Quel est l’ordre de lecture d’Évanégyre ?

La question revient de loin en loin et c’est une omission quasi-criminelle (carrément ouais) que de ne pas en dire un mot ici. Le portail naissant dédié au monde y répond donc enfin, et la réponse est : il n’y en a pas, hormis à l’intérieur des sagas, évidemment.

➡️ Article détaillé : il n’y a pas d’ordre de lecture dans Évanégyre

2023-01-28T01:48:55+01:00lundi 30 janvier 2023|Dernières nouvelles|Commentaires fermés sur Quel est l’ordre de lecture d’Évanégyre ?

Un point sur les livres épuisés, bientôt épuisés, en retirage (Léviathan, Évanégyre, Comment écrire de la fiction)

Couv. Cyrielle Alaphilippe

Avec l’augmentation du prix du papier, les maisons d’édition se montrent un peu prudentes sur la gestion de leurs stocks, et elles ont bien raison (vous voulez qu’elles vivent, et moi aussi à travers elles). D’autre part, certains livres devenus anciens (dix ans ou plus) ont atteint leur fin de vie naturelle, ou sont en passe d’y arriver ; comme j’ai reçu pas mal de questions récemment, c’est l’occasion de faire un point rapide. Quels sont les livres épuisés, en passe de l’être, ou en réimpression ?

Épuisé en papier, dispo en numérique : La Volonté du Dragon

Le tout premier livre d’Évanégyre à être publié a connu une belle vie (publié en 2010, plusieurs retirages, a connu une réédition spéciale collector pour les dix ans des éditions Critic). Il demeure disponible en numérique sans limite de durée, cependant. Peut-être envisagerons-nous à un moment une réédition de ce texte sous une forme différente, mais avant d’envisager quoi que ce soit, il faut finir « Les Dieux sauvages », et il reste encore un sacré boulot.

En passe d’épuisement définitif : Léviathan : la Nuit (tome 2)

Couv. service artistique Seuil Image © Bertrand Desprez / Agence VU

Le deuxième tome de la trilogie Léviathan, publié initialement en 2012, atteint des niveaux de stock dangereusement bas (le diffuseur n’a déjà pas livré un festival où je devais avoir l’ouvrage). Une fois celui-ci épuisé, il sera selon toute logique définitivement indisponible, puisque la série a dix ans et que la marque Don Quichotte a disparu, absorbée dans le Seuil. (Je ne les vois pas réimprimer.) Or il n’existe pas d’édition numérique, les conditions proposées à l’époque par le Seuil n’étant pas satisfaisantes. Donc : si vous voulez vous lancer dans la série, ne tardez pas (ou bien reportez-vous sur le marché de l’occasion).

En passe de réimpression : La Messagère du Ciel (« Les Dieux sauvages » 1) grand format et Comment écrire de la fiction ? Rêver, construire, terminer ses histoires

Enfin, beaucoup plus proche temporellement : le grand format de La Messagère du Ciel chez Critic et Comment écrire de la fiction ? Rêver, construire, terminer ses histoires chez Argyll peuvent être actuellement un peu plus difficiles à trouver que d’habitude : il n’y a presque plus de stock, ce qui se trouve chez vos libraires étant les seuls exemplaires disponibles en ce moment. Ces ouvrages sont activement exploités, et des réimpressions vont arriver. Je ne sais pas exactement quand, en revanche, et il est possible que ce ne soit pas pour les fêtes. Donc, si vous souhaitez offrir l’un ou l’autre (ou les deux, HEIN), là aussi, ne tardez pas à commander là où il en reste. Je donnerai l’info quand j’aurai vent que les stocks ont été renouvelés.

2022-11-15T02:04:24+01:00jeudi 17 novembre 2022|Dernières nouvelles|Commentaires fermés sur Un point sur les livres épuisés, bientôt épuisés, en retirage (Léviathan, Évanégyre, Comment écrire de la fiction)

Une carte alternative pour « Les Dieux sauvages », par Stéphane Arson

Honte sur moi, je suis assis depuis presque un an sur un trésor que je n’avais pas encore partagé (l’an 2020, tout ça).

