Feuille de route 2022

Oh, mais c’est que le temps passe quand on est off, et qu’il devient urgent de partager ce que prépare cette année, parce que sinon, on va faire la roadmap en mars, et que ça deviendrait un peu ridicule. Sauvons l’honneur et faisons-le avant fin janvier : alors, qu’est-ce qui se mijote comme projets en 2022 ?

Bon, commençons par la mauvaise nouvelle.

La publication de La Succession des Âges (« Les Dieux sauvages » V)

La Succession des Âges est donc le dernier tome de la saga « Les Dieux sauvages », sur lequel j’ai travaillé l’intégralité de l’année 2021, en vue d’une publication en 2022. Ce que j’avais promis avec la meilleure foi du monde, et, si l’on parle de volume pur, j’ai 1,5 millions de signes dans la boîte, ce qui correspond déjà à un roman de taille très respectable (la taille de La Fureur de la Terre, à titre de comparaison). Sauf que, eh bien, l’histoire a encore beaucoup de choses à couvrir. Ce roman est le dernier de la série, il y a une myriade de fils narratifs à résoudre (« payer ») convenablement, c’est la suite et la culmination des trois mille pages (à la louche) qui précèdent et c’est sans nul doute l’ouvrage à la fois le plus ambitieux et le plus complexe de la série (et de tout ce que j’ai fait jusqu’ici). Même en ayant passé une année entière à plein temps dessus, je constate que j’ai tout juste dépassé la moitié du travail requis. Il me faut donc, c’est mathématique, une année de plus, et ce sera celle-ci.

Je suis terriblement navré de devoir repousser la sortie du roman. Mais c’est nécessaire pour donner à « Les Dieux sauvages » la conclusion que j’ambitionne de lui donner depuis le début. Je pense que c’est largement préférable à proposer un boulot bâclé, ce qui serait en plus vraiment tragique après cinq ans de travail quasiment interrompu sur ce projet. La publication est donc repoussée à 2023 – pour le printemps, en principe. Toutes mes excuses.

En outre, j’avouerai aussi sans honte que l’année dernière, les effets de la pandémie se sont aussi peu à peu infiltrés dans ma psyché. J’ai passé l’année 2020 à travailler 60-70h par semaine pour L’Héritage de l’Empire et, si je suis très fier au final de ce roman, personne ne peut tenir un rythme pareil à long terme sans commencer à questionner de travers ses choix de vie, et j’ai constaté l’impossibilité mentale de refaire la même chose en 2021, a fortiori en 2022. En plus, sans trop entrer dans le personnel (vous savez que ce n’est pas mon truc), les conditions internationales actuelles ont des conséquences très directes sur ma vie et disons qu’au bout d’un moment, j’ai beau avoir la volonté en titane de carbone, ça finit par user la personne derrière le clavier, et contrairement à cette insupportable vision populaire, un auteur qui n’est pas dans son assiette, ça travaille mal. (Lisez Big Magic.) Bref, on arrête les violons, mais ça me semble important à pointer aussi, notamment pour les jeunes auteurs et autrices qui passent par là : pratiquer votre art peut vous donner une bouffée d’air frais dans une vie difficile, mais l’art est aussi un travail qui nécessite quiétude et santé mentale pour être maintenu à plein temps.

Revenons au roman : question pratique, ce sera donc indubitablement un gros bouquin, mais pas non plus de trois mille pages : avec une telle envergure narrative, le manuscrit subira sans doute possible un important resserrement aux corrections, de 15 à 30% – c’est toujours le cas.

Adressons la question qui flotte forcément dans l’air : si c’est si vaste, pourquoi ne pas faire six tomes ? Certes, il y a des impératifs commerciaux (on ne peut maintenir l’élan d’une saga de cette envergure qu’un temps déterminé dans l’esprit du grand public et sur les étals des libraires), mais Critic et moi n’avons jamais laissé ces considérations prendre le pas sur les exigences esthétiques et artistiques d’un projet. Et la situation ici, c’est que, narrativement, je ne peux pas couper La Succession des Âges en deux. Même si le roman a plusieurs temps distincts (comme tous les volumes de « Les Dieux sauvages »), il y a derrière tout un cheminement pour une grande part des personnages qui les traverse d’un seul tenant et qu’il serait vraiment dommageable de briser. Donc, on ne le brisera pas, et ça fera un chouette gros bouquin.

