela, j’aurais probablement gagné du temps et terminé avec un résultat plus léché, au lieu de faire comme quand je produis – expérimenter. Il me semble difficile d’expérimenter librement quand on doit oeuvrer, justement, dans la contrainte d’un original comme base.

Mais toute leçon n’est jamais perdue, eh ? Alors, c’est une bonne expérience.

Pour mémoire : l’original à remixer / mon humble tentative.

2015-01-27T12:29:28+01:00mercredi 28 janvier 2015|Alias Wildphinn|9 Commentaires

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