Et je vais vous dire un truc : c’est génial qu’une revue comme Historia, un vrai monument avec plus d’un siècle d’existence à elle seule, tende avec enthousiasme la main au genre pour accueillir et célébrer ses contributions à la grande conversation de l’histoire, surtout pour le mois de l’imaginaire.

24 pages, donc, qui s’adressent au grand public pour découvrir les forces et les spécificités du genre et replacer les grandes œuvres qui ont marqué à l’image les consciences dans leur contexte : avec une proposition de bibliothèque idéale, des chroniques récentes (merci à Véronique Dumas, d’ailleurs, pour sa chronique élogieuse de « Les Dieux sauvages » que j’ai découvert avec enchantement à la réception du numéro) et des articles couvrant la substance du genre. Je me suis pour ma part humblement chargé d’une tentative de définition et d’historique de la fantasy – en 6000 signes, c’est un tour d’horizon nécessairement global, mais qui espère poser clairement les jalons pour les néophytes.

Si vous avez dans votre entourage des personnes qui s’interrogent sur le sujet et peinent à comprendre ces histoires bizarres d’elfes de de dragons, c’est une porte d’entrée idéale.

Merci à toute l’équipe de la revue d’avoir fait une place à la fantasy pour ce numéro d’octobre et d’avoir mis en avant ses liens avec le patrimoine de l’humanité, tout spécialement à Victor Battaggion, rédacteur en chef adjoint (qui sera présent aux Imaginales, et dirige des débats d’une grande richesse avec son goût pour l’imaginaire et sa culture d’historien).

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