L’Impassible armada redux est disponible en numérique

… dans le sillage (heh) de la version papier.

Le livre est maintenant disponible au prix tellement doux qu’on lui ferait de câlins de 1,49 € seulement. Sur toutes les plate-formes si vous y tenez, mais surtout en direct chez l’éditeur, au même prix et sans DRM, et surtout direct de la production à la consommation, ça c’est du circuit court m’sieur-dame.

« L’impassible armada » ne se range pas aisément dans une catégorie, si ce n’est dans celle des bons récits qui possèdent un supplément d’âme, propre à séduire le lecteur.

La Yozone

➡️ La page du livre chez les éditions 1115

Couv. Victor Yale
2021-12-09T19:10:39+01:00mercredi 24 novembre 2021|À ne pas manquer|2 Commentaires

La Fureur de la Terre maintenant disponible en numérique !

Nous avons eu un petit retard en raison du volume, heu, un peu inattendu du roman, mais ça y est : si vous l’attendiez, « Les Dieux sauvages » tome III est à présent disponible en numérique chez toutes vos plate-formes préférées. Merci pour votre patience (et merci à l’équipe Critic pour son travail) !

Couv. Alain Brion

La partie gauche de cette image n’est donc plus un vœu pieux, haha.

2019-07-01T07:32:40+02:00jeudi 6 juin 2019|À ne pas manquer|1 Commentaire

Faire avancer l’accessibilité au prêt numérique en bibliothèque ? [une conversation]

Sur Twitter, il y a un bon paquet d’abrutis, c’est un fait (la preuve, j’y suis), mais par chance, on tombe parfois sur des gens vachement intéressants qui savent des trucs qu’on ignore. Lors d’une discussion sur le piratage (je remets ici ma lettre à mon pirate) qui a, comme souvent, dérivé vers l’accès à la culture, les bibliothèques, le coût d’icelles et leur disponibilité, j’ai appris des choses sur le prêt numérique de la part d’un professionnel de la profession, et il y a là des trucs qui me paraissent intéressants à connaître. Dont acte. Et merci à @Zali_Falcam pour son exposé de la situation !

(Soit dit en passant, suivant l’arrêt de Storify, j’essaie une nouvelle plate-forme de curation, Wakelet. On verra si elle disparaît elle aussi…)

2018-05-09T22:19:15+02:00jeudi 10 mai 2018|Le monde du livre|13 Commentaires

La suite de La Messagère du Ciel, Le Verrou du Fleuve, est disponible !

Enfin ! Je suis ravi de pouvoir enfin annoncer que « Les Dieux sauvages » volume 2, Le Verrou du Fleuve, est sorti ! 

Presque un an de travail pour offrir, je l’espère, une digne suite à La Messagère du Ciel. Merci à toutes et tous pour votre enthousiasme de lecteurs et de critiques sur ce premier tome, qui a lancé cette série sous les meilleurs auspices possibles ! Je suis très honoré et touché que la suite soit tant attendue, et je suis ravi de pouvoir la proposer enfin et la partager avec vous.

Couv. Alain Brion

« Les démons avaient déferlé sur la Rhovelle, et il n’y avait rien que quiconque puisse faire pour la sauver. Au soir, chaque homme, femme et enfant connut le désespoir. »

L’armée démoniaque, mi-chair mi-machine, du dieu Aska est aux portes de Loered, la ville sur laquelle repose la défense et la stabilité du royaume – le Verrou du Fleuve.

Le Verrou doit tenir, ou la Rhovelle est perdue. Mériane, à la tête de maigres renforts, compte bien honorer sa propre prophétie et libérer la ville. Mais quand les hommes se mêlent de contrarier les Dieux, elle en est réduite à limiter les dégâts.

Face au désespoir qui s’installe, elle incarne le seul espoir du peuple, et l’instinct de survie fait taire, pour un temps, les dissensions. Pour autant, les manigances politiques se poursuivent en coulisses, et la guerre commence à peine que certains préparent déjà l’après.

Mais sur la route du Verrou du Fleuve, son mythe s’écrira avant tout dans le sang, la terreur et la peine.

Le livre est donc dès à présent disponible chez tous les libraires, et la sortie papier et numérique est dorénavant simultanée.

À cette occasion, je vais voyager pas mal en salon littéraire pour venir discuter du livre et le présenter, et je vous invite, si cela vous intéresse, à consulter l’agenda (en constante évolution, donc n’hésitez pas à y revenir) pour voir les prochains événements et potentielles rencontres dans votre région.

Merci à vous de votre fidélité, bonne lecture et à très bientôt ! 

