Cette publicité est un scandale

Et ce tite putàclic aussi mais hé, bon, c’est le Black Friday ou les French Days ou Christmas je ne sais même plus moi avec tout cet anglais mais bon mais qu’est-ce que vous voulez :

ALORS LÀ JE SUIS CHOQUAY.

Je dénonce instamment un complot des éditions Argyll. Il est bien entendu que jamais je n’aurais pu avoir l’idée d’une blague aussi consternante. J’en suis parfaitement incapable.

2021-11-23T18:23:27+01:00jeudi 2 décembre 2021|Juste parce que c'est cool|10 Commentaires

Blague existentielle

Elle n’est pas de moi, mais je viens de la revoir passer, et j’aime toujours autant :

Jean-Paul Sartre est assis dans un café à corriger le manuscrit de L’Être et le Néant. Il commande à la serveuse: “un café sans sucre, s’il vous plaît.”

Elle répond: “Navrée, mais nous n’avons plus de sucre. Puis-je vous proposer de le prendre sans lait ?”

2014-02-24T20:01:23+01:00mardi 25 février 2014|Juste parce que c'est cool|2 Commentaires

Blague d’écrivain

lolcat_caption_writerSi l’horloge atomique qui, quelque part, pilote ce site par procuration, ne plante pas, c’est aujourd’hui le second jour de la masterclass écriture dirigée par Jean-Claude Dunyach et moi-même aux Imaginales. Il semble donc approprié de raconter une blague d’écrivain, d’une part parce qu’elle est très vraie, et surtout parce que c’est Jean-Claude qui me l’a racontée le premier – gloire lui soit rendue :

Un écrivain célèbre, à la fin de sa vie, meurt. Satan apparaît dans un nuage de soufre.

“Ha, ha ! s’écrie-t-il, tu es un écrivain, ton métier est d’une honnêteté douteuse, tu iras en enfer !

— Naaaaan », hurle l’écrivain (ou quelque chose d’approchant).

Arrivé en enfer, l’écrivain est conduit dans une petite pièce, où il est enchaîné à une chaise en métal chauffée à blanc, devant une machine à écrire pourrie où il manque la moitié des touches, le papier manque, se met de travers, pendant que des diablotins le piquent avec leurs fourches sans relâche en couinant : “Écris ! Écris !”

Notre pauvre écrivain s’exécute péniblement, en larmes, au comble de la souffrance, désemparé, désespéré.

Soudain, un ange apparaît dans un nuage de roses.

“Fichtre ! s’exclame l’ange, Satan, tu t’es trompé ! Cet écrivain est bon, il a fait rêver des générations de lecteurs, il était censé aller au Paradis !”

Satan, confus, détache l’auteur, qui se jette au cou de l’ange, submergé par la reconnaissance. “Merci ! Oooh, merci !”

L’ange emmène le pauvre homme au ciel.

Arrivé là-haut, il est conduit dans une petite pièce. Là, il est enchaîné à une chaise en métal chauffée à blanc, devant une machine à écrire pourrie où il manque la moitié des touches, le papier manque, se met de travers, pendant que des chérubins le piquent sans relâche avec leurs lances en couinant : “Écris ! Écris !”

Notre pauvre écrivain en larmes, s’exécute péniblement, sous le regard de l’ange, et gémit : “Mais, mais, oh, pourquoi ? Pourquoi vous me faites ça ! C’est comme en enfer, ici !

— Ah non, réplique l’ange avec un sourire benoît. Ici, tu as une chance d’être publié.”

2018-08-09T11:02:08+02:00jeudi 23 mai 2013|Best Of, Expériences en temps réel|6 Commentaires

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