Rendez-vous en 2023 pour la conclusion de « Les Dieux sauvages », donc, avec mes excuses renouvelées, et mes remerciements pour votre patience.

Couv. Georges Clarenko

L’Héritage de l’Empire (« Les Dieux sauvages » IV) ressort chez Folio

Mais cela ne signifie pas qu’il n’y aura rien à se mettre sous la dent pour la saga en 2022 : elle poursuit son chemin en réédition chez Gallimard – Folio SF. L’Héritage de l’Empire ressortira en poche cette année, dans une édition en deux volumes.

Souvent, les éditions en deux tomes ont mauvaise presse, mais on n’a pas le choix : c’est ici imposé par la taille du roman en grand format (les reliures ont des limites imposées par la physique des matériaux). Cependant, toute l’équipe de Folio et l’illustrateur, Georges Clarenko, ont fait un travail formidable pour transmuter cette limitation en quelque chose de vraiment chouette. Je ne peux pas en dire plus, mais il y a un petit quelque chose dans cette édition qui lui donne un petit côté collector vraiment hyper, hyper cool et qui donne presque un sens à part entière au fait d’avoir dû faire deux sous-volumes. L’avant-projet est génial, et j’ai hâte de pouvoir le partager ; ça justifie presque un rachat même si vous possédez déjà le grand format, parce qu’au fond, on est tous comme ça dans le métier, on veut votre argent.

Deux nouvelles de science-fiction

Deux textes courts aussi à annoncer pour cette année, et on change cette fois de paysage pour aller dans la science-fiction pure (… mais en sera-ce vraiment ? Ha). Je ne peux pas révéler les détails pour l’instant, mais ce sont deux nouvelles d’assez bonne taille supposées apparaître dans deux anthologies thématiques distinctes. Évidemment, c’est sous réserve d’acceptation par les directeurs·rices d’ouvrage (un texte est confirmé, je finis l’autre en ce moment même).

Un recueil de Bruce Holland Rogers à paraître aux éditions Gephyre

Cela, j’en ai déjà parlé cette semaine et j’ai déjà dit tout le bien que je pense du travail de Bruce : rendez-vous ici si vous avez raté l’annonce. (J’ai un autre projet éditorial qui me tient super à cœur dans les cartons, mais il devra encore attendre un moment, La Succession des Âges oblige.)

Ateliers et masterclasses

La seule date annoncée pour l’instant (j’en reparlerai) est la Masterclass des Imaginales, que nous animons avec Jean-Claude Dunyach, sur un jour et demi ; il y aura certainement d’autres choses organisées avec Les Mots (l’atelier sur les techniques avancées de création de mondes imaginaires a rencontré un succès auquel je ne m’attendais pas, c’était super à animer, donc je vais m’efforcer de proposer de nouvelles dates). Il y a aussi un super projet collectif auquel j’ai participé en 2021 qui doit sortir cette année, surveillez donc cet espace !

Procrastination

Procrastination continue évidemment sa route ! Nous avons quasiment toute la saison 6 dans la boîte, et nous avons déjà eu l’accord de principe d’un·e invité·e pour la saison 7 qui viendra nous parler d’un sujet qu’on nous demande fréquemment. Ça promet d’être assez génial, surtout que ça risque de briser quelques idées reçues, et c’est bien.

Blog et présence en ligne

Là aussi, pas de changement, cet endroit de perdition continue d’exister, et je ne cesse de réfléchir aux manières de le rendre plus accueillant et sympa. Et je vais vous faire un aveu : même si Twitter est une poubelle en feu et que je conserve de profondes cicatrices des influenceur·ses à deux balles qui cherchent à générer du follow par du bashing gratuit, tous les bons moments avec vous qui êtes ici, la facilité de la conversation, des échanges, me manquent vraiment beaucoup.