Stéphane Arson, illustrateur, graphiste et cartographe de l’imaginaire, débarque un jour dans ma boîte aux lettres avec ce magnifique cadeau :

Cliquez pour agrandir

Non seulement elle est splendide, mais je vous invite grandement à en inspecter les détails (les blasons !), parce que Stéphane est fou. Croisant temps de déplacements et orientations, il a épluché « Les Dieux sauvages » avec une minutie hallucinante pour placer les moindres lieux secondaires qui apparaissent dans la série, mais qui ne pouvaient figurer sur la carte officielle présente dans les romans (splendide également, réalisée par Roxane Millard). Et il est tombé juste ! (Ce qui m’honore mais aussi me réjouit au plus haut point : l’espace fonctionne !)

Du coup, pour les lieux difficiles à placer car manquant à dessein de précisions dans le corps du récit (par exemple Kaledán dans L’Héritage de l’Empire), j’ai donné à Stéphane les détails nécessaires, et cette carte alternative peut être considérée tout aussi officielle que celle des romans. Je travaille à présent avec les deux en parallèle, les croisant en permanence, ce qui me permet de veiller encore davantage à la cohérence géographique de la série.

Je ne peux que vous encourager vivement à aller découvrir plus avant le travail de Stéphane, qui a réalisé également des cartes pour Fabien Cerutti, Adrien Tomas, le jeu de rôle Nephilim et travaille aussi en concept art et design d’interfaces.

Mille mercis !

2021-07-22T17:24:49+02:00mardi 3 août 2021|Dernières nouvelles, Juste parce que c'est cool|4 Commentaires

De quoi ça parle ? Port d’Âmes

Hop, une deuxième petite vidéo-pitch sur la chaîne YouTube De Quoi Ça Parle, cette fois sur Port d’Âmes :

Pour mémoire, Port d’Âmes se déroule dans le même univers que « Les Dieux sauvages », mais bien des siècles plus tard ; et les deux récits sont complètement indépendants… même si le lecteur attentif pourra déceler quelques passerelles (normal, c’est le même monde). Ce n’est absolument pas nécessaire pour apprécier les récits, il s’agit simplement de petits clins d’œil pour le ou la fidèle d’Évanégyre ! (Port d’Âmes est disponible en grand format ou en poche chez Folio SF.)

2021-02-06T12:28:49+01:00mercredi 10 février 2021|Entretiens|Commentaires fermés sur De quoi ça parle ? Port d’Âmes

Roadmap 2021

Bon, ça y est ? 2020 est finite ? On peut la faire sauter façon Last Week Tonight avec moult effets pyrotechniques ?

J’arrive trop tard pour un bilan de fin d’année – les bilans de fin d’année se faisant, eh bien, en fin d’année, comme l’ont fait tous les sites du monde à part celui-là, mais j’ai toujours pensé que, eh bien, on ne pouvait faire un bilan qu’une fois l’année terminée, non ? Quoi ? On s’en fout ? Oui, c’est vrai.

Couv. Alain Brion

Et d’ailleurs, du coup, en fait, si vous suivez cet endroit de perdition, vous n’avez pas forcément besoin d’un récap sur 2020 (Lionel Davoust n’a que douze mois pour traverser les douze maisons de L’Héritage de l’Empire avant que la flèche de la deadline ne lui transperce définitivement le cœur), vous étiez là, et si vous n’étiez pas là, c’est déjà passé, donc bon. Lisez plutôt les bilans et les projets des éditeurs, comme ceux des éditions Critic, de Folio SF et la roadmap d’Argyll (ainsi que tous ceux qu’a interviewé Elbakin.net).

En revanche, pour ma part, faire un petit point avec un merveilleux anglicisme façon SSII startup nation peut servir. Si vous voulez la version résumée, ActuSF m’a proposé son entretien de début d’année comme à tous mes camarades, c’est ici.

