Arkeos 1e édition réédité en intégrale

Arkeos a… pfiou, plus de quinze ans ? Arkeos, c’est le jeu de rôle pulp rapide et fun, inspiré de l’aventure façon Indiana Jones, que nous avions écrit et publié avec Extraordinary Worlds Studio en 2004, sous la forme d’un magazine périodique tout en couleurs avec système de jeu, campagne et écran inclus. La gamme, épuisée de longue date, avait connu un très vif succès et je recevais de loin en loin des questions quant à une éventuelle disponibilité quelque part, que ce soit de l’univers ou du système de jeu.

Eh bien, sonnez tables de résolution universelle, car :

Couv. Mike

Arkeos 1e édition est de nouveau disponible en numérique, avec l’intégralité de tout le contenu jamais développé pour la gamme : les cinq numéros (écrits par Christian Grussi, Sydney Merkling et moi-même, avec des contributeurs comme Pierre Pradal, ainsi qu’Arnaud Cuidet, auteur de l’intégralité du volume 5), les scénarios additionnels, tous les bonus. Soit près de 500 pages, dont le détail (avec une petite histoire de la gamme) est à découvrir ici.

➡️ Arkeos, l’intégrale numérique rééditée

2021-02-05T18:08:26+01:00jeudi 28 janvier 2021|À ne pas manquer|Commentaires fermés sur Arkeos 1e édition réédité en intégrale

L’Héritage de l’Empire (« Les Dieux sauvages » 4) sortira le 20 novembre ! Couverture et précommandes !

Le site a changé de couleur, vous avez vu ? Ne tergiversons pas.

Couv. Alain Brion

BAAAAAAM

Cela fait un moment que je l’ai vue et que je trépignais qu’elle sorte : c’est chose faite ! Vous pensez que ça ne rigolait pas dans La Fureur de la Terre ? Ahaha. Cette couverture est parfaite à plus d’un titre (et merci, encore, à Alain Brion). Pour savoir pourquoi… 

… il faudra attendre le 20 novembre, date de sortie dans l’univers entier du roman, tome 4 de la saga « Les Dieux sauvages » et avant-dernier, donc !

J’ai l’impression de dire cela à chaque fois, mais : c’est le livre le plus ambitieux que j’aie jamais écrit. (Ce qui était une merveilleuse idée pendant une pandémie mondiale, un accident à la main et des projets personnels d’envergure, bien sûr.) Il dépasse les 900 pages (1,7 millions de signes, sachant que j’en ai bien écrit 2 millions au premier jet). Il passe la Rhovelle et les personnages au presse-purée de la guerre et des manipulations divines. Le dernier tiers est littéralement un roman dans le roman. Et la vraie nature du conflit entre les dieux sauvages, ainsi que celle de certains alliés, éclate au grand jour.

Bref, j’en suis content comme rarement, et je trépigne de l’avoir entre les mains, et que vous aussi.

Pour information, les précommandes sont d’ores et déjà possibles. N’hésitez pas à le demander à votre libraire (aux seules et uniques éditions Critic !), sinon toutes les plate-formes de livres électroniques (sauf Google) offrent déjà la possibilité du pré-achat, voir par exemple ici.

La quatrième de couverture

La guerre entre les dieux sauvages fait rage. La forteresse de Rhovelle, Loered, est isolée ; Mériane, la Messagère du Ciel, l’espoir du peuple, dispose d’une armée qu’elle ne peut déployer. Ganner fait route librement vers Ker Vasthrion, où gît un pouvoir qui offrira à Aska la domination totale. Wer est en train de perdre, et dans les hautes sphères du pouvoir, les hommes se raccrochent à l’espoir insensé que la vertu les sauvera. 

L’union des provinces et l’ultime résistance contre l’envahisseur démoniaque doit venir d’un symbole fort. Face à la main-mise du clergé sur le pouvoir, il faut un nouveau roi à la Rhovelle. Parallèlement, l’étau se resserre autour de Mériane : quitte à tout perdre, l’Eglise de Wer ne saurait accepter qu’une femme la sauve. Trahie par ses alliés, rongée par l’usage prolongé de son armure de l’Ancien Temps, la Messagère du Ciel se voit glisser inexorablement dans les ténèbres. 

Mais au fond de l’abysse l’attend la clé pour mettre un terme définitif à la guerre. La vraie nature de Dieu.

