Promotion Rivière Blanche : -40% sur cinq livres !

Couv. Anne-Claire Payet

Petit mot rapide pour signaler que, pour les fêtes, Rivière Blanche propose une promotion surlecutante (je milite pour que ça entre dans le dictionnaire) de -40% pour toute commande de cinq livres avec frais de port offert. Pour ce faire, attention, passez bien par le procédé exposé sur la page d’accueil (envoyer un mail avec votre commande).

En ce qui me concerne, j’ai le plaisir d’avoir un certain de nombre de textes publiés dans des anthologies chez Rivière Blanche : « Changelin » dans Dimension Technosciences @venir, « Les Questions dangereuses » dans Dimension De Capes et d’Esprits vol.2, « L’Île close » et « Le Meilleur d’entre eux » repris dans Dimension Brocéliande.

Il y a aussi le splendide recueil de Bruce Holland Rogers, L’Opéra des Serrures, que j’ai eu l’honneur de traduire. Et bien sûr, L’Importance de ton regard.

Oooooh tieeeeens ça fait justement cinq livres… J’dis ça j’dis rien, on est d’accord.

2020-01-06T00:00:08+01:00mercredi 18 décembre 2019|À ne pas manquer|Commentaires fermés sur Promotion Rivière Blanche : -40% sur cinq livres !

La face cachée de l’anthologie (café littéraire à ImaJn’ère 2016)

Patrice Verry, André-François Ruaud, Meddy Ligner, LD

Patrice Verry, André-François Ruaud, Meddy Ligner, LD

Lors du festival ImaJn’ère d’Angers, cette table ronde faisait participer André-François Ruaud, Meddy Ligner, mon humble moi-même et était animée par Patrice Verry.

Pour tout savoir sur le métier d’anthologiste (un métier d’anthologie, comme mon correcteur orthographique voudrait me le faire écrire) ; comment l’on construit ces ouvrages collectifs, comment les éditeurs travaillent, quel est le rôle exact du directeur d’ouvrage, c’est dans la vidéo ci-dessous, capturée et commentée par Justin Hurle sur Kulturopat.

2016-07-04T22:03:16+02:00jeudi 7 juillet 2016|Entretiens|Commentaires fermés sur La face cachée de l’anthologie (café littéraire à ImaJn’ère 2016)

Le sommaire de l’anthologie Reines et Dragons

Couv. Kerem Beyit

Les Imaginales, le festival des mondes imaginaires d’Épinal, approche (c’est fin mai !) ; Sylvie Miller et moi-même sommes très heureux de pouvoir révéler le sommaire de l’anthologie du festival, que nous co-dirigeons aux éd. Mnémos, dévolue cette années aux Reines et Dragons. Du beau monde qui rassemble la fantasy héroique, urbaine, l’aventure, le conte, l’émotion – par ordre d’entrée en scène… :

  • Chantal Robillard, “Le dit du Drégonjon et de son Elfrie”
  • Thomas Geha, “Chuchoteurs du dragon”
  • Adrien Tomas, “Ophëa”
  • Anne Fakhouri, “Au cœur du Dragon”
  • Justine Niogret, “La grande déesse de fer de la miséricorde”
  • Pierre Bordage, “Morflam”
  • Charlotte Bousquet, “Azr’Khila”
  • Vincent Gessler, “Où vont les reines”
  • Erik Wietzel, “Le monstre de Westerham”
  • Mathieu Gaborit, “Under a Lilac Tree”
  • Nathalie Dau, “Cet œil brillant qui la fixait”
  • Mélanie Fazi, “Les Sœurs de la Tarasque”

Le livre sera disponible en avant-première aux Imaginales, puis partout ailleurs, bien sûr.

2012-04-27T22:06:01+02:00jeudi 15 mars 2012|À ne pas manquer, Actu|9 Commentaires

“Simbad”, à paraître dans Ghost Stories vol.1, Du Crépuscule à Minuit (25 octobre)

Couv. Jimmy Kerast

Un mois après la sortie de Léviathan : La Chute (dont je vais commencer à parler pas mal en ces lieux, il serait temps !), c’est-à-dire le 22 septembre (ho ho que c’est subtilement placé), l’anthologie dont la couverture se trouve ci-contre, Ghost Stories vol.1, Du Crépuscule à Minuit, sortira aux éditions Asgard, le 25 octobre. Elle est dirigée par Peggy van Peteghem et Thomas Riquet. J’ai le grand plaisir d’y figurer avec une nouvelle de fantastique intitulée « Simbad », et il y a un très beau sommaire !

