Nouvelle scène de violence urbaine

Siloane, qui avait déjà exprimé son horreur face à la tragédie des lolcarts, vient de m’adresser un nouveau cliché d’une rare tristesse. Cela sort un peu du cadre de notre combat, mais ce n’est pas une raison pour rester impassible. Attention, comme toujours, aux âmes sensibles.

Voici le récit qu’elle nous livre :

Mes amis, l’heure est grave ! Non seulement la grande extinction se poursuit en silence au pied de nos immeubles malgré nos efforts pour alerter l’opinion publique, mais elle s’étend même à d’autres de nos amis à roulettes. Pourquoi une telle discrimination, doit on obligatoirement aller sur ses pattes ou ses jambes pour mériter la considération ? Non contents de l’avoir laissé mourir dans l’indifférence, ceux qui l’ont abandonné là ont exposé sa carcasse à l’humiliation publique. Sa souffrance est sans fin, il lui faudra encore pendant de longues années de décomposition supporter les outrages et les regards méprisants des passants en espérant qu’une bonne âme mette fin à ce calvaire et le jette dignement. Pouvons-nous encore tolérer cela ? Pour tous ceux qui restent dans nos placards, tremblants, espérant un meilleur sort, nous devons faire savoir ce qu’il se passe. Regardez bien cette photo, je ne peux pas croire que vous ne serez pas émus.

Photo Siloane

N’est-ce pas ? Pouvons-nous tolérer cela ? Hein ? La colère, que dis-je, la révolte monte en moi face cette image. Que faut-il pour au moins accorder à ces pauvres compagnons une fin décente ?

Je suis toujours disponible via le formulaire de contact pour recevoir vos photos et récits éthologiques originaux. Ensemble, nous ferons reculer la tragédie.

Mes amis, l’heure est grave ! Non seulement la grande extinction se poursuit en
silence au pied de nos immeubles malgré nos efforts pour alerter l’opinion
publique, mais elle s’étend même à d’autres de nos amis à roulettes. Pourquoi
une telle discrimination, doit on obligatoirement aller sur ses pattes ou ses
jambes pour mériter la considération ? Non contents de l’avoir laissé mourir
dans l’indifférence, ceux qui l’ont abandonné là ont exposé sa carcasse à
l’humiliation publique. Sa souffrance est sans fin, il lui faudra encore pendant
de longues années de décomposition supporter les outrages et les regards
méprisants des passants en espérant qu’une bonne âme mette fin à ce calvaire et
le jette dignement. Pouvons-nous encore tolérer cela ? Pour tous ceux qui
restent dans nos placards, tremblants, espérant un meilleur sort, nous devons
faire savoir ce qu’il se passe. Regardez bien cette photo, je ne peux pas croire
que vous ne serez pas émus.