Comment écrire de la fiction ? est DISPONIBLE !

Nous y sommes !

Couv. Xavier Collette

Mon humble contribution aux essais sur l’écriture de fiction se veut résolument une approche opérante : comment, au quotidien et au long cours, arriver à conserver ténacité, plaisir et évidemment à noircir des pages qui sonnent juste pour le projet que l’on chercher à servir. De l’idée jusqu’aux corrections, en passant par une grosse étape sur ce qui fait vraiment l’essence d’une histoire à mon avis, le tout émaillé de l’humour désastreux et classé comme arme de destruction massive par la convention de Genève que vous avez déjà pu subir en ce lieux de perdition.

C’est le bouquin que j’aurais aimé trouver quand j’ai commencé à vouloir écrire sérieusement des histoires.

Vous voulez écrire un roman et vous ne savez pas comment vous y prendre ?

Vous avez commencé plusieurs histoires et vous n’en avez terminé aucune ?

Vous avez terminé plusieurs manuscrits et vous peinez à passer à l’étape supérieure ?

Dans cet essai, Lionel Davoust partage son expérience sur le métier d’écrivain, ses anecdotes, ses conseils, ses avertissements. Il évoque autant le travail quotidien de l’écriture – SPOILER : oui, l’écriture, ça s’apprend – que les techniques fondamentales à maîtriser (point de vue, personnages, promesse / paiement, le « show don’t tell », etc.) pour y parvenir. Il donnera quelques clés pour formaliser vos idées, travailler votre inspiration, affiner votre vision et construire votre intrigue. Enfin, il s’attardera aussi sur la discipline indispensable à l’achèvement d’un manuscrit ainsi que sur l’étape obligatoire des corrections.

« Si vous voulez devenir écrivain, il y a avant tout deux choses que vous devez impérativement faire : lire beaucoup et beaucoup écrire. Il n’existe aucun moyen de ne pas en passer par là, aucun raccourci. »Stephen King

➡️ Comment écrire de la fiction ? Rêver, construire, terminer ses histoires est disponible dès aujourd’hui dans toutes les librairies et en numérique.

2021-11-15T18:39:35+01:00vendredi 21 mai 2021|À ne pas manquer|Commentaires fermés sur Comment écrire de la fiction ? est DISPONIBLE !

Ce vendredi, FAQ écriture en live chez Morgan of Glencoe, avec Estelle Faye

C’est une belle habitude qu’on est en train de prendre ! Merci à Morgan of Glencoe qui nous accueille une nouvelle fois sur Twitch ce vendredi à 20h30, pour parler écriture en compagnie d’Estelle Faye dans une rubrique qui s’appelle dorénavant “Parlons plumes”. Ainsi que nous l’avions évoqué dans les sessions précédentes, il est possible que l’on se concentre un peu plus sur les questions / biais de représentation, male / female gaze, etc. lors de cette session.

Vous commencez à connaître l’exercice : comme les fois précédentes, vous n’avez pas besoin de compte pour suivre le live. Rendez-vous simplement sur Twitch à l’heure dite. (En revanche, si vous voulez intervenir dans la conversation, c’est nécessaire.)

À vendredi !

Le live précédent chez Morgan, en compagnie de Thomas Geha (et Willy dans mes bras)
2021-05-21T16:39:39+02:00mardi 18 mai 2021|À ne pas manquer|5 Commentaires

Précommandez Comment écrire de la fiction ? et recevez-le dédicacé ! (sortie le 21 mai)

On s’approche… 

Couv. Xavier Collette

Dans dix jours exactement (sauf si vous lisez cela dans le futur, sachant que je l’écris dans le passé – l’écrit n’est-il pas formidable), soit le 21 mai, mon humble contribution à l’approche de l’écriture de fiction sera disponible partout, en papier et numérique, et avant tout chez votre libraire préféré (bien évidemment). J’y résume de façon concise tout ce que j’ai pu apprendre jusqu’ici sur le métier et qui me sert tous les jours ; je suis extrêmement impatient qu’il soit libéré dans le vaste monde (le manuscrit est bouclé depuis des mois), et j’espère qu’il pourra être utile à tous les auteurs et autrices, jeunes et moins jeunes.

