Scrivener 3 est disponible sous Windows

ÇA Y EST

À l’issue de presque trois ans d’attente après la sortie de la version Mac, la nouvelle version de Scrivener est enfin disponible pour les masochistes qui persistent à utiliser Windows (ALLEZ-Y BALANCEZ-MOI VOTRE HAINE JE M’EN FOUS J’AI UN GILET PARE-BALLES) :

J’utilise la v3 sous Mac depuis sa sortie, et que vous dire dessus ? Ce n’est pas une révolution fondamentale, mais c’est un coup de jeune amplement bienvenu, avec des myriades de raffinements dans tous les coins et surtout une grande simplification de l’étape de compilation. (Ça reste quand même un peu velu hein, mais disons que ça l’est moins. J’ai réussi à m’en tirer pour les besoin de Comment écrire de la fiction ? presque sans regarder le manuel.) Literature and Latte offre une réduction pour ceux et celles qui possèdent la v2 de l’application, et franchement, pour un outil aussi central de production de l’écrit, faire la mise à jour s’impose, surtout pour le prix extrêmement raisonnable que coûte ce logiciel professionnel.

Ci-dessous, un résumé des nouveautés de la version Windows (source) :

The interface has been overhauled and modernised.

Compile has been redesigned and is now not only easier to use but also more flexible.

The text system now has a full styles system (which is even more powerful when used with the new Compile).

View index cards on coloured threads based on label colour (great for tracking different storylines or anything else).

Improved ebook export.

Keep track of how much you write each day using Writing History.

Improved Custom Metadata allows you to add checkboxes, dates and list boxes to the Inspector and outliner.

Enhanced outlining.

Refer to up to four documents in the main window using the new “Copyholders” features.

Quickly find any document in your project using the new Quick Search tool.

See draft and session progress bars in the toolbar.

Dediated Dark Mode along with numerous other visual themes.   

The powerful new Bookmarks feature replaces Project Notes, References and Favorites, and allows you to view oft-needed documents right in the Inspector.

Use “Dialogue Focus” to pick out all the dialogue in your text.

➡️ Tester et acheter Scrivener

De manière générale, si l’envie d’acheter cet outil (ou l’un des autres présentés sur ce site) vous vient, n’oubliez pas de passer par les liens proposés ici – vous contribuez à financer le temps passé à rédiger ces articles gratuitement. Merci ! 

2021-04-03T12:21:36+02:00mercredi 7 avril 2021|Technique d'écriture|2 Commentaires

À télécharger : les présentations de la masterclass des Imaginales (mises à jour)

Depuis plusieurs années, le festival Imaginales d’Épinal propose une masterclass que nous avons le plaisir d’animer, Jean-Claude Dunyach et moi : “Corriger son manuscrit et envisager l’édition“. Une journée intense d’échanges et de conférences autour de la narration, de ses particularités dans le cas des littératures de l’imaginaire, des défis de la correction de ses propres écrits et des relations avec le monde éditorial.

Nous nous efforçons, Jean-Claude et moi, d’étoffer chaque année un peu plus notre discours en fonction des retours des années précédentes ; les présentations cuvée 2019 sont maintenant disponibles dans la section “Présentations et diaporamas” :

  • Briques de base pour écrire (JCD)
  • Comment bétonner son histoire ? (LD)
  • Devenir auteur, c’est trouver un éditeur ! (JCD)
  • L’auteur dans la chaîne du livre (LD)

→ À découvrir ici.

2019-06-11T15:43:00+02:00mercredi 5 juin 2019|Technique d'écriture|12 Commentaires

Scrivener, le studio d’écriture professionnel par excellence

SCRIV-win-3screensAlors certes, Balzac écrivait à la plume sur du vieux papier à la lueur de la chandelle. Mais, de la même façon que le rythme narratif a un peu évolué depuis, les outils se sont déployés, complexifiés, affinés. A-t-on besoin d’un logiciel dédié pour écrire un bon livre ? Certainement pas, de la même façon qu’un bon dessinateur réalisera des croquis stupéfiants avec un stylo bille et une nappe en papier.

