Procrastination podcast ép. 9 : “La place du rêve dans la création (1)”

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Deux semaines ont passé, et le nouvel épisode de Procrastination, notre podcast sur l’écriture en quinze minutes, est disponible ! Au programme : “La place du rêve dans la création (1)“.

Travailler l’inspiration : un paradoxe ? Dans la première partie de cet épisode en deux volets, Mélanie Fazi, Laurent Genefort et Lionel Davoust entrent dans les méandres du rêve et de la réflexion dans le processus créatif, partant de l’idée initiale, de sa croissance, jusqu’à sa réalisation. Comment s’organise l’équilibre entre contrôle et lâcher-prise de l’auteur ? Prendre conscience de cette mécanique peut-il aider à nourrir l’écriture, et si oui comment ?

Procrastination est hébergé par Elbakin.net et disponible à travers tous les grands fournisseurs et agrégateurs de podcasts :

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Bonne écoute !

2019-05-04T18:48:39+02:00lundi 16 janvier 2017|Procrastination podcast, Technique d'écriture|8 Commentaires

La photo de la semaine : Jökulsárlón

Splendide, mais triste quand on se dit que dans les années 30, cette lagune n’existait pas. Le glacier allait jusqu’à la mer, à des kilomètres.

Mais sinon, le changement climatique n’existe pas, hein.

Jökulsárlón

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2017-01-13T09:37:47+01:00vendredi 13 janvier 2017|Photo|4 Commentaires

La bande originale de Léviathan disponible en ligne et CD !

C’est toujours un bonheur pour un auteur de voir son univers stimuler l’imaginaire d’autres artistes – c’est un rare privilège quand c’est un compositeur du talent de Jérôme Marie. Je le remercie profondément d’avoir architecturé, porté et mené à bien ce beau projet ; je suis très attaché aux sons, à commencer bien sûr par le rythme de la langue, et ce fut pour moi une réelle odyssée de redécouvrir le voyage initiatique de Michael Petersen à travers le prisme nouveau de sa musique. Elle évoque à la fois la nostalgie et l’implacabilité en un équilibre subtil qui restitue avec émotion le mystère Léviathan. Prenez garde à votre Ombre, car elle rôde dans les abysses de ce que vous entendrez… !

Nous y sommes ! (En fait, nous y sommes depuis le fin d’année dernière, mais je rattrape les informations depuis mon absence.) La bande originale réalisée pour la série Léviathan par Jérôme Marie est disponible sur toutes les plate-formes, et également en CD (avec aussi une édition ultra-limitée dédicacée si le cœur vous en dit).

La musique est écoutable en entier sur le site de Jérôme Marie, avec un lien vers les commandes de CD.

Pour les plate-formes numériques, c’est par ici :

Et Spotify (ouh le joli widget) :

Grand merci à Jérôme Marie pour avoir prêté son talent à cet univers et cet histoire. Puisse cette musique vous fasse voyager jusqu’aux pôles et réveiller l’ardence !

2017-01-12T09:09:08+01:00jeudi 12 janvier 2017|À ne pas manquer|1 Commentaire

Rennes : venez découvrir le programme de Critic en 2017

Un mot rapide pour signaler que demain à Rennes, au splendide bar l’Heure du Jeu, les éditions Critic vous convient à une soirée spéciale pour revenir sur l’année 2016 et, surtout, présenter le catalogue à venir de l’année 2017.

J’y présenterai notamment La Messagère du Ciel et tout le projet de la trilogie « Les Dieux sauvages » ainsi que son insertion dans l’univers d’Évanégyre (même si ce récit est, j’insiste à nouveau, indépendant). À ce que je sais, Thomas Geha sera présent également et il y aura une petite séance de dédicaces ensuite.

2017-01-20T10:28:37+01:00mardi 10 janvier 2017|À ne pas manquer|Commentaires fermés sur Rennes : venez découvrir le programme de Critic en 2017

La boîte à outils de l’écrivain : ne perdez plus de données avec Backblaze

Je mets un peu la charrue avant les bœufs – il aurait été logique de parler d’abord de stockage dans la nuage – mais je vois trop de collègues et d’amis perdre des données critiques à jamais à la suite d’accidents de manipulation, de supports informatiques qui grillent ou d’ordinateurs qui crashent. Donc, faites-vous une faveur, faites-moi plaisir : sauvegardez vos données, car elles sont précieuses.