2020-11-20T17:38:46+01:00lundi 19 octobre 2020|À ne pas manquer|2 Commentaires

L’EW-System renaît de ses cendres ! (système de jeu de rôle libre et gratuit)

L’EW-System, c’est un chouette souvenir : aux alentours de 2005, nous fondions avec quelques joyeux compagnons une maison d’édition de jeu de rôle, Extraordinary Worlds Studio. À l’époque, le marché se cherche un peu : l’évolution des loisirs a laissé le jeu de rôle dans un entre-deux, les joueurs de la première heure ont grandi, ont souvent des familles, et donc moins de temps.

Avec EwS, nous nous proposons de répondre à cette situation avec des jeux de rôle fouillés, amusants, faciles à prendre en main, mais surtout prêts à l’emploi, sous un format hybride entre le livre et le magazine. Quatre numéros par gamme avec de nouvelles mécaniques, du background et des épisodes d’une campagne complète qui se construit d’épisode en épisode ; c’est ainsi que naît le premier de la gamme, Arkeos, qui mélange pulp, Indiana Jones et soupçon d’ésotérisme :

Couv. Mike

Suivront notamment Cirkus (emmené à l’époque par Jean-Laurent Del Socorro), Sovok (par Cédric Ferrand, dont le roman est sorti chez les Moutons Électriques) ainsi que des ouvrages indépendants (par Emily Tibbats). Olivier Trocklé est aussi rapidement devenu un pilier de l’équipe graphique. Beaucoup d’autres auteurs, intéressé•es par l’aventure EWS, sont venus apporter des contributions, notamment à l’aspect règles de jeu.

Car, qui dit jeu de rôle dit système. 2005, c’est aussi l’explosion du d20 System de Donjons et Dragons 3, et nous trouvons qu’un système sous licence libre est une excellente idée, mais qu’il est dommage qu’il n’en existe qu’un seul qui écrase pour ainsi dire tout. Les petits Frenchies que nous sommes nous attelons donc à concevoir notre propre système pour nous frotter au géant Wizards of the Coast (peur de rien, les mecs), résolument cinématique (limitant les jets de dé) et entièrement modulaire, de manière à greffer de nouvelles mécaniques en fonction des besoins des jeux, mais aussi pour que les joueurs construisent les leurs. L’EW-System est né.

Couv. El Théo

Fidèle à l’idée de licence libre, nous distribuons gratuitement l’EW-System sur le site à l’époque, ainsi qu’une version papier accompagnée de son écran vendue à prix modique. C’est assez fou, d’ailleurs, de voir que le mythique Casus Belli donne à l’époque 5 étoiles au système et lui prédit un bel avenir… 

Hélas, EwS cessera ses activités en raison de sombres histoires de promesses non tenues par des banques… Et l’EW-System disparaîtra d’Internet, même si j’en trouvais parfois des miroirs survivant aux années. De loin en loin, je recevais des mails me demandant des copies, mais n’étant pas le seul auteur du système, je ne pouvais prendre sur moi de diffuser l’ouvrage.

Et à présent, grâce au Rafiot Fringant, co-auteur et prodigieux directeur artistique (qui travaillait aussi sur Asphodale !), ancien des éditions Sans Détour (le look fantastique de leurs ouvrages, c’est à lui qu’ils le doivent), l’EW-System est à nouveau disponible en ligne, en téléchargement gratuit.

C’est par là que ça se passe, avec une autre rétrospective à lire chez lui quant à cette belle aventure. Et attention, c’est la version complète de chez complète : version “deluxe”, écran, version “lite”, tous les modules additionnels (armes, arts martiaux, livret de campagne…). Profitez-en !

2020-09-09T20:51:17+02:00jeudi 10 septembre 2020|À ne pas manquer, Geekeries|2 Commentaires

Héroïnes et mondes cachés [table ronde aux Oniriques 2019]

Ce débat aux Oniriques 2019 a été capté par le site de référence ActuSF et faisait participer Karim Berrouka, Christelle Dabos, Manon Fargetton et moi-même. Modération et animation : Jérôme Vincent.

Il peut être écouté librement en ligne ou bien téléchargé sur cette page.

2019-06-17T08:28:39+02:00jeudi 20 juin 2019|Entretiens|Commentaires fermés sur Héroïnes et mondes cachés [table ronde aux Oniriques 2019]

Débat “Romans d’aventure, plaisir de lire” aux Imaginales 2013

Affiche Magali Villeneuve et Alexandre Dainche

Affiche Magali Villeneuve et Alexandre Dainche

Ce débat organisé dans le cadre des Imaginales 2013 rassemblait :

  • Adrien Tomas
  • Laurence Suhner
  • P.-J. Hérault
  • Lionel Davoust

sur le thème du roman d’aventure, et était modéré par Carole Ecoffet.