Cependant, donnez-lui une toile ou une tablette graphique, et son art s’exprimera vers de nouveaux sommets – sans parler du gain de temps et du plaisir de création. (Donnez un poisson à un homme, et il mangera une journée ; filez-lui un chalutier, et ça va barder.)

Scrivener est à l’écriture ce que Photoshop est aux arts graphiques, et c’est pourquoi il n’existait pas de meilleure inauguration à la boîte à outils de l’écrivain. Scrivener est un environnement de création professionnel, pensé pour la construction de projets longs, offrant de multiples facilités d’édition et de rédaction pour accélérer et faciliter le travail.

Scrivener ne fera pas de vous Balzac, mais s’il y a un Balzac en vous, il pourrait aider à le révéler.

Un mot d’avertissement : Scrivener est un logiciel complexe, voire aride de prime abord. Comme Photoshop, il ne se prend pas en main en cliquant sur trois boutons pour voir ce que ça fait. Cette présentation – promise depuis longtemps – ne saurait qu’à peine effleurer son fonctionnement ; si vous souhaitez le tester, il est indispensable de commencer par réserver deux heures pour faire le didacticiel fourni afin d’en saisir tout l’intérêt et la puissance (une démo gratuite est téléchargeable directement ici). Sinon, vous passerez à côté, comme moi pendant des années. Cet article est, en quelque sorte, une “introduction à l’introduction” fournie avec le logiciel.

Un peu d’histoire

Scrivener est à l’origine un logiciel Mac uniquement, dont la seule existence a converti bien des romanciers à l’achat d’une de ces machines du diable. Toutefois, il y a quelques années, un projet de portage sous Windows s’est lancé, avec pour but à long terme d’offrir la même expérience que la version Apple. Scriv (de son petit nom) est longtemps resté en beta, puis, pour être honnête, encore un peu fruste en fonctionnalités (ce qui me le faisait déconseiller il y a quatre ans) pendant un moment. Cela fait toutefois un ou deux ans qu’il est mûr pour un usage régulier sur nos propres machines du diable (les autres), avec suffisamment de fonctionnalités importées de la version Mac et de robustesse pour l’utiliser sans crainte et avec plaisir.

Je suis passé pour ma part à 100% sous Scrivener depuis une grosse année. Mon premier gros projet réalisé sous cet environnement a été La Route de la Conquête, et toute la réécriture et correction finale de Port d’Âmes s’est également réalisée grâce à lui. Dans ce dernier cas, le roman était si complexe à retravailler que Scrivener m’a réellement permis de rendre le roman meilleur que je n’aurais pu le faire avec un traitement de texte classique sans y passer un an complet : grâce à ses fonctions de suivi et découpage des scènes, j’ai bénéficié d’une hauteur de vue difficile à obtenir autrement, corrigé une multitude de détails tout en préservant la cohérence d’ensemble, et resserré la tension narrative à mon gré.

OK. Pourquoi vous êtes tous dingues de Scrivener ?

Le classeur, centre de Scrivener

Le classeur, centre de Scrivener

Parce que ce logiciel permet de découper un projet par nature impossible à tenir tout entier dans un seul cerveau (un roman, une trilogie, mais aussi une thèse, un essai) en morceaux à taille humaine, dès la planification, jusqu’à la correction. La beauté et la simplicité de la chose, c’est que la définition de “taille humaine” dépend de l’utilisateur ; et que les morceaux peuvent être aussi détaillés, ou aussi esquissés, qu’on le souhaite. Contrairement à quantité de studios d’écriture qui cherchent à vous enfermer dans un modèle de rédaction, Scrivener n’est, en son coeur, qu’un traitement de texte hiérarchique. Il s’apparente à une tripotée de chemises ou de classeurs où l’utilisateur insère toutes les feuilles qu’il souhaite. Il y a sa recherche, ses notes, ses plans, et puis des bouts de paragraphe, des scènes entières, des chapitres. De là, au final, sortira un livre, une fois les feuilles souhaitées et retenues mises en ordre.