2018-09-10T08:33:32+02:00jeudi 15 mars 2018|À ne pas manquer|18 Commentaires

Réalités augmentées, lectures interactives, diffusion numérique… le livre de demain ? [café littéraire aux Imaginales 2017]

Photo © ActuSF

Autre café littéraire que je n’avais pas eu la possibilité de proposer, sur un thème voisin de mardi dernier, cette fois sur les réalités et livres augmentés, la diffusion à travers le numérique… Ce débat des Imaginales 2017 a été animé par Sylvie Miller, avec Jean-Claude Dunyach et moi-même.

Il est disponible librement sur le site d’ActuSF, en écoute dans le navigateur ou téléchargeable sur cette page.

2018-01-28T15:33:36+01:00jeudi 8 février 2018|Entretiens|Commentaires fermés sur Réalités augmentées, lectures interactives, diffusion numérique… le livre de demain ? [café littéraire aux Imaginales 2017]

Promo flash : L’Importance de ton regard à 0,99 ce week-end uniquement

Couv. Anne-Claire Payet

Quoi ! Comment ! Dix-huit textes dont un court roman, un prix Imaginales de la nouvelle (« L’Île close »), des nominations, tout cela pour un prix ridicule, y a forcément baleine sous gravier, hein.

Bon, en fait, je ne sais pas tellement comment promouvoir ça sans avoir l’air de me la raconter dans les grandes largeurs, donc, beaucoup plus honnêtement et humblement, je suis très content de participer à ma toute première promo flash ever. L’Importance de ton regard reste un livre très cher à mon cœur parce qu’il récapitule tous mes premiers textes, les premières briques des univers (on y trouve « Bataille pour un souvenir » qui était le premier texte publié sur Évanégyre, et « Regarde vers l’ouest », le premier autour de l’univers qui deviendrait ensuite Léviathan), une novella (“L’Importance de ton regard”) que j’aime énormément, des trucs ambitieux et des trucs bizarres, des expérimentations dans toutes les directions… Il y a une folie dans ce bouquin qui le rend cher à mon cœur.

Donc, voilà, tout ça est en promo en numérique chez votre distributeur de livrels préféré, et j’espère que ça vous plaira !

2017-07-20T09:48:34+02:00vendredi 14 juillet 2017|À ne pas manquer|Commentaires fermés sur Promo flash : L’Importance de ton regard à 0,99 ce week-end uniquement

La Route de la Conquête sortira en numérique le 3 NOVEMBRE

Couv. François Baranger

Couv. François Baranger

Un petit retard dans le planning : la version numérique de La Route de la Conquête, initialement annoncée pour l’été, entrera en gare v… heu… sortira en novembre. Il y a eu quelques petits soucis quelque part – je ne sais pas trop où, mais peu importe : ce qui compte, c’est qu’elle sorte bel et bien, et ce sera en novembre. Novembre. Ai-je dit que ce serait novembre ? Mise à jour du 6 octobre : le 3 novembre, pour être précis. 

Pour mémoire, La Route de la Conquête a reçu le prix Exégète en 2015 ; il y figure un court roman et quelques nouvelles idéales pour un tour d’horizon de période dite de l’Empire d’Asrethia. Si vous avez lu Port d’Âmes, c’est une bonne manière de découvrir la réalité de cette époque abordée sous l’angle mythique dans le roman ; si vous avez lu « Le Plateau des chimères » (dans l’anthologie des Imaginales Fées et Automates), La Route de la Conquête explore de façon plus vaste cette période ; si vous avez aimé La Volonté du DragonLa Route de la Conquête est un peu dans le même esprit ; et si vous n’avez rien fait de tout ça, vous êtes quand même ici, et c’est sympa de votre part.

Pour savoir plus avant de quoi il retourne :

La Route de la Conquête (livre)

P. S. : novembre.

2016-11-08T11:27:11+01:00mercredi 28 septembre 2016|À ne pas manquer|8 Commentaires

L’Importance de ton regard en promotion en numérique !

Couv. Anne-Claire Payet

Couv. Anne-Claire Payet

Hé, auguste lectorat ! Pour la rentrée, les éditions ActuSF ont eu l’excellente idée de mettre L’Importance de ton regard en promotion pour tous les lecteurs numériques : jusqu’au 3 octobre, le livre est à 2,99 € au lieu de 5,99 !