L’enregistrement réalisé par ActuSF est écoutable en ligne, ou bien téléchargeable directement sur ce lien.

2013-06-11T18:10:24+02:00mercredi 19 juin 2013|Entretiens|Commentaires fermés sur Débat “Romans d’aventure, plaisir de lire” aux Imaginales 2013

Tron : un digne héritage

Tron premier du nom (1982)

Réaliser une suite à l’un des films les plus cultes des années 80, surtout à une ère où l’informatique, étant entrée dans tous les foyers avec des développements inattendus comme le Web, a quelque peu perdu son aura magique, tenait de la gageure. Et, d’ailleurs, les déceptions n’ont pas tardé à pleuvoir sur le Web, critiquant principalement la vacuité du scénario et de l’univers.

Mais posons-nous deux secondes. Qu’est-ce que Tron, exactement ?

Tron, l’original, était sorti en 1982, produit par Disney, et narrait la projection d’un jeune programmeur de génie, Kevin Flynn, projeté par accident dans le système informatique central de la compagnie qui lui a volé ses créations. Là, il rencontrait une assemblée de programmes fort humanoïdes, dominée par la toute-puissance de l’IA maîtresse, et soumise à des jeux cruels qui n’étaient autres que les jeux vidéo conçus par Flynn. L’utilisateur devenu programme s’associe alors à une poignée de programmes renégats, croyant à l’existence d’un monde au-delà du leur où les concepteurs tiennent le rôle de dieux, pour renverser l’ordre tyrannique.

Tron : l’héritage reprend avec une grande fidélité l’univers et la trame narrative pour nous placer aujourd’hui, près de 30 ans plus tard. Kevin Flynn a disparu il y a plus de vingt ans sans laisser de traces, abandonnant derrière lui un fils, Sam, qui mène une vie de dilettante casse-cou pour tromper l’absence d’autorité. Devenu l’actionnaire principal de la compagnie de son père, il se contente de vivre de rentes et de faire quelques blagues dangereuses au directoire. Mais Alan Bradley, ancien ami de Flynn senior, lui dit un soir avoir reçu un message émanant de l’ancienne galerie d’arcade de son père. Sam s’y rend, découvre les projets de Kevin… et se trouve projeté par accident dans la Grille, nouvelle version du système maître davantage inspirée d’une véritable matrice, où il découvre une assemblée de programmes placée sous la tyrannie d’un dictateur ressemblant étrangement à son vieux père. Il va lui falloir survivre dans la Grille et apprendre la vérité sur Kevin Flynn au cours d’une succession d’aventures et de dangers reprenant tous les classiques du premier volet, plus de nouvelles surprises.

Alors, qu’est-ce donc que ce Tron : l’héritage ? Un beau clip pour la superbe bande originale composée par Daft Punk ? Une galerie d’images aussi lisses et transparentes que les parois de plexiglas peuplant la capitale de la Grille ? Un blockbuster de plus servi par des wagons d’image de synthèse ?

En partie, oui. C’est vrai. Mais la question plus importante serait :

Qu’est-ce qu’on en a à faire ?

Il est tellement chic et à la mode de dénigrer les productions actuelles en érigeant les classiques de notre enfance ou adolescence comme référence, mais, dans le cas de Tron, c’est oublier clairement que, déjà, l’original était une galerie lisse et transparente d’images, un blockbuster servi par les débuts des truquages informatiques. Soyons clairs : le Tron d’origine n’avait déjà aucun scénario. Sa magie résidait principalement dans l’usage de l’informatique pour évoquer un univers étrange, différent, qui flattait le coeur des geeks alors en puissance et construisait un embryon de mythologie pour le monde numérique.

Ce Tron : l’héritage fonctionne exactement sur la même recette. Il ne s’agit pas de justifier les faiblesses du second par celles du premier mais de cerner exactement ce qui a fait le succès du premier et ce qu’on peut donc attendre du deuxième : et là, le contrat est rempli bien au-delà des espérances. Les images sont époustouflantes ; le design est parfaitement actuel (en évitant la tendance blanche à la Apple, dieu merci) ; les courses de lightcycles et les combats de disque sont présents et remis au goût du jour avec tous les truquages attendus au XXIe siècle. Le scénario est toujours aussi vide et même à la limite de l’absurde par moments (la génération spontanée de formes de vie numériques est une jolie idée mais traitée complètement par-dessus la jambe, sans parler qu’on peine à voir en quoi elles pourraient, comme l’affirme Flynn père, “sauver le monde”) mais il y a malgré tout dans le domaine un effort notable (on jubilera de la gifle à peine voilée assénée à Microsoft dans le premier quart d’heure du film et du plaidoyer en filigrane pour le monde du logiciel libre). Le film tente même de très timides percées vers une amorce de philosophie sur le thème de la perfection et du virtuel, en restant à un niveau très basique, mais c’est déjà plus que n’en font la majorité des films avec un tel budget et surtout infiniment plus que n’en fait le 1 (complètement creux à ce niveau).