Cela revient à avoir cent fichiers Word qui se promènent, avec l’immense avantage de tout avoir sous les yeux dans l’ordre et de pouvoir les changer de place d’un cliquer-déplacer. Le classeur est ainsi le centre névralgique de Scrivener, ci-contre. Deux grands ensembles sont proposés à l’utilisateur par défaut, “Draft” (manuscrit) et “Research” (référence) – ma version mélange anglais et français par commodité, mais Scrivener est entièrement disponible en français -, le premier visant à accueillir les pages finales, le deuxième à conserver les références de côté. Mais cette organisation est parfaitement flexible et modifiable.

On constate que tout est hiérarchique, c’est-à-dire que l’on peut regrouper des documents sous d’autres, à la manière, par exemple, des scènes d’un chapitre. Là aussi, tout est paramétrable, de la mise en page au nombre de niveaux de profondeur. Vous êtes structurel.le et aimez tout planifier ? Scriv vous donne les armes. Vous préférez écrire au fil de la plume ? Fourrez tout dans une poignée de documents que vous découperez ensuite pour le retravail. De tous les logiciels d’écriture, Scriv est le seul qui n’impose pas sa méthode de travail à l’utilisateur mais lui donne des outils, dont il se sert s’il le désire1.

Écrire nécessite souvent la conservation de quantités d’informations insolites, précises, aléatoires, qu’on a tôt fait d’égarer. Le plus agréable est que Scrivener accepte dans ses classeurs tous les types de fichiers que le système peut lire, et en présente une bonne partie nativement. Besoin d’un article scientifique ou d’un livre en PDF ? Envie de conserver cette photo qui inspire ? Un cliquer-glisser dans le classeur et le fichier est conservé avec l’ensemble du projet, sans se soucier de retrouver la source. Scrivener sait même importer des sites web et des fichiers son (pour se faire une liste de lecture personnalisée en accord avec l’atmosphère du livre en question).

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La planification facile

Scrivener serait déjà puissant mais, limité à cela, il n’irait pas vraiment au-delà d’un wiki ou de OneNote. Toutefois, il s’agit d’un studio d’écriture, et il contient des outils spécialement adaptés à la construction d’un ouvrage, de fiction ou non. La construction du plan d’un livre commence toujours par des idées très vagues, des envies qu’il faut cerner, des bribes d’intrigue à développer et à organiser. La méthode “analogique” bien connue est la méthode des Post-its, où l’on note ses scènes sur des bouts de papier et on jongle avec jusqu’à ce que l’ordre sonne juste. Scrivener réplique ce modèle avec la vue “tableau en liège” :

scriv-indexcards

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C’est là que l’on commence à entrevoir la vraie puissance de l’outil. Chaque carte ainsi présentée est aussi un fichier texte, voire un dossier, un chapitre entier. Il s’agit juste d’une vue différente. Parmi les usages possibles, on peut donc : prévoir un chapitre vide à faire avec un simple résumé ; réorganiser les scènes d’un chapitre ; prévoir tout le plan d’un livre sous forme de fichiers vides annotés, puis remplir ensuite au fil de l’écriture, le tout dans la même structure.

Pas fan de la vue Post-its ? Moi non plus. Je suis un homme de tableaux. Scrivener propose une vue différente des mêmes données, avec la même puissance, pour les gens secrètement austères comme moi qui voient en Excel une forme de beauté urbaine masochiste, comme un échangeur routier californien :

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Scrivener sépare ainsi – et c’est une fonctionnalité toute bête mais indispensable à l’usage – le texte des notes associées à ce texte. Le processus de création est fouillis, aléatoire, part dans toutes les directions. On conserve des morceaux de phrases, des tournures précises parce qu’elles évoquent une idée particulière, l’atmosphère d’une scène. Scrivener permet de conserver tous ces échafaudages à l’abri en proposant un synopsis pour chaque document et autant de notes qu’on le souhaite (notamment des détails à ne pas oublier au retravail…), dont des images, ce que l’on peut venir complexifier avec des mots-clés (par exemple, noter le personnage central dont il s’agit dans un roman à points de vue multiples) et un statut (À faire / Premier jet / Corrigé etc.)

scriv-imagenote

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C’est bien beau, mais quand est-ce qu’on écrit ?