Au sommaire

  • Préface – Jérôme Noirez
  • Claude Bolduc
  • Anthony Boulanger
  • David Bry
  • Nathalie Dau
  • LD
  • Jeanne A. Debats
  • Deconinck et Appy
  • Gudule
  • Céline Guillaume
  • Rémy Guyard
  • Julien d’Hem
  • Jess Kaan
  • Antoine Lencou
  • Elodie Meste
  • Vincent Mondiot
  • Vanessa Terral
  • Christian Vila

 À propos de “Simbad”

Il lui tira les cheveux parce qu’elle avait été la plus lente. Ou bien peut-être s’était-elle laissée faire. Il avait tiré en l’air avec le fusil de chasse de son grand-père pour montrer qu’il était sérieux, qu’il irait jusqu’au bout, mais cela n’avait fait que déclencher la panique parmi les ouvriers en colère ; tous avaient fui en courant par les escaliers situés de part et d’autre de la salle de tri. Affolé, il avait tendu la main, cherchant à attraper quelqu’un, un otage, au moins, s’il ne pouvait les avoir tous. Le hasard avait voulu que ce soit lui, que ce soit elle ; le hasard, ou bien le fait qu’elle n’avait pas réagi aussi vite que les autres, déjà fatiguée, trop lourde avant d’avoir fait un seul pas.

“Simbad” est l’histoire d’une prise d’otages désespérée dans l’usine de recyclage de déchets d’un village perdu – mais de vieux secrets et d’anciennes trahisons vont bientôt resurgir, faisant glisser ce huis clos dans le cauchemar et le chagrin…

C’est donc une histoire de fantômes, comme le dicte le thème de l’anthologie, mais j’ai voulu m’efforcer de proposer un angle qui, je l’espère, pourra surprendre. J’espère que le beau sommaire vous donnera envie de vous procurer cet ouvrage sur un thème finalement assez rare en France, et que “Simbad” vous plaira ; c’est la première nouvelle écrite après avoir terminé Léviathan : La Chute, et je crois qu’elle s’est nourrie de l’expérience acquise.

2011-08-27T19:57:56+02:00samedi 27 août 2011|Actu|3 Commentaires

« Point de sauvegarde », à paraître dans La Guerre, anthologie d’une belligérance

Couv. Simon Goinard Phelipot

Voilà un projet dont je n’avais pas encore parlé, parce que les choses se sont emballées récemment : j’ai le grand plaisir de pouvoir annoncer la publication prochaine d’un nouveau texte intitulé « Point de sauvegarde », dans La Guerre, anthologie d’une belligérance, ouvrage dirigé par Yael Assia et Merlin Jacquet aux éditions Hydromel. L’anthologie sortira fin mai, juste à temps pour les Imaginales, où les éditions Hydromel seront présentes.

Quatrième de couverture

La guerre, c’est l’opéra grotesque d’un crime à grande échelle ; une forme fondamentale de la nature humaine, le théâtre atavique de la discorde. La guerre, c’est l’abandon de soi dans l’idée commune, et l’expression la plus extrême de la solitude de l’être.

Quatorze déclinaisons sensibles et concernées sur la pandémie la plus imaginative de l’Histoire : de l’esthétique du conflit à la mise en exergue de l’horreur brute d’un enfant-soldat, les textes composent de la guerre dans notre société et nos imaginaires ; de la dissension entre et au sein de nos êtres, de la mémoire dans nos structures, sous toutes nos coutures.

De l’humain bâti sur le feu pour s’anéantir dans ses braises. De la tension, de l’exécution, du souvenir, avec violence, lassitude – avec espoir, parfois ; puisqu’il ne s’agit au final rien de moins, dans toute la splendeur de son ironie, que d’une bataille contre la guerre.