Ce que la presse dit de L’Importance de ton regard (et merci encore à Mythologica pour cet article fantastique) :

Avec L’Importance de ton regard, Lionel Davoust devient, à mon sens, la plume masculine la plus aboutie de l’imaginaire français et à mon sens il a parfaitement mérité son titre de meilleur titre de 2010 sur le site… – Mythologica.net

Le livre propose dix-sept nouvelles et un court roman (ce qui fonctionne bien pour de la lecture numérique), dont plusieurs ont été finalistes de prix, et dont « L’Île close » qui a obtenu le prix Imaginales de la nouvelle et fut traduite aux États-Unis.

C’est aussi une bonne porte d’entrée aux univers des romans, Léviathan et Évanégyre, puisqu’il comporte « Regarde vers l’ouest », qui se situe dans l’univers du premier, et « Bataille pour un souvenir », dans l’univers du second. C’est, à mon sens, l’une des meilleures portes d’entrée dans mon travail, à condition bien entendu d’apprécier les textes courts.

Vous pouvez acheter L’Importance de ton regard chez votre fournisseur de livrels préféré, ou bien par les liens de la page correspondante du présent site, qui vous en proposera un certain nombre, avec et sans DRM. J’espère que vous y prendrez plaisir !

2016-10-08T19:27:40+02:00mercredi 14 septembre 2016|À ne pas manquer|2 Commentaires

Tu vois, petit, ceci est un livre

Vu sur un site agrégateur de nouvelles, au contenu généré en grande partie automatiquement :

wtf_livre

OK. Le contenu est généré automatiquement. L’extrait de Wikipédia a été récupéré par le site. Il n’empêche. Voir ce genre de définition sur la page d’un bouquin suscite, l’espace d’une fraction de seconde, un étrange vertige cognitif et donne l’impression d’avoir fait un hypothétique bond en 2060, où, eh bien… :

2013-04-26T17:23:29+02:00mercredi 1 mai 2013|Expériences en temps réel|Commentaires fermés sur Tu vois, petit, ceci est un livre

Ma position sur de potentielles éditions numériques

Article mis à jour en février 2016 pour refléter l’évolution du marché et de la technologie. La discussion de 2016 se trouve dans l’annonce de cette mise à jour, ici

Forcément, étant geek et auteur, je suis amené à parler pas mal d’édition en ce lieux et notamment à causer édition numérique. Or, je reçois régulièrement la question suivante :

Où peut-on te trouver en numérique ?

Il semble important de faire un point qui servira potentiellement de façon ultérieure ; parce que, effectivement, tous mes livres ne sont pas forcément disponibles sous ce format. Voir dans le menu “Spécial numérique” et la page téléchargements.

Réponse courte, donc : seuls certains de mes livres sont disponibles en numérique à l’heure actuelle – les liens sont présents sur les pages concernées. Si vous ne les trouvez pas, c’est que les éditions n’existent pas (encore).

Ce qui entraîne donc quand même une question :

Pourquoi ?

Tout d’abord, il faut savoir que les droits numériques d’un ouvrage sont fréquemment associés aux droits du papier. Donc, si je vends, au hasard, mon épopée de fantasy intitulée Le Saigneur des Agneaux à l’éditeur Bob Bobby, Bob Bobby détient les droits. Il lui revient donc de réaliser l’édition numérique.

Cela entraîne deux cas de figure :

  1. Bob Bobby n’a pas de projets numériques, ou bien sa stratégie implique une diffusion en deux temps (papier d’abord, numérique ensuite). Les raisons le regardent – il s’agit souvent d’une question de ressources à investir dans le numérique qui reste, il faut le dire, encore un marché extrêmement réduit ; c’est son droit et son problème. Comme c’est mon droit et mon problème de signer avec un éditeur qui a cette stratégie. Il faut savoir que l’éditeur représente le livre ; il est mon partenaire privilégié ; vous ne m’entendrez pas disconvenir de sa stratégie pour cent raisons, à commencer, déjà, parce qu’il est inélégant de critiquer les partenaires avec qui on signe des accords. Le calendrier de l’édition numérique est décidé par l’éditeur (et le marché le forcera à remettre en cause sa stratégie si cela en vaut vraiment la peine), pour ma part, je le suis.
  2. Bob Bobby a des projets numériques, mais il fixe des conditions pour ceux-là, en termes de rémunération, de diffusion, de durée de cession etc. Là, c’est comme dans tout contrat d’édition : on se rencontre, on discute, on confronte nos vues. On tombe d’accord, ou pas. Comme on tombe d’accord sur les conditions d’une diffusion papier. Si l’on ne tombe pas d’accord sur les termes, l’édition numérique n’existe pas. Non, je ne proclamerai pas sur les toits qui est qui, cela relève là encore de l’élégance fondamentale.