Écriture (ce qu’on peut annoncer)

Pas de surprise : l’hénaurme chantier va évidemment être d’écrire La Succession des Âges, dernier volume de « Les Dieux sauvages ». (Oui, dernier. Si vous avez lu L’Héritage de l’Empire, vous devinez probablement que maintenant, il faut résoudre.) J’expérimente pour ce bouquin un outil de construction et un flux de travail légèrement différents (dévoilés ici). Ce n’est pas tant qu’il y a beaucoup à élaborer (j’ai toujours eu avec « Les Dieux sauvages » une fin bien précise en tête, avec des étapes bien définies) que je veux m’assurer de bien tout rassembler et clore proprement. Et dans certains cas, la question n’est pas tellement de décider ce qui se passe que d’élaborer une manière intéressante de le dramatiser. Il faut déjà que je cravache comme Mériane en couverture, mais ce n’est pas comme si le monde nous réservait beaucoup de choses à faire en ce moment. Parution prévue : printemps 2022.

Évidemment, en parallèle, les volumes de « Les Dieux sauvages » continuent à ressortir en poche chez Folio (je devrais pouvoir annoncer sous peu ce qu’il est en de Le Verrou du Fleuve).

Couv. Xavier Collette

Plus proche de nous, en mai 2021, ce sera la parution de l’essai / manuel chez Argyll Comment écrire de la fiction ? Rêver / construire / terminer ses histoires, soit, étudier toutes les grandes étapes de la création romanesque dans un ouvrage volontairement concis et resserré, avec toutes les clés pour mettre le pied à l’étrier et/ou revisiter les fondamentaux de la narration et de la dramatisation. En plus, je sais qu’il sera à un prix abordable. Et il est rigolo à lire. Si votre humour est aussi pourri que le mien, en tout cas.

L’Impassible armada redux devrait aussi sortir vers mai, c’est-à-dire à l’époque prévue l’année dernière, mais comme c’est un bouquin qui se promeut beaucoup en salons, ne pas pouvoir faire de salons le condamnait, et ça aurait été ballot. Donc, si l’étau (Atréides) (c’est de saison) se desserre, le livre pourra sortir. Sinon, il attendra un contexte plus clément (Ader).

Enfin, j’ai terminé ces jours-ci une grosse nouvelle de science-fiction qui devrait sortir là aussi en 2022. Là, je suis très en avance (pour pouvoir me consacrer entièrement à La Succession des Âges).

Écriture (ce que je ne peux pas annoncer encore)

… soit un titre quelque peu oxymorique, MEY BON. La question qui vient de plus en plus souvent est : tu vas faire quoi après « Les Dieux sauvages » ? Est-ce qu’après tout ça, tu ne seras pas un etit peu tout desséché comme une momie égyptienne ? Alors ça oui, peut-être, mais j’ai évidemment toujours trois (ou dix) projets d’avance qui me tournent dans la tête, et quelques jalons ont été posés en ce sens. C’est beaucoup trop tôt pour en parler, donc je n’en dis rien, mais ce que je peux dire, c’est :

  • Mon prochain “gros” projet (roman ou saga) ne se situera pas dans l’univers d’Évanégyre. J’aurai enchaîné depuis 2014 sept bouquins dans cet univers formant mes projets principaux (donc sans compter recueils et rééditions autonomes) : La Route de la Conquête, Port d’Âmes, cinq tomes de « Les Dieux sauvages ». J’ai toujours résolument refusé de m’enfermer dans un quelconque sillon (c’était une des raisons derrière la publication de Port d’Âmes, résolument différent de La Route de la Conquête et La Volonté du Dragon). Maintenant que ça marche super bien, il est temps de casser un peu tout ça pour faire autre chose de complètement risqué et différent, vous comprenez.
  • … mais Évanégyre ne sera pas délaissée pour autant. D’une part parce que je serai loin, même à la fin de « Les Dieux sauvages », d’avoir dévoilé tout ce qu’il y a à dire sur l’histoire plus vaste ; d’autres sagas sont en construction (plus ambitieuses encore) (je vais mourir). D’autre part parce qu’il est possible de travailler dans d’autres formats, et c’est certainement ce qui va se passer en parallèle du reste.

Articles, éditorial, direction d’ouvrage

Il m’est plus difficile d’annoncer des choses, car je me considère moins maître de la barque que quand c’est une création pure. J’ai deux projets éditoriaux / