Là, c’est intraduisible. La Great Ocean Road court tout le long du sud-ouest de Melbourne, en Australie, où se trouvent notamment les célèbres Douze Apôtres.
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Auteur des Dieux sauvages, Léviathan et Port d’Âmes
« À quoi bon marcher ou nager pour atteindre la rive d’en face ?
— Tu y trouveras ton but.
— Je suis moi-même mon propre but. »
Le vieillard sourit et gifle le jeune homme.
« Arrogant. Marche, escalade, nage, souffre et va de l’autre côté, c’est ainsi que l’on découvre son but.
— Mais… »
Le vieil homme lui fait signe de se taire.
« Tu n’apprendras rien en parlant avec moi. Tu n’es pas ton propre but, tu le deviens. Or pour devenir, il faut avancer. »
PS : je n’ai pas été très assidu sur les dernières photos, pas facile d’être régulier 😉
Merci de venir te prêter au jeu 😊 Tant que tu es régulier sur ton propre manuscrit et tes propres projets, c’est l’essentiel, c’est ça la priorité !
C’est toujours un plaisir d’écrire un texte à partir de tes photos.
Pour le moment j’arrive à rester réglier sur mes manuscrits. Ce n’est pas toujours facile de garder la force (je suis encore en attente de réponse pour une novella et je viens d’avoir un refus pour une nouvelle), mais il faut persévérer, je crois.
Et puis, j’ai récemment soumis un roman à Argyll (un texte qui, je pense, s’inscrit parfaitement dans leur ligne éditoriale. On verra bien si cela plaît).
En attendant je travaille sur une novella pour laquelle tes conseils sur le point de vue (reçus en atelier) me sont très utiles 😉
Ah, content que cela puisse te servir !
Et tu as tout à fait raison, il faut persévérer. Obtenir des réponses positives peut être très long, et le trajet personnel pour commencer à arriver à saisir un tant soit peu ce qu’on fait davantage encore. Ce n’est pas du tout drôle d’avoir des refus, mais il faut aussi se rappeler que les éditeurs ont des goûts différents. Certains textes qui m’ont été refusés ont terminé lauréats de prix et traduits à l’étranger. Continue, on apprend chaque jour — pour soi-même, c’est cela qui compte avant tout 🙂