2022-02-18T18:25:44+01:00jeudi 27 janvier 2022|À ne pas manquer|6 Commentaires

Roadmap 2021

Bon, ça y est ? 2020 est finite ? On peut la faire sauter façon Last Week Tonight avec moult effets pyrotechniques ?

J’arrive trop tard pour un bilan de fin d’année – les bilans de fin d’année se faisant, eh bien, en fin d’année, comme l’ont fait tous les sites du monde à part celui-là, mais j’ai toujours pensé que, eh bien, on ne pouvait faire un bilan qu’une fois l’année terminée, non ? Quoi ? On s’en fout ? Oui, c’est vrai.

Couv. Alain Brion

Et d’ailleurs, du coup, en fait, si vous suivez cet endroit de perdition, vous n’avez pas forcément besoin d’un récap sur 2020 (Lionel Davoust n’a que douze mois pour traverser les douze maisons de L’Héritage de l’Empire avant que la flèche de la deadline ne lui transperce définitivement le cœur), vous étiez là, et si vous n’étiez pas là, c’est déjà passé, donc bon. Lisez plutôt les bilans et les projets des éditeurs, comme ceux des éditions Critic, de Folio SF et la roadmap d’Argyll (ainsi que tous ceux qu’a interviewé Elbakin.net).

En revanche, pour ma part, faire un petit point avec un merveilleux anglicisme façon SSII startup nation peut servir. Si vous voulez la version résumée, ActuSF m’a proposé son entretien de début d’année comme à tous mes camarades, c’est ici.

Écriture (ce qu’on peut annoncer)

Pas de surprise : l’hénaurme chantier va évidemment être d’écrire La Succession des Âges, dernier volume de « Les Dieux sauvages ». (Oui, dernier. Si vous avez lu L’Héritage de l’Empire, vous devinez probablement que maintenant, il faut résoudre.) J’expérimente pour ce bouquin un outil de construction et un flux de travail légèrement différents (dévoilés ici). Ce n’est pas tant qu’il y a beaucoup à élaborer (j’ai toujours eu avec « Les Dieux sauvages » une fin bien précise en tête, avec des étapes bien définies) que je veux m’assurer de bien tout rassembler et clore proprement. Et dans certains cas, la question n’est pas tellement de décider ce qui se passe que d’élaborer une manière intéressante de le dramatiser. Il faut déjà que je cravache comme Mériane en couverture, mais ce n’est pas comme si le monde nous réservait beaucoup de choses à faire en ce moment. Parution prévue : printemps 2022.

Évidemment, en parallèle, les volumes de « Les Dieux sauvages » continuent à ressortir en poche chez Folio (je devrais pouvoir annoncer sous peu ce qu’il est en de Le Verrou du Fleuve).

Couv. Xavier Collette

Plus proche de nous, en mai 2021, ce sera la parution de l’essai / manuel chez Argyll Comment écrire de la fiction ? Rêver / construire / terminer ses histoires, soit, étudier toutes les grandes étapes de la création romanesque dans un ouvrage volontairement concis et resserré, avec toutes les clés pour mettre le pied à l’étrier et/ou revisiter les fondamentaux de la narration et de la dramatisation. En plus, je sais qu’il sera à un prix abordable. Et il est rigolo à lire. Si votre humour est aussi pourri que le mien, en tout cas.

L’Impassible armada redux devrait aussi sortir vers mai, c’est-à-dire à l’époque prévue l’année dernière, mais comme c’est un bouquin qui se promeut beaucoup en salons, ne pas pouvoir faire de salons le condamnait, et ça aurait été ballot. Donc, si l’étau (Atréides) (c’est de saison) se desserre, le livre pourra sortir. Sinon, il attendra un contexte plus clément (Ader).

Enfin, j’ai terminé ces jours-ci une grosse nouvelle de science-fiction qui devrait sortir là aussi en 2022. Là, je suis très en avance (pour pouvoir me consacrer entièrement à La Succession des Âges).