En réalité, s’il y a un reproche fondé à faire cette suite, c’est sa trop grande parenté avec l’original. Tous les classiques de Tron sont présents, on l’a déjà dit, mais l’obsession va jusqu’à mimer certains morceaux d’anthologie comme le passage sur le pont réseau (qu’on aperçoit à gauche sur l’affiche) : toute la quincaillerie d’origine se trouve refaite dans cette suite avec un soin presque maniaque au point de donner l’impression que cet héritage tient plus du remake moderne que de la vraie suite.

Mais, encore une fois, faut-il bouder son plaisir ? Si l’on a rêvé sur la 3D surfaces pleines de l’original, ne peut-on encore observer avec de grands yeux émerveillés la perfection lisse des plans, le côté cool des combats au disque, le tout réalisé avec le plein arsenal des moyens actuels ? J’espère bien que oui. Car Tron : l’héritage n’est rien moins qu’une déclaration d’amour à son prédécesseur. Tout fleure bon le soin maniaque et la passion investie pour ranimer, en plus fort, la magie du premier.

Et, bon dieu, ça marche. Oui, les ficelles du scénario sont grosses comme des cordes d’escalade, certaines répliques sont grotesques, Tron (le programme) est sous-exploité, mais, encore une fois, on ne demande pas à Tron d’être Inception, comme on ne demandait pas au premier volume d’être Blade Runner à l’époque. C’est beau, époustouflant, c’est super cool, et on rêve. C’est ce qu’un Tron est censé faire, et celui-là le fait génialement bien.

Il faut mentionner également les innombrables références, plus ou moins obliques (et plus ou moins volontaires ?) à la culture geek. Quantité de plans sont repiqués aux classiques : de Flynn père qui a tout d’Obi-Wan Kenobi au second de Clu qui est un clone du Zorg du Cinquième Élément, en passant par l’hommage à Jules Verne. Si l’on n’a aucune sensibilité à cette culture, on va effectivement trouver ce Tron vain et absurde, mais, encore une fois, un indice : c’est l’histoire d’un type qui rentre dans la mémoire d’un ordinateur. See what I did there ? Et malgré cela, le film parvient à éviter le clin d’oeil daté en restant suffisamment léger et universel.

En résumé, Tron : l’héritage est une grande machine à rêve et à belles images, une véritable ode à tout ce que le geekisme compte de cool, peut-être un peu trop codée pour un public généraliste mais, pour les fans, c’est carrément l’éclate. Summer Wars avait été très abusivement qualifié de “révolutionnaire” et de manifeste de la contre-culture numérique ; en ce qui me concerne, je n’hésiterai pas à dire que c’est ce Tron : l’héritage qui remplit ce rôle, tout comme le premier l’avait fait dans les années 80.

Let the games begin !

2011-02-17T18:34:53+01:00jeudi 17 février 2011|Fiction|8 Commentaires

Premières infos pour 2011

Je suis toujours extrêmement prudent quand il s’agit de parler de projets futurs ou de publications à venir, pour une foule de raisons. Tout d’abord, la plus prudente : ce n’est pas parce que vous êtes un auteur publié que vous devenez subitement génial du jour au lendemain et que tous vos textes, tous vos projets, toutes vos idées (même ce comics à l’Américaine où une super-plinthe télépathe combat le crime en observant incognito des interrogatoires de police) se trouvent magiquement retenus quelque part. Donc, ce n’est pas parce que je travaille sur un truc qu’il verra forcément le jour, et je trouve qu’il vaut mieux parler de ce qui est susceptible de voir le jour, parce que, hé, sinon, on s’en fout un peu.

Mais aussi, le milieu de l’édition – surtout petite – est sujet à bien des changements : aléas économiques bien sûr, mais aussi fatigue des volontés (les structures reposent souvent sur une ou deux personnes, mal payées, qui font un peu acte de foi), soucis personnels, etc. Pour la petite histoire, il m’est arrivé d’avoir vendu une nouvelle, d’avoir signé le contrat, reçu le chèque… et le livre n’est jamais paru (chez cet éditeur en tout cas), alors qu’il est difficile de faire plus imminent, comme publication. J’ai aussi placé des textes dans des anthologies qui ont mis plus de six ans à voir le jour, d’autres qui n’ont jamais été publiées…

Bref, je préfère annoncer trop tard que trop tôt.