Il est d’ores et déjà disponible en souscription sur le site des éditions Argyll ; et toutes les précommandes seront dédicacées de ma blanche main, à l’aide d’une plume piquée sur la tête de Thot lui-même, promettant succès, célébrité et inspiration continue (résultats non contractuels). (C’est une histoire compliquée) (Ne piquez pas de plumes à des dieux égyptiens, après on chope la malédiction des Tupperware)

➡️ Précommander Comment écrire de la fiction ? Rêver, construire, terminer ses histoires

Vous voulez écrire un roman et vous ne savez pas comment vous y prendre ?

Vous avez commencé plusieurs histoires et vous n’en avez terminé aucune ?

Vous avez terminé plusieurs manuscrits et vous peinez à passer à l’étape supérieure ?

Dans cet essai, Lionel Davoust partage son expérience sur le métier d’écrivain, ses anecdotes, ses conseils, ses avertissements. Il évoque autant le travail quotidien de l’écriture – SPOILER : oui, l’écriture, ça s’apprend – que les techniques fondamentales à maîtriser (point de vue, personnages, promesse / paiement, le « show don’t tell », etc.) pour y parvenir. Il donnera quelques clés pour formaliser vos idées, travailler votre inspiration, affiner votre vision et construire votre intrigue. Enfin, il s’attardera aussi sur la discipline indispensable à l’achèvement d’un manuscrit ainsi que sur l’étape obligatoire des corrections.

2021-05-17T18:05:39+02:00mardi 11 mai 2021|À ne pas manquer|Commentaires fermés sur Précommandez Comment écrire de la fiction ? et recevez-le dédicacé ! (sortie le 21 mai)

Vendredi, nouvelle FAQ écriture live chez Morgan of Glencoe, avec Thomas Geha

Hé bien ! Après avoir explosé le record de la soirée la dernière fois, et après avoir constaté que décidément, nous étions loin d’avoir abordé tous les sujets désirés, et que franchement c’était super chouette, Morgan of Glencoe réorganise un live sur Twitch concernant le métier d’auteur et autrice, le milieu de l’édition. Et ce sera encore plus chouette car cette fois, Thomas Geha (alias Xavier Dollo) nous rejoindra ! Il partagera lui aussi sa propre expérience d’écrivain bien sûr, mais nous fera aussi part de son regard de libraire (plus de quinze ans de métier) et d’éditeur (après avoir fondé les éditions Ad Astra, il fait partie des confondateurs des éditions Argyll où paraîtra Comment écrire de la fiction ?).

➡️ Ça se passe ce vendredi 26 mars à 20h30, sur le Twitch de Morgan of Glencoe. Pas besoin de compte ni d’inscription pour suivre (en revanche, si vous souhaitez poser des questions et participer au chat, c’est nécessaire). Merci à Morgan de nous recevoir chez elle, sur sa chaîne, et d’organiser tous ces échanges !

À vendredi !

2021-03-26T16:12:54+01:00lundi 22 mars 2021|À ne pas manquer|Commentaires fermés sur Vendredi, nouvelle FAQ écriture live chez Morgan of Glencoe, avec Thomas Geha

Créer un monde imaginaire ! (Stage en présence et à distance les 8-9 mai)

Eeeet ce n’est pas parce qu’on peut à peine sortir, seulement quand le soleil est levé, tels des anti-vampires, qu’on ne peut pas faire d’atelier d’écriture, et même – cela fait le plus grand bien de travailler ce qui nous est cher quand le monde est morose (prends-toi en main, c’est ton destin).

Les 8 et 9 mai, je proposerai une nouvelle session de l’atelier Créer un monde imaginaire à l’école Les Mots. Selon la situation, l’atelier se fera en présentiel et/ou à distance, puisqu’il est maintenant possible de suivre les ateliers par visioconférence si vous ne pouvez pas (ou même ne voulez pas) être sur place. (Ou que nous sommes toutes et tous à nouveau assigné·es à domicile.)

De la Terre du Milieu du Seigneur des Anneaux à la luxuriance de la planète Pandora dans le film Avatar, la création de nouveaux espaces géographiques, de nouvelles règles du monde, constitue depuis toujours une des caractéristiques définissant les littératures de l’imaginaire (fantasy, science-fiction, fantastique). 

À la fois terrain de jeu sans bornes et exercice intellectuel où la rigueur doit organiser et cadrer ce foisonnement, la création de mondes imaginaires constitue peut-être la forme suprême de créativité littéraire, où toutes les libertés sont accessibles, et dont l’héritage remonte aux grandes mythologies. Ces mondes différents entraînent le lecteur dans une évasion sans précédent, tout en l’invitant à s’interroger sur sa propre humanité, sa vision du monde. Véritables paraboles modernes, ils permettent de s’affranchir des a priori culturels et historiques pour aborder d’un œil neuf des problématiques potentiellement graves comme la guerre, l’écologie, le pouvoir, tout en préservant la dimension épique d’une aventure romanesque. 

Créer de nouvelles règles du monde selon ses envies profondes ; en dérouler les conséquences naturelles, sociales, technologiques ; ménager l’équilibre entre cohérence et étonnement ; introduire ce contexte puis, enfin, le mettre au service d’une bonne histoire, tels sont les outils auxquels cet atelier se propose de sensibiliser ses stagiaires. 

Car, comme le dit G. R. R. Martin, l’auteur célèbre de Game of Thrones : « ce qui m’intéresse dans l’Histoire, ce sont les histoires » ; si le monde représente l’outil central de l’imaginaire, il ne saurait être le seul, et surtout, il ne saurait prendre l’ascendant sur l’impératif de narration indispensable à une lecture agréable. 

En utilisant la forme familière des récits de voyage, laquelle croise une multiplicité d’éclairages, les participants disposeront des premières briques d’un canevas narratif unique qu’ils pourront par la suite explorer à l’envi, que ce soit en approfondissant ses mécanismes, ou bien en y situant une, ou plusieurs histoires originales. Et, même s’ils choisissent de ne pas poursuivre ce voyage, ils se confronteront à une technique fondamentale de l’écriture : la maîtrise et la mise en scène du temps et de l’espace fictionnels.

Ce cours est idéal pour vous si :

– Vous avez envie de sortie de votre zone de confort et aimez l’inattendu !

Méthodologie :

– Cet atelier propose des exercices différents à chaque séance pour s’entrainer et découvrir ! 

– Cet atelier ne requiert pas d’arriver avec une histoire en tête ou des éléments narratifs déjà construits.

Les places sont limitées à 12, donc ne tardez pas si vous êtes intéressé·e.

➡️ Plus d’informations et inscriptions

(Et c’est le moment de rappeler que demain soir, Morgan of Glencoe et moi causerons d’écriture et d’édition professionnelle en live sur sa chaîne Twitch, et que nous répondrons à toutes vos questions.)

2021-04-15T09:49:22+02:00jeudi 25 février 2021|À ne pas manquer, Technique d'écriture|4 Commentaires

Nouvelle session VIRTUELLE de l’atelier “Écrire une histoire grâce au conflit, notion fondamentale de la narration” (28-29 nov.)

EDIT 2020-11-02 : L’atelier est maintenu. Il se fera en virtuel, et c’est même une occasion unique d’y participer si vous n’êtes pas à Paris (il faut bien essayer trouver des avantages à la situation actuelle).

C’est ma notion favorite, celle dont la compréhension m’a ôté à jamais le questionnement de ce qui allait se passer ensuite dans une histoire, et qui m’a donné une grille de lecture pour dynamiser des histoires plus complexes, plus psychologiques (le retravail et la publication finale de Port d’Âmes vient directement de cela ; un hiatus de huit ans entre le premier jet et la totale réécriture qui a permis au roman de sortir sous sa forme aboutie). Le conflit en narration n’a rien à voir avec le conflit binaire entre un méchant et un gentil, mais parle de volontés, d’impulsions, de résistances et de dynamiques narratives de manière organique.

Alors que la session à distance sur la notion se terminera fin novembre, pour répondre à la demande de plus en plus nette sur le sujet, je suis ravi de reproposer un stage intensif à l’école Les Mots (Paris) sur le sujet :

Bien des écoles de création littéraire américaine résument la notion d’histoire à celle de conflit. Où est l’adversaire ? Qui les personnages doivent-ils vaincre ? Mais cette notion est souvent mal comprise, résumée à une opposition binaire entre deux camps et à une confrontation souvent fondée sur la violence. Or, dans le contexte de la création narrative, elle est bien plus vaste : elle représente l’énergie fondamentale de tout récit, tandis qu’elle exprime, de façon globale, la notion de difficulté et de tension, qui sous-tend toute intrigue romanesque. 

À la fois question préparatoire féconde et boussole pour s’extirper d’une impasse littéraire, la notion de conflit en narration forme un socle dont la compréhension profonde aide l’auteur à rendre ses récits plus efficaces, plus prenants, tout en simplifiant son travail en lui fournissant les questions cruciales qui l’aideront à progresser dans son histoire. Et, loin d’un affrontement binaire de film à grand spectacle hollywoodien, elle lui permettra au contraire, s’il le désire, de complexifier ses intrigues et ses personnages sans jamais sacrifier le suspense et l’intérêt du lecteur. 

Attention, le stage est limité à 12 places.

➡️ Informations pratiques et inscriptions

2020-11-27T17:49:17+01:00mercredi 28 octobre 2020|À ne pas manquer, Technique d'écriture|Commentaires fermés sur Nouvelle session VIRTUELLE de l’atelier “Écrire une histoire grâce au conflit, notion fondamentale de la narration” (28-29 nov.)

Persister, chaque jour (Steven Pressfield)

Je l’avais envoyée aux abonnés de la lettre d’informations, mais je me rappelle si souvent cette citation, alors que ma date de finalisation pour L’Héritage de l’Empire arrive à grands pas, et surtout, j’ai pu tellement en vérifier la vérité :

[W]hen we sit down day after day and keep grinding, something mysterious starts to happen. A process is set into motion by which, inevitably and infallibly, heaven comes to our aid. Unforeseen forces enlist to our cause; serendipity reinforces our purpose. This is the other secret that real artists know and wannabe writers don’t. When we sit down each day and do our work, power concentrates around us. The Muse takes note of our dedication. She approves. We have earned favor in her sight. When we sit down and work, we become like a magnetized rod that attracts iron filings. Ideas come. Insights accrete.

Steven Pressfield, The Art of War

(Livre chroniqué ici.)

Le plus difficile dans l’écriture est souvent de s’y mettre. Mais dès que l’on prend la résolution sincère de le faire, réellement, ou que l’on prend au moins soin de maintenir le projet présent à son esprit, alors les efforts de chaque jour s’accumulent et le total est supérieur à la somme des parties. Combien de sessions ai-je entamé à reculons pour découvrir une super idée une heure plus tard, qui valait à elle seule l’effort ? N’aurait-il pas été dommage de céder à la Résistance, aux bonnes excuses, au fait de me dire que “je ne suis pas dans l’esprit aujourd’hui” ?

Est-ce facile ? Oh diable, non. Mais j’ai décidé que c’était important. Alors, je le fais, quoi qu’il arrive. En ce qui me concerne, c’est ainsi qu’au bout d’un moment, je me retrouve avec une nouvelle, un livre, une saga écrits. (… et j’en suis souvent le premier étonné, pour tout dire.)

(J’avais dit que je partagerais des choses plus brèves et aléatoires ici cette année. Considère, auguste lectorat, que c’est une tentative en ce sens.)

2020-01-22T00:53:24+01:00mercredi 22 janvier 2020|Technique d'écriture|Commentaires fermés sur Persister, chaque jour (Steven Pressfield)

Un mot sur la tablette ReMarkable (… et les machines à écrire)

Le travail en mobilité, c’est génial, quand on en a la possibilité : raconter des trucs avec des mots, par exemple, fait partie des professions qui ne sont dorénavant plus liées à un emplacement. Comme, grosso modo, tout ce qui entre dans la catégorie que ta grand-mère appelle “travailler sur un ordinateur”. L’ordinateur a muté, aussi : tablette, même sur smartphone, on peut faire plein de trucs (salut aux community managers).

J’ai très tôt voulu acquérir cette indépendance : pouvoir faire 100% de mes activités (que ce soit en écriture ou production sonore) avec un matériel capable de rentrer au maximum dans un sac à dos d’avion. Soit : ordinateur portable, smartphone, tablette, éventuellement un contrôleur musical, une connexion Internet à l’arrivée. Si ça ne rentre pas là-dedans, il faut trouver un contournement. Et il faut une sacrée bonne raison pour qu’une application ne fonctionne pas tant sous Mac qu’iOS (typiquement, la production sonore – c’est pour ça que Scrivener, je te regarde). Auguste lectorat, si tu es là depuis un moment, tu as certainement senti, tel l’upwelling des côtes chiliennes, cette tendance de fond qui sous-tend tous les articles sur la productivité (ou l’invitation de la semaine dernière à refaire le voyage de la prise de notes) : la liberté de bouger.

N’aie crainte, I have a point. Comme je clame à tue-tête tout le bien que je pense de l’iPad pour la prise de notes manuscrites, une lectrice du blog m’a resignalé la semaine dernière l’existence d’un appareil sur lequel on m’interroge souvent, et dont je me suis dit, à force, que je devrais en dire un mot : la tablette ReMarkable.

Image ReMarkable

La promesse de ReMarkable consiste à proposer un appareil imitant la sensation du papier (utilisant la technologie de l’encre électronique, comme sur les liseuses), avec les avantages du numérique (portabilité, sauvegarde) sans les inconvénients (distractions). Et j’avoue que l’appareil et les vidéos de démonstration sont plutôt sexy, et la promesse est alléchante.

Je serais curieux d’essayer l’engin un jour en démonstration, mais je ne suis pas client de ReMarkable, comme je ne suis pas client des machines à écrire “modernes” qui proposent une expérience dépouillée d’écriture.

J’ai pu tester de nombreuses fois la multiplication des appareils destinés à servir différentes finalités et pour moi, le minimalisme numérique ne consiste pas à avoir des appareils à une seule fonction, mais un minimum d’appareils (comme d’applications, etc.). Moins d’appareils : moins de choses à mettre à jour, à maintenir, à faire communiquer entre elles, à recharger, etc. Moins d’encombrement, aussi, dans le cadre de la mobilité.

Mais quid de la promesse d’une expérience dépouillée, dépourvue de distractions ?

J’ai un point de vue très tranché là-dessus. Si je me laisse distraire par mon appareil, le problème ne vient pas de l’appareil mais de moi. À titre personnel, je trouve plus productif et utile à mon existence de travailler ma volonté et ma concentration de façon générale, de réfléchir aux bonnes manières de la canaliser (ne serait-ce que – étape de base qui me semble indispensable à l’usage de tout appareil numérique – désactiver 99% des notifications). Je préfère avoir un seul appareil surpuissant qui me permette de faire 80% de mes activités et 100% de mon métier d’auteur (un iPad Pro) en mobilité (avec une connexion 4G intégrée au machin) et prendre soin de m’en servir en pleine conscience plutôt que chercher des contournements (et si je travaille sur mon Mac, c’est autant que possible par plaisir ou par préférence de la plate-forme plutôt que par contrainte technique). Je sais très bien ce qui se passera si j’achète une ReMarkable : je jouerai avec deux jours, puis elle rejoindra ma liseuse dans un tiroir (quand je lis en numérique à présent, je lis sur mon téléphone avec le mode Ne pas déranger activé, car mon téléphone est l’engin que j’ai le réflexe de sortir).

Ça n’est évidemment que mon avis aujourd’hui, et si vous avez du plaisir et que vous êtes efficace avec un ReMarkable ou une machine à écrire, more power to you.

2022-04-20T09:16:25+02:00lundi 20 janvier 2020|Lifehacking|Commentaires fermés sur Un mot sur la tablette ReMarkable (… et les machines à écrire)

Florence Bury (directrice d’ouvrage) parle de « Les Dieux sauvages »

Après que j’ai un chouïa bredouillé sur deux vidéos (c’est flippant, le pouvoir de la caméra), Florence Bury se prête très aimablement à l’exercice à son tour et parle de « Les Dieux sauvages » dans une chouette présentation.

Florence est ma directrice d’ouvrage depuis plus de cinq ans (depuis La Route de la Conquête) et je ne saurais la remercier assez pour son regard à la fois exigeant et bienveillant sur mes livres, ainsi que pour sa patience et son travail titanesque quand le volume des histoires m’échappe un peu…

Merci, Florence !

2019-06-06T22:07:12+02:00jeudi 13 juin 2019|Dernières nouvelles|1 Commentaire

Pourquoi l’imaginaire ? [Entretien]

Hop, un petit entretien en vidéo récemment mis en ligne : en juin dernier, j’ai eu l’honneur et l’avantage d’être le parrain de la Journée des mondes oniriques à Charleville-Mézières (la ville où tout discours se doit de mentionner Rimbaud, c’est pourquoi dans le mien j’ai dit “vous devez en avoir marre qu’on vous sorte Rimbaud donc je le ferai pas”, check).

L’organisation m’a proposé une petite discussion sur ce que je fais de mes journées, pourquoi, la technique de l’écriture, et pourquoi l’imaginaire. Si tu traînes souvent en ce lieu de perdition, auguste lectorat, tu n’apprendras pas nécessairement grand-chose, puisqu’il s’agit surtout d’une jolie présentation (et merci !), mais l’ambiance est détendue, le décor est chouette, on est bien :

2019-05-13T21:49:52+02:00mercredi 3 avril 2019|Entretiens|Commentaires fermés sur Pourquoi l’imaginaire ? [Entretien]

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