Écriture (ce que je ne peux pas annoncer encore)

… soit un titre quelque peu oxymorique, MEY BON. La question qui vient de plus en plus souvent est : tu vas faire quoi après « Les Dieux sauvages » ? Est-ce qu’après tout ça, tu ne seras pas un etit peu tout desséché comme une momie égyptienne ? Alors ça oui, peut-être, mais j’ai évidemment toujours trois (ou dix) projets d’avance qui me tournent dans la tête, et quelques jalons ont été posés en ce sens. C’est beaucoup trop tôt pour en parler, donc je n’en dis rien, mais ce que je peux dire, c’est :

  • Mon prochain “gros” projet (roman ou saga) ne se situera pas dans l’univers d’Évanégyre. J’aurai enchaîné depuis 2014 sept bouquins dans cet univers formant mes projets principaux (donc sans compter recueils et rééditions autonomes) : La Route de la Conquête, Port d’Âmes, cinq tomes de « Les Dieux sauvages ». J’ai toujours résolument refusé de m’enfermer dans un quelconque sillon (c’était une des raisons derrière la publication de Port d’Âmes, résolument différent de La Route de la Conquête et La Volonté du Dragon). Maintenant que ça marche super bien, il est temps de casser un peu tout ça pour faire autre chose de complètement risqué et différent, vous comprenez.
  • … mais Évanégyre ne sera pas délaissée pour autant. D’une part parce que je serai loin, même à la fin de « Les Dieux sauvages », d’avoir dévoilé tout ce qu’il y a à dire sur l’histoire plus vaste ; d’autres sagas sont en construction (plus ambitieuses encore) (je vais mourir). D’autre part parce qu’il est possible de travailler dans d’autres formats, et c’est certainement ce qui va se passer en parallèle du reste.

Articles, éditorial, direction d’ouvrage

Il m’est plus difficile d’annoncer des choses, car je me considère moins maître de la barque que quand c’est une création pure. J’ai deux projets éditoriaux / direction d’ouvrage en cours (… plus exactement, en souffrance, parce que mon emploi du temps est un peu malmené), un à court terme, un à long terme. J’espère pouvoir les faire bouger significativement cette année.

De ce qui est en cours, Procrastination poursuit sa route, la machine est bien huilée, la saison 5 est presque entièrement enregistrée et nous commençons déjà à réfléchir à la 6 avec de nouveaux invités. Le confinement de mars nous a finalement obligé·es à repenser notre façon de travailler, et nous en ressortons avec davantage de flexibilité.

Geekriture, ma colonne mensuelle sur ActuSF sur la productivité et l’organisation personnelle dans le domaine de la création a donc démarré. Les articles tombent tous les 20 du mois, comme un nouveau “chapitre” de ce que je conçois presque comme un manuel à épisodes.

Le blog continue. Pas de surprise là-dessus, hein.

Salons, interventions

Bon, je ne vous fais pas un dessin, hein… Your guess is as good as mine.

Sinon, je poursuis bien entendu avec joie la collaboration avec l’école Les Mots, et j’aurai quelques nouveaux ateliers à annoncer bientôt. Il s’agira uniquement de stages intensifs, n’ayant pas la disponibilité cette année pour réaliser des ateliers à distance au long cours.

Pas de retour sur les réseaux commerciaux

Cela fait six mois que j’ai quitté ces machines de tristesse et de folie et je m’en porte invraisemblablement bien. J’ai non seulement retrouvé de la concentration, mais aussi une ignorance bénie du drama de la semaine qui, soyons honnêtes, ne changera pas la face du monde. Je suis désolé car j’ai eu aussi de merveilleux échanges avec vous, et c’est pour cela que j’y suis resté si longtemps, d’ailleurs – mais je ne suis pas bien équipé mentalement pour affronter le barrage d’égos, et la stimulation du mien, que nourrissent ces plate-formes. Au bout du compte, je m’avoue vaincu (et ça n’est pas mon genre, et ça me fait un peu mal quand même). Je regrette si c’est votre mode de communication et d’information préféré ; je m’efforce de favoriser d’autres formes d’échange (et je pense à d’autres).

Musique, sound design

Je ne peux malheureusement pas tout faire… Donc en-dehors de quelques coups de main filés en passant ici et là à des projets, c’est un peu au point mort en ce moment. Mais j’ai un projet de sonorisation à long terme dans les cartons auquel je reste fidèle !