Un mot important sur ce dernier point, qui peut entraîner une situation pour le moins paradoxale. Certains publics brandissent beaucoup le numérique comme un moyen pour l’auteur de s’émanciper (ça reste sévèrement à prouver en France) et comme un encouragement à rompre avec les éditeurs supposés léonins pour faire valoir leurs droits. On mélange parfois le piratage là-dedans, en supposant que le téléchargement illégal fera changer les pratiques éditoriales. Pourtant, quand l’auteur défend ses droits, justement – en ayant le courage de refuser une édition numérique à des conditions qui ne lui conviennent pas – il devient dans ce cas triplement perdant : non seulement il n’a pas son édition numérique, mais en plus on le pirate, pratique qui effraie le monde éditorial encore davantage et conduit à restreindre encore plus les rémunérations.

J’en profite pour glisser qu’un auteur n’a pas son mot à dire sur d’éventuels DRM. De la même façon que l’éditeur fixe le grammage du papier, la police de caractères, le prix de vente public, son distributeur, il décide de la présentation du fichier numérique et de son éventuel verrouillage. C’est son métier, il décide. Mal ou bien, de la même façon qu’on peut trouver une couverture inadaptée, mais c’est son rôle.

typos_ebook

Je suis un team player

J’ai reçu un jour un mail super sympathique d’un lecteur potentiel me proposant de m’envoyer un chèque sous la table contre l’envoi par mail du fichier du manuscrit pour qu’il puisse le lire sur sa liseuse, parce qu’il préfère le numérique. Ça part d’une excellente intention (et ça rappelle l’affaire Thomas Geha) mais d’une, je ne peux pas faire ça, de deux, je me refuse à le faire.

  1. Je ne peux pas faire ça, car j’ai signé un contrat qui cède mes droits d’exploitation à un éditeur. Celle-ci lui revient. C’est mon engagement.
  2. Personne ne pourrait me choper à conclure ce genre d’arrangement, pourtant, je m’y refuse. J’ai la faille d’être un type qui respecte la parole donnée et les contrats signés. Je suis un team player et je me fie à mes interlocuteurs et mes partenaires (tant que la relation est harmonieuse et honnête, bien entendu). Je ne brise donc pas mes engagements.

Corollaire : il arrive parfois, dans certains cas, que l’édition numérique n’ait pas été prévue par un contrat. Techniquement, je dispose donc toujours des droits. Pourtant, je rechigne toujours, du moins dans les circonstances actuelles, à réaliser moi-même une édition. Deux raisons à cela (c’est une manie, de tout faire par deux, dans cet article) :

  1. Travailler un texte, c’est un métier, ça demande du temps, de l’énergie, de l’esprit. C’est être éditeur. Par conséquent, une fois un texte publié, je n’oublie jamais l’éditeur qui est passé dessus et a permis, par ses remarques, de sortir le diamant de sa gangue brute. Il me semble juste de voir en premier lieu avec cet éditeur si une édition numérique pourrait se faire, fût-elle à moyen terme (et l’on retombe sur le début de l’article). S’il me dit “vas-y coco, fais-la ailleurs », très bien (et je salue par exemple Rivière Blanche qui a recommandé à ActuSF l’édition numérique de L’Importance de ton regard), mais pas sans l’avoir consulté au préalable.
  2. L’ai-je dit ? Éditeur, c’est un métier. Vendre des livres, les distribuer, leur donner une exposition, leur permettre de trouver un public, c’est un métier. Je n’ai actuellement pas la disponibilité (et pas forcément la compétence) pour réaliser ce travail de communication, et je voudrais que des éditions électroniques aient la même chance d’être vues et promues qu’un livre papier. Je préfère donc m’allier à un partenaire économique qui fera ce travail bien.

Et l’avenir, alors ?

Donc, en résumé, si vous ne trouvez pas d’édition numérique d’un ouvrage, c’est qu’elle n’existe pas (n’oubliez pas que les pages livres listent toutes les éditions disponibles).

Oui, des projets d’édition numérique sont toujours en cours, mais cela se fait petit à petit. Bien sûr, j’en parle ici dès que cela se profile à l’horizon.

Enfin, j’espère avoir réussi à faire passer le fait que cette absence est en partie une volonté de ma part, ou de mes partenaires : celle de faire ces éditions, le cas échéant, en prenant le temps de bien les réaliser, avec de bons moyens. Je vous saurai gré, vous qui passez par ici, de respecter ce souhait si vous soutenez mon travail. Une diffusion non légale irait à l’encontre de ce désir de belles réalisations et dans des conditions économiques équitables. 

D’avance, merci !

2016-02-10T11:56:53+01:00mardi 26 février 2013|Dernières nouvelles|6 Commentaires

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