Cependant, il y a maintenant un certain nombre de choses qui se profilent à l’horizon et dont je crois pouvoir parler sans trop de risques en cette fin d’année !

Évanégyre

Je compte évidemment retourner à l’univers d’Évanégyre, ce n’est pas comme si j’avais plusieurs millénaires d’histoire à raconter et dont je crève d’envie de révéler les secrets ! Sans compter que je m’engage fermement à ne pas laisser personne en plan, ni ce monde, ni vous, lecteurs qui avez apprécié La Volonté du Dragon et les nouvelles.

Une nouvelle inédite située dans ce monde devrait donc sortir en 2011 (j’en dirai plus dès que possible). Elle sera entièrement indépendante, comme tous les récits de l’univers. Cependant, ceux qui le connaissent bien retrouveront un événement qu’ils ont déjà approché, mais avec une perspective très, très différente.

J’ai envie de proposer des récits plus longs, évidemment, mais il me faut jongler avec tout le reste. Cela fait néanmoins partie de mes priorités.

Couv. Anthony Geoffroy

Dimension de Capes et d’Esprits

Rivière Blanche (l’éditeur de L’Importance de ton regard) lance sous la direction d’Éric Boissau une série d’anthologies de fantasy historique appelée Dimension de capes et d’esprits ; il y est question d’hommages à la littérature populaire, au roman historique, le tout bien évidemment mâtiné d’imaginaire. Le premier volume sort ce mois-ci (avec au sommaire Lucie Chenu, Jess Kaan, David S. Khara…), et j’aurai le plaisir de figurer au sommaire du deuxième, avec une petite novella complètement barrée où des mousquetaires un peu spéciaux s’échinent à prouver que la plume (ou le boulier) est définitivement plus forte que l’épée, et révèlent un funeste secret que l’homme ne devrait pas connaître…

Côté roman

Je travaille toujours sur le premier volume d’une série de thrillers ésotériques pour les éditions Don Quichotte : il s’y mêlera aventure, initiation et guerre secrète à notre époque. C’est un projet que je mijote depuis très longtemps, j’espère que j’arriverai à lui donner la tournure que je souhaite – et qu’il saura vous plaire à son tour ! J’espère pouvoir en dire plus très bientôt.

Côté web

Subtiles modifications et évolutions à prévoir de ce côté-là, grâce au talent de Victor, mon escl… euh, stagiaire, qui vient d’arriver, commettant la folie irréparable de voir à quoi le travail pouvait bien ressembler chez un indé. Petite présentation un peu plus digne de ce nom à venir, car il n’y a pas de raison qu’il n’ait pas un peu sa part des projecteurs, surtout vue l’aide qu’il va m’apporter dans les mois à venir !

Et sinon…

… il y a encore d’autres choses, mais je ne peux rien en dire pour l’instant, haha.

2010-12-06T16:39:47+01:00lundi 6 décembre 2010|Actu|7 Commentaires

Finalistes du prix Julia Verlanger

Ill. P. Druillet

Créé en 1986, ce prix attribué par la fondation du même nom (sous l’égide de la Fondation de France) récompense des romans de SF ou fantasy faisant la part belle à l’aventure et au romanesque.

Les finalistes de cette année sont :

  • La Nuit sans fin, de M. Chadbourn (Orbit), trad. B. Mariot
  • L’Odyssée du temps – 1 de A.C. Clarke &  S. Baxter (Bragelonne), trad. L. Carissimo
  • Cygnis de V. Gessler (L’Atalante )
  • Rien que l’Acier de R. Morgan (Bragelonne), trad. C. Perdereau
  • Nuigrave, L. Murail  (Robert Laffont/Ailleurs&  Demain)
  • Le Nom du Vent, P. Rothfuss (Bragelonne), trad. C. Carrière
  • L’Empire ultime de B. Sanderson (Orbit), trad. M. Fazi
  • Ceci n’est pas un jeu de W. J. Williams (L’Atalante), trad. J.-D. Brèque

Le nom du lauréat sera révélé lors de la cérémonie de remise des prix qui se tiendra pendant le festival Utopiales de Nantes, vendredi 12 novembre à 18h30. Félicitations à tous les sélectionnés !

2010-10-27T09:36:05+02:00mercredi 27 octobre 2010|Le monde du livre|3 Commentaires

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