Ma vie à moi de moi-même

Comme beaucoup d’entre nous, je compte sur les doigts des deux mains le nombre de fois où j’ai vu d’autres êtres humains en 2020. Déjà que le quotidien d’un auteur n’est pas dingue question palpitation (c’est beaucoup de temps vissé devant un écran, hein), là c’est encore pire. Pas de volontariat en vue pour l’instant (évidemment, vue la situation du monde) et mes projets personnels très vaguement évoqués nécessitent que la vaccination déverrouille la situation internationale. Donc je passe davantage de temps vissé devant un écran (et dans ma tête, très très loin).

Eh bien ! En voilà, du racontage de vie. J’espère n’avoir rien oublié, et le cas échéant, si j’ai oublié quelque chose, auguste lectorat, n’hésite pas à poser tes questions en commentaires, je réponds à tout.

2021-02-08T18:22:50+01:00mardi 2 février 2021|À ne pas manquer|4 Commentaires

Les Utopiales sont annulées (+ infos sur le mois de novembre)

Si près, bordel. Si près.

Bon, ben voilà, hélas, vous vous en doutez après les annonces d’hier, hélas on ne se verra pas ce week-end à Nantes. À littéralement trois jours près.

J’ai une immense pensée pour toute l’organisation qui a tout, mais alors TOUT fait pour que cela se tienne contre vents et marées. Merci à eux et elles d’avoir eu la foi jusqu’au dernier moment, alors que les installations commençaient déjà… Bref, je n’insiste pas dans le mélo, c’est déjà assez douloureux comme ça. Vous m’avez compris.

Je vous avoue que du coup c’est un peu la panique temporaire sur la passerelle par rapport à ce qui était prévu ce mois-ci, d’où un message un peu décousu, je suis désolé, je fais au plus vite :

L’atelier aux Mots sur le conflit (28-29 novembre) a toute les chances d’être maintenu en virtuel à distance ; on l’avait déjà fait au printemps pour celui sur la scène d’action. Confirmation à venir certainement très vite.

L’Héritage de l’Empire était prévu pour le 20 novembre. Qu’arrive-t-il ? Je ne sais pas, mais cela va décider rapidement. En gros : si les circuits de distribution de la chaîne du livre fonctionnent, la sortie du livre devrait pouvoir se maintenir, mais cela va dépendre des capacités de commercialisation et de promotion. Un si gros machin (et très attendu – merci à vous) jeté dans l’arène sans chance de se faire sa place sur les rayons, ça va un peu nous fendre le cœur à tous (moi le premier, hein). Et économiquement, on ne va pas se mentir, c’est pas idéal non plus, on ne fait pas des métiers très solides par les temps qui courent. Il n’est pas exclu qu’on décale de quelques semaines. Ou pas. Plus d’infos dès que j’en ai.

D’ici là, prenez soin de vous, et pensez à votre santé mentale aussi, en plus de la physique. Vous avez le droit de lâcher des trucs qui vous pèsent. Courage, on sortira de cette histoire.

2020-10-30T18:35:51+01:00jeudi 29 octobre 2020|À ne pas manquer|4 Commentaires

Les projets de l’année, en entretien sur ActuSF

ActuSF : Sur quoi travailles-tu ? Quels sont tes projets ?
Il y a en fait beaucoup de choses qui vont se concrétiser cette année après avoir été préparées l’année dernière. Je me suis lancé dans une trilogie de fantasy post-apocalyptique intitulée « Les Dieux sauvages » dont le premier volume, La Messagère du Ciel, sortira en mai. Et…
… Et je ne vais pas vendre toute la mèche ici, tiens ! Merci au site de référence ActuSF qui m’a proposé, comme à tous les camarades, la désormais classique interview de début d’année, pour établir le paysage de 2017 et de ses publications. Il y est question de La Messagère du Ciel et même déjà de sa suite, La Fureur de la Terre. C’est à lire ici ! 
2017-03-16T11:43:36+01:00mardi 7 février 2017|À ne pas manquer, Entretiens|Commentaires fermés sur Les projets de l’année, en entretien sur ActuSF

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