Bien sûr, l’édition de texte est au coeur d’un logiciel qui se targue d’être une solution unique pour réaliser de l’écrit. Sur ce point, Scrivener offre toutes les fonctionnalités que l’on peut exiger d’un traitement de texte moderne : formatage, notes, renvois, commentaires, etc. Il n’est quand même pas à la hauteur de Word et ses trilliards d’options absconses mais il fait le boulot ; et certains verront dans son rejet du superflu une simplicité et une légèreté bienvenues.

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C’est ici qu’il faut insister sur un point important de Scrivener : il s’agit d’un logiciel de création, de préparation et de rédaction, mais de finalisation. Il ne sait pas faire de mise en page un tant soit peu complexe (ce n’est pas un logiciel de PAO) et n’ira pas plus loin que l’intégration de quelques images. Ce n’est pas son travail : il consiste à faire sortir ce livre de vos doigts, aussi vite et aussi peu douloureusement que possible. Pour finaliser et corriger avec un éditeur, il faudra quand même passer par un traitement de texte conventionnel type Word. Mais c’est la toute dernière étape, le coup de vernis, quand il n’y a plus que l’orthographe à corriger et les répétitions à traquer (avec une passe d’Antidote, par exemple).

Il ignore aussi la typographie française, mais cela se contourne avec de judicieux remplacements automatiques – j’ai fait le travail et je mettrai très bientôt ma configuration à disposition en téléchargement libre.

Sortir le livre final

Des mois de travail plus tard, ça y est ! Votre Grand OEuvre est écrit, corrigé, finalisé. Il ne reste plus qu’à faire de tout cela un manuscrit en bonne et due forme, pour impression ou envoi…

Pour cela, Scrivener réalise une compilation du manuscrit. Le principe est le suivant : dans les options dédiées, il convient de lui indiquer quels documents sont appelés à faire partie du livre final (en général, tout dans “Draft”), et comment les organiser. Par exemple, si chaque document représente une scène, il faut les séparer par un blanc. Si chaque dossier représente un chapitre, il faut les séparer par un saut de page – et les numéroter automatiquement tant qu’à faire. Scriv assemblera tout cela et vous crachera un livre tout neuf.

Tout cela se retrouve dans les options de compilation de Scrivener :

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En toute honnêteté… C’est la partie qui a le moins bénéficié des efforts d’ergonomie du logiciel. La compilation est très puissante, permet de multiples mises en page, numérotations automatiques, pages de garde, réalise directement des fichiers Word, PDF et même des livrels prêts à la publication, mais s’avère d’une certaine technicité. C’est un moindre mal, car c’est finalement l’ultime étape et celle qui s’emploie le moins souvent : pour un écrivain qui publie un livre par an… Il s’en servira une fois par an. Il faut s’y lancer, établir ses propres préférences, sauvegarder le modèle puis ne plus s’en préoccuper. 

Ce n’est que le début

Ce tour d’horizon n’est qu’une présentation générique, à peine un avant-goût de ce qu’offre Scrivener – juste une introduction à ses principes génériques. Réservez-vous deux heures et surtout suivez le didacticiel pas à pas pour découvrir sa puissance et en quoi son usage émousse un certain nombre de difficultés inhérentes à l’écriture de vastes projets. D’ici une ou deux semaines, j’y reviendrai avec des trucs et astuces avancés et des cas d’utilisation spécifiques, pour montrer en quoi Scriv accélère et simplifie le travail.

En attendant, bonne découverte, et si vous avez des questions à l’usage, n’hésitez pas.