Au sommaire

  • Stéphane Beauverger
  • Stéphanie Benson
  • Pierre Bordage
  • Charlotte Bousquet
  • Jean-Michel Calvez
  • Lucie Chenu
  • LD
  • Léo Henry
  • Jess Kaan
  • Luvan
  • Li-Cam
  • Jacques Mucchielli
  • Jérôme Noirez
  • Laurent Queyssi

À propos de “Point de sauvegarde”

2050. Bennett, Martinez et Rivera sont des surhommes : des cyborgs, dont la psyché méticuleusement conservée dans leur cerveau biologique commande à un corps d’acier, de fibres de carbone et d’élastomère. Sens augmentés, force physique décuplée, ce sont les soldats parfaits, invincibles, méticuleux, méthodiques.

Immortels.

L’Armée des Sans-Terre s’est retranchée dans une vieille mission située au coeur de l’Amazonie, où un brouilleur dissimule leurs effectifs et leurs objectifs véritables. L’objectif des trois cyborgs : reprendre le site et exterminer les rebelles.

Mais ce qu’ils vont y trouver va heurter de plein fouet leurs convictions, leur identité – et leur raison même d’hommes-machines…

Oui, “Point de sauvegarde” est donc de la SF ! Cela faisait des années que je ne m’étais pas aventuré sérieusement dans ce domaine et cela m’a fait plaisir de pouvoir jouer avec un thème qui m’intéresse énormement, celui du cyborg et les réflexions que cela entraîne sur la question de l’identité et du soi. Cela m’a aussi confronté à nouveau aux difficultés inhérentes au genre : comment construire une extrapolation scientifique vraisemblable pour proposer des choses qui n’existent pas encore ? La SF nécessite de prêter attention à une myriade de détails du monde réel et de sa technologie pour fournir une anticipation vraisemblable ; un exercice dont j’avais un peu perdu l’habitude – la fantasy et le fantastique exigent une cohérence interne, mais la création y est plus libre, puisque l’on peut s’écarter des lois réelles du monde. J’espère m’en être tiré correctement. Après… Le texte devrait cacher une ou deux surprises !

2011-05-17T15:57:32+02:00mardi 17 mai 2011|Actu|7 Commentaires

« Le Sang du large » in Contes de villes et de fusées

Couv. Eric Scala

Je suis très heureux de figurer au sommaire de la première anthologie publiée par les éditions Ad Astra, Contes de Villes et de Fusées, dirigée par Lucie Chenu !

Les éditions Ad Astra, fondées par Xavier et Mikaël Dollo, sont une nouvelle maison qui a déjà publié un premier roman de space opera flibustier, Les Pilleurs d’âme de Laurent Whale, en train d’être très favorablement remarqué par la critique. Au programme, des romans bien sûr, des anthologies, mais aussi des art books (cahier de croquis d’Eric Scala à paraître en décembre 2010), avec toujours le goût de l’imaginaire et de la qualité littéraire.

À propos de l’anthologie

Contes de Villes et de Fusées joue le jeu de la réécriture et de la réinvention des contes de fées.

Quatrième de couverture :

Oyez ! Oyez !

Princesses richissimes, enfants abandonnés, loups terrifiants et fées marraines se réincarnent à notre époque ou dans un avenir lointain…

Les héritiers de Perrault, des frères Grimm ou d’Andersen donnent libre cours à leur imagination pour tordre, transformer et réécrire les contes de fées.

Au sommaire :

  • Il était une nouvelle fois (préface de Lucie Chenu)
  • Julien FOURET : « Une leçon de contes de fées »
  • Jean MILLEMANN : « La Fée des glaces »
  • Delphine IMBERT : « Une histoire de désir »
  • Pierre-Alexandre SICART : « La Griffe et l’Épine »
  • Antoine LENCOU : « ReCréation »
  • Pierre GÉVART : « Grain de sel et Bretelle »
  • Nicolas BALLY : « La Petite Capuche rouge »
  • Charlotte BOUSQUET : « Corner Girl »
  • Sylvie MILLER et Philippe WARD : « Le Pacha botté »
  • Jean-Michel CALVEZ : « Un temps de cochon ! »
  • Lionel DAVOUST : « Le Sang du large »
  • Sophie DABAT : « La Mort marraine »
  • Jess KAAN : « Pour Judith »
  • Mélanie FAZI : « Swan le bien nommé »
  • Estelle VALLS DE GOMIS : « Poches et Troncs »
  • Léonor LARA : « Sacrifices »

La préface de Lucie Chenu est par ailleurs lisible sur le blog d’Ad Astra, ici en PDF et là en ePUB.