Nos vies se trouvent aujourd’hui numérisées en grande partie : photos de famille, collection musicale, souvenirs divers. Et pour un écrivain, bien entendu, le fruit de sa création se trouve principalement sous la forme de fichiers de taille comparativement réduite, à tel point que la production complète de sa vie peut peut-être tenir sur une seule clé USB.

Est-ce une raison pour la conserver sur un unique support ? Non, surtout pas. Les supports informatiques meurent tous. C’est peut-être moins visible qu’à l’époque des disquettes, mais cela reste une réalité. Écrire un livre est une entreprise de (très) longue haleine : imaginez-vous le désespoir si, d’un seul coup, le fruit de mois, voire d’années de travail partait en fumée ? Rien que l’année dernière, j’ai vu un ordinateur portable valser à travers une pièce, une clé USB griller et une fausse manipulation faire disparaître des gigas de données.

La solution, bien sûr, est un protocole de sauvegarde, mais comme avec toutes les bonnes résolutions, on s’y tient un mois ou deux. Le bon protocole de sauvegarde fonctionne sans effort ni intervention. C’est là qu’intervient Backblaze.

Sauvegarde dans le nuage

Backblaze est tout simplement un petit logiciel qui vient s’installer sur la machine et, dorénavant, en sauvegardera tout le contenu dans le nuage, via Internet, sans la moindre intervention de la part de l’utilisateur. Pourvu qu’on les laisse branchés assez longtemps, il protégera aussi le contenu des médias externes : disques durs, clés USB, etc. Le tout sans limite de stockage pour une machine donnée, et avec un usage respectueux de la bande passante.

3 To de données ? Oui, je sauvegarde aussi mes bibliothèques musicales et mes photos avec.

Backblaze est incroyablement simple d’emploi : il suffit de l’installer et de le laisser faire, mais il comporte également toutes sortes de paramètres fins pour l’utilisateur pointu :

  • Cryptage supplémentaire. Pour améliorer la sécurité des données, il est possible d’entrer une clé de cryptage privée supplémentaire qui verrouillera une nouvelle fois l’archive de sauvegarde. Cela garantit que seul l’utilisateur pourra y accéder (mais il a intérêt à ne pas perdre ce mot de passe, ou bien les données seront définitivement irrécupérables).
  • Exclusions. Pas envie d’envoyer vos photos privées sur le nuage ou ce fameux dossier Documents\enfin_la_vérité_sur_l_assassinat_de_jfk ? Backblaze propose un filtrage de certains dossiers qui ne quitteront jamais votre machine.
  • Filtrage horaire. Besoin de conserver un maximum de bande passante en journée ? Backblaze peut aussi n’agir qu’aux heures qu’on lui indique.

La restauration des données est très simple : une visite en ligne dans l’espace sécurisé permet de consulter à tout moment l’état de sa sauvegarde et de récupérer un fichier, ou bien l’intégralité de ceux-ci. De plus, le logiciel conserve les versions successives d’un fichier donné pendant 30 jours (idéal pour rattraper une fausse manipulation).

Backblaze offre l’assurance de la tranquillité, la promesse que rien ne sera plus jamais perdu en cas d’accident, de vol ou de support qui plante.

Pourquoi Backblaze ?

Il existe plusieurs solutions similaires sur le marché, mais, après quelques tests et une étude rapide du marché, j’ai jeté mon dévolu sur Backblaze. Pourquoi ?

  • Le concurrent le plus proche de Backblaze est Crashplan mais, après m’en être servi quelques années, j’ai quitté ce service. J’ai constaté sous Crashplan des problèmes de performance passé 3 To de données, quand Backblaze est une application native qui avale sans sourciller le volume que je lui envoie.
  • Compromis entre facilité d’usage / sécurité des données.
  • Le tarif. J’ai besoin d’un stockage illimité car je protège, entre autres, mes bibliothèques musicales qui prennent une taille folle. Backblaze coûte seulement 50 $ par an et par machine, ce qui représente, à ce que j’ai constaté, un tarif imbattable.

Je le sens bien, cet article sonne un peu comme de la pub, mais il est difficile de crier combien les sauvegardes sont indispensables sans passer pour un prosélyte. La sauvegarde, c’est comme la ceinture de sécurité : on s’en sert pour ne pas regretter d’en avoir eu besoin un jour. Un écrivain n’est rien sans le produit de son esprit, sans les notes sur ses projets, sans l’archive de sa création. Ne perds pas ton travail, auguste lectorat, protège-le comme il le mérite, offre-toi une assurance pour le jour où ta machine rendra l’âme (car elle le fera : elles le font toutes un jour).

Inscription sur Backblaze (lien affilié offrant un mois gratuit en cas d’inscription)

2019-06-07T22:38:58+02:00lundi 9 janvier 2017|Best Of, Technique d'écriture|2 Commentaires

Procrastination podcast ép. 8 : “Show, don’t tell”

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Deux semaines ont passé, et le nouvel épisode de Procrastination, notre podcast sur l’écriture en quinze minutes, est disponible ! Au programme : “Show, don’t tell“.

« Show, don’t tell » (montrez, ne dites pas) est une admonestation classique des manuels d’écriture en langue anglaise. Dans cet épisode, Mélanie Fazi, Laurent Genefort et Lionel Davoust explicitent en détail cette technique qui permet de s’appuyer sur l’action pour rendre un récit plus vivant et y impliquer le lecteur. Mais son abus présente également des dangers, et il peut être pertinent, dans certains cas, de ne pas la suivre : « tell, don’t show » est tout aussi valide !

Procrastination est hébergé par Elbakin.net et disponible à travers tous les grands fournisseurs et agrégateurs de podcasts :

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2019-05-04T18:48:40+02:00jeudi 5 janvier 2017|Procrastination podcast, Technique d'écriture|1 Commentaire

Des orques en Islande

Pour démarrer l’année, rien de mieux que des orques. (Je suis partial mais tu le sais, auguste lectorat.)

J’étais donc en Islande fin décembre et, entre autres lieux splendides, j’ai fait une escale à Grundarfjörður, foyer de l’organisation Orca Guardians et des expéditions de whale watching Láki Tours. J’avais eu l’honneur il y a un an de baptiser un des orques de la péninsule de Snæfellsnes, Ardence (concept connu des lecteurs de Léviathan) – histoire racontée ici.

Cette année, j’ai pu partir à la rencontre des orques de cette péninsule, et s’ils se sont montrés timides en mer, il suffisait d’observer depuis… la terre, en conduisant quelques minutes. Une rencontre magique dans les glaces et le silence de l’Islande, que j’ai pu partager sur le site d’Orca Guardians, article à lire ici

Orca Guardians est une toute jeune organisation mais elle fait déjà un travail phénoménal de conservation et d’étude respectueux des animaux dont pourraient s’inspirer bien des structures plus anciennes. Je connais la qualité du travail de sa directrice, Marie Mrusczok, pour avoir été volontaire avec elle au Hebridean Whale and Dolphin Trust dans les Hébrides en 2012 (articles liés). Je ne peux que recommander de s’intéresser au travail d’Orca Guardians, et peut-être de soutenir la recherche à travers l’adoption d’un des orques les plus notables de la péninsule. La page Facebook de l’organisation est ici, avec de splendides photos chaque jour !

 

2017-06-08T18:00:44+02:00mercredi 4 janvier 2017|Carnets de voyage|Commentaires fermés sur Des orques en Islande

2017

Here we go again. Salutations, auguste lectorat, et belle et heureuse année ! Je rentre de fêtes passées en Islande, avec une nouvelle tonne de photos, d’images, de points d’expérience gagnées dans la compétence Conduite (avec bonus pour blizzard et glace). En image, le plus beau coin que j’aie pu voir, la lagune du Jökulsárlón où le glacier se déverse à quelques kilomètres à peine de la mer (dans les années 1930, il l’atteignait encore). Tout comme les millénaires ont distillé la neige en glace, puisse le travail régulier de vos ans, dans tous les domaines, porter leurs fruits tandis que des strates nouvelles se déposent !

2017-01-03T10:52:24+01:00mardi 3 janvier 2017|À ne pas manquer|8 Commentaires

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