De manière générale, si l’envie d’acheter cet outil (ou l’un des autres présentés sur ce site) vous vient, n’oubliez pas de passer par les liens proposés ici – vous contribuez à financer le temps passé à rédiger ces articles gratuitement. Merci ! 

  1. Il y avait aussi Writer’s Cafe, mais plus mis à jour depuis bien longtemps, encore trop rigide et quand même boursouflé de modules ludiques inutiles.
2017-11-09T09:15:48+01:00mercredi 19 août 2015|Technique d'écriture|55 Commentaires

Inscrivez-vous à la masterclass écriture des Imaginales 2015 – “Du manuscrit à la publication”

Affiche Gregory Deiaunay

Affiche Gregory Deiaunay

Important achtung warning annonce : le festival des mondes imaginaires d’Épinal, les Imaginales, a lieu en fin de mois (site). Depuis quelques années, l’événement propose une masterclass autour du métier de l’écriture, de la technique aux réalités professionnelles, animée par Jean-Claude Dunyach et ton humble serviteur, auguste lectorat (pour les nouveaux venus, c’est moi, ça, hein). Cette journée de formation est bien entendu ouverte à tous, quelle que soit l’expérience de la pratique de l’écriture ; ce qui compte, c’est l’envie.

La masterclass change légèrement cette année de formule. Se déroulant sur une journée pleine (et dense !), elle abordera la thématique “Du manuscrit à la publication” : commencer approcher la pratique professionnelle de l’écriture ?

Après quelques discussions avec les festivaliers, sur les réseaux sociaux, il me faut insister sur le point suivant : inscrivez-vous sans tarder, car les places sont limitées, et l’expérience prouve que la formule évolue toujours. Ne vous dites pas “boeh, je verrai l’année prochaine”, car il n’est pas dit que la formation qui vous fait potentiellement envie l’année sera la même l’année n+1.

De quoi s’agit-il plus en détail ? Voici l’annonce postée sur le site du festival, et toutes les modalités pour vous inscrire.

Notre objectif : vous aider à franchir l’échelon professionnel

Cette journée d’échanges et d’enseignement (mercredi 27 mai 2015) vise à armer les jeunes auteurs pour la transition de l’écriture vers la publication : comment passe-t-on de l’envie d’écrire au métier d’écrivain ?

Les sites, livres et forums d’aide à l’écriture se sont multipliés au cours des dix dernières années : il est aujourd’hui plus facile que jamais de travailler sur un livre. Mais comment l’achever, puis l’amener au meilleur niveau de qualité possible ? Comment se corriger, s’améliorer ? Comment, et pourquoi le présenter à un éditeur ? Et l’économie du livre, comment ça marche exactement ?

Passer du statut d’amateur passionné à celui de jeune professionnel de l’écriture, voilà l’ambition de cette journée de formation, à travers des thèmes d’intervention et de débats tels que : approcher l’écriture en songeant aussi au public sans sacrifier le cœur de son histoire ; savoir se lire avec recul pour parfaire son manuscrit ; les relations avec le monde éditorial ; la rémunération des auteurs…

Cette journée de formation est destinée à ceux qui se sont lancés dans la rédaction d’un livre, voire l’ont terminé, et pensent à l’étape suivante, la publication professionnelle ; mais aussi à ceux qui ont envie d’écrire des histoires, et désirent acquérir une vision panoramique du monde de l’édition.

La journée s’articule autour de présentations sur un sujet donné (l’attitude professionnelle, les corrections, les relations avec le monde éditorial…), suivies de longs temps de discussion et de débat autour des difficultés rencontrées au quotidien par les stagiaires.

Inscrivez-vous au plus vite à cette journée de formation aux places limitées : une chance unique proposée par les Imaginales de propulser votre envie de raconter à un niveau supérieur !

Inscriptions et renseignements : info@imaginales.com / 03 29 68 51 86

2015-05-02T18:56:57+02:00lundi 4 mai 2015|À ne pas manquer, Technique d'écriture|10 Commentaires

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