À propos du “Sang du large”

Tous les rituels par lesquels on passe quand on n’a pas envie d’écrire, je les connais par cœur.

Il y a le café, les excitants doux, le chocolat, le pancake au sirop d’érable, la petite bière qui, se dit-on, va mettre à l’aise, va créer autour de soi une atmosphère assez détendue et confortable pour entrer en contact avec son moi profond, son inspiration – sa Muse. Vingt-cinq ans de ce régime m’ont donné un embonpoint disgracieux et assez de tension artérielle pour alimenter trois pacemakers.

Paul Whittemore est un auteur à succès, mais taciturne et renfermé. C’est l’heure du bilan sur sa vie, un bilan guère positif, mais la féerie sait se glisser par des interstices inattendus – une féerie fatale ou bénéfique ?

Pour commander

Le livre sort le 11 septembre. Il sera commandable à cette date sur le site des éditions Ad Astra : http://www.adastraeditions.com/boutique-article-68734.html, ou bien chez votre librairie préféré !

2010-10-14T11:06:02+02:00mardi 31 août 2010|Actu|7 Commentaires

« Quelques grammes d’oubli sur la neige » in Magiciennes et sorciers

Couv. Julien Delval

Je l’ai un peu mentionné à droite et à gauche mais il est grand temps d’en parler convenablement : j’ai la grande joie de vous annoncer la publication de la nouvelle intitulée “Quelques grammes d’oubli sur la neige” dans l’anthologie des Imaginales, intitulée cette année Magiciennes et sorciers ! Tout comme Rois et capitaines, elle est dirigée par Stéphanie Nicot aux éditions Mnémos.

C’est un texte indépendant, comme toujours, mais c’est également une nouvelle histoire du monde d’Évanégyre.

Nicolas Soffray, de La Yozone, a critiqué l’anthologie en avant-première : retrouvez son avis détaillé ici !

Sans conteste, Magiciennes et Sorciers succède dignement à Rois et Capitaines. Après l’honneur ou la trahison des hommes d’armes, cette seconde anthologie des Imaginales célèbre la magie, dans toute sa dualité, des souffrances qu’elle inflige aux maux qu’elle peut soulager, du pouvoir qu’elle apporte au prix qu’il faut, fatalement, payer.

Le livre

Quatrième de couverture

« L’ENCHANTERESSE DEVINA que le sorcier ne se laissait pas abuser par tous les charmes hallucinatoires ; derrière le voile chatoyant de la fantasmagorie, il percevait la réalité première de l’île, et il se déplaçait en fait sur le court trajet menant de la grève à la demeure de sa cible. Il traversa les landes aux tourbières dangereuses ; il s’enfonça dans les bois enchantés en trébuchant sur les racines, mais sans marquer la moindre hésitation. »
Réalisée en partenariat avec les Imaginales, le festival d’Épinal où le meilleur des auteurs de la fantasy française et mondiale se retrouve chaque année, Magiciennes et Sorciers s’inscrit dans la lignée de Rois et Capitaines, salué par une critique enthousiaste qui y a vu « sans doute la meilleure anthologie de fantasy francophone parue à ce jour » (ActuSF).
Autour de l’un des grands thèmes du genre, cette seconde anthologie a convoqué les maîtres de la fantasy épique — et quelques révélations issues de la nouvelle génération — , victimes des sorts les plus puissants. Magicienne du « Vieux Royaume » ou sorcière basque, femme humiliée vengeresse ou victime des forces du Mal, sinistres Moires de la famille Tengelli ou « chiens rouges » revenus d’entre les morts, ils sont tous là… Entrez dans les mondes fascinants de Magiciennes et Sorciers !
Critique littéraire, essayiste, formatrice, anthologiste (on lui doit, en 2009, Rois et Capitaines), rédactrice en chef de la revue Galaxies de 1996 à 2007, Stéphanie Nicot compte parmi les meilleurs spécialistes des littératures de l’imaginaire. Elle assure depuis sa création, en 2002, à Épinal, la direction artistique du festival Imaginales.

Au sommaire

Par ordre d’entrée en scène :

  • SIRE CÉDRIC, “Cœur de serpent”
  • Laurent GIDON, “Djeeb l’encharmeur”
  • Charlotte BOUSQUET, “Toiles déchirées”
  • Maïa MAZAURETTE, “Exaucée”
  • Justine NIOGRET, “T’humilierai”
  • Erik WIETZEL, “L’Ultime illusion”
  • Rachel TANNER, “In caude venimum”
  • Julien D’HEM, “Margot”
  • Sylvie MILLER & Philippe WARD, “Le Crépuscule des maudites”
  • Pierre BORDAGE, “L’Autre…”
  • Jean-Claude DUNYACH, “Respectons les procédures”
  • Lionel DAVOUST, “Quelques grammes d’oubli sur la neige”
  • Jean-Philippe JAWORSKI, “La Troisième hypostase”
  • Fabien CLAVEL, “Chamane”

À propos de “Quelques grammes d’oubli sur la neige”

« Tu es Irij Wolfran ? demanda le capitaine de la garde.

— C’est moi. » Ses prunelles étranges, aussi pures qu’un lac de montagne, se posèrent sans détour sur le soldat, sur moi-même puis sur Ragnar Vuofald – et je compris aussitôt que la note de défi qu’il y lut n’était nullement à son goût.

« Ton roi, Childe Karmon, te convoque céans à sa forteresse, continua le soldat, où tu te plieras à son service en toute chose.

— Karmon est peut-être votre roi mais il n’est pas le mien, répliqua-t-elle d’une voix très calme. Pourquoi devrais-je donc répondre à son appel ? poursuivit-elle.

— Tu vis sur ses terres, tu es donc une citoyenne de son royaume, répliqua le capitaine en s’efforçant de dissimuler une bouffée d’appréhension, toute l’assurance conférée par le prède envolée. S’il a besoin de toi… tu te dois de lui répondre.

— Je suis une citoyenne du vent et des arbres, de l’eau et de la lune. Les affaires des hommes ne me concernent pas. »

Je suis très heureux de pouvoir proposer un nouveau chapitre du monde d’Évanégyre introduit dans “Bataille pour un souvenir” et La Volonté du Dragon. Mais j’insiste à nouveau sur la totale indépendance des récits : nul besoin d’avoir lu ceux qui précèdent pour profiter de ce texte ; chaque histoire est construite pour se suffire à elle-même et il n’y a pas d’ordre de lecture préconisé.

Cependant, si l’on suit le monde, d’autres questions et une autre histoire émergent à mesure que des lieux et des noms reviennent, se répondent, parfois altérés par la perception des hommes ou le fossé des siècles. Je pense notamment que les lecteurs de La Volonté du Dragon pourraient être assez surpris du tour que prennent les événements dans “Quelques grammes d’oubli sur la neige”… Je n’en dis pas plus !

Sinon…

Je serai donc à St Malo, aux festival Étonnants Voyageurs, de vendredi à lundi, puis au festival Imaginales d’Épinal de jeudi à dimanche. J’espère vous y voir nombreux !

2010-08-17T11:50:44+02:00vendredi 21 mai 2010|Actu|1 Commentaire

Finalistes du prix Bob Morane 2010

Couv. Sébastien Bermès

Pour la onzième année consécutive, le jury du prix Bob Morane, composé de professionnels de la littérature (écrivains, éditeurs et critiques) vient d’annoncer ses finalistes. J’avais été vraiment ravi de voir Lucie Chenu remporter le prix catégorie “coup de coeur” l’année dernière pour son activité d’anthologiste et c’est évidemment avec joie que je la vois figurer encore une fois cette année parmi les nominés, en l’occurrence pour son anthologie Identités (éd. Glyphe). (Et tant que j’y suis, son recueil, Les enfants de Svetambre, vient de sortir aux éditions Rivière Blanche : plus d’infos ici.)

Mais surtout, félicitations à tous, bien sûr ! (suite…)

2010-02-01T18:31:17+01:00mercredi 27 janvier 2010|Actu|2 Commentaires

Trois exemplaires d’Interfictions 2 à gagner !

Couv. Alex Myers

Couv. Alex Myers

EDIT : tous les exemplaires ont été remportés. Merci de votre participation !

À l’initiative de Small Beer Press et de l’Interstitial Arts Foundation, je suis très heureux de vous proposer de remporter trois exemplaires d’Interfictions 2, l’anthologie de fiction interstitielle en langue anglaise dirigée par Delia Sherman et Christopher Barzak, sélectionnée par Amazon.com dans sa liste des dix meilleurs livres de SF et fantasy de l’année 2009 ! Voir le sommaire complet (qui compte Jeffrey Ford, Theodora Goss, M. Rickert…)

Comment faire ?

(suite…)

2010-02-01T16:34:42+01:00lundi 23 novembre 2009|Actu|Commentaires fermés sur Trois exemplaires d’Interfictions 2 à gagner !

Interfictions 2 : appel aux arts-mes

Couv. Alex Myers

Couv. Alex Myers

Petite interruption dans le cours du programme établi. Toujours dans le but de soutenir l’anthologie Interfictions 2 – les anthos jouissent peut-être d’une exposition encore plus faible aux États-Unis qu’en France et le marché se montre encore plus concurrentiel – l’Interstitial Arts Foundation multiplie les initiatives. Celle-ci peut intéresser les lecteurs… comme les artistes qui se montreraient inspirés par les textes du livre ou par, de façon générique, le projet en lui-même.

Comme pour la sortie du premier volume, l’IAF organise une vente aux enchères d’objets, bijoux et autres œuvres fondées sur les nouvelles d’Interfictions 1 et 2. Elle se déroulera en novembre (voir le site) pour coïncider avec la sortie du livre. La nouveauté cette année consiste à en élargir le champ également à la musique, invitant compositeurs, DJs et autres à créer des mixes ou morceaux inspirés par les nouvelles de l’anthologie. L’IAF serait ravie de recevoir vos créations (liens : pour les musiciens / autres arts). Des extraits de textes sont disponibles sur le site pour alimenter l’inspiration.

Évidemment, j’avoue que je serais très honoré et ravi si quelqu’un se sentait assez inspiré pour travailler sur « L’Île close ». Voici la version originale de l’extrait choisi par l’IAF pour illustrer la nouvelle :

Je me demande encore pourquoi je t’écris. Après tout, demain tu disparus, hier tu disparaîtras. Rien ne change et tout fluctue sur cette île qui s’étrécit, se dilate… Sais-tu combien c’est difficile de vivre une infinité de vies à la fois ? Une infinité, dis-je, en réalité il s’agit seulement d’un grand nombre, où au fond je reste la même. J’ai consigné sans cesse ces mots sur le papier et je ne l’ai encore jamais fait. Je suis jeune et vieille, l’épouse qui aime et trahit, la figure hiératique.
Mais surtout, je suis fatiguée.

Couv. John Howe

Couv. John Howe

Pour mémoire, le texte est disponible sous forme de podcast sur utopod.com (partie 1, partie 2), et bien sûr dans l’anthologie De Brocéliande en Avalon dirigée par Lucie Chenu, éd. Terre de Brume. Je peux aussi transmettre le manuscrit de la nouvelle aux artistes qui souhaiteraient travailler dessus (me contacter en privé pour engager la discussion).

La rémunération est évidemment inexistante en-dehors de mon enthousiaste reconnaissance, mais il me semble que c’est une belle occasion de se faire connaître dans le cadre d’un projet réalisé aux États-Unis et cela peut servir de tremplin et de vitrine.

Je suis à votre disposition pour toute discussion bien évidemment.

(Par ailleurs, l’appel à dons est toujours ouvert. Il n’est pas encore trop tard pour que votre nom puisse apparaître dans le livre, et l’IAF propose toutes formes de reconnaissance – et j’y rajoute en bonus, non pas une, ni deux, mais trois fois mon éternelle gratitude !)

2010-02-01T16:39:57+01:00lundi 6 juillet 2009|Actu|2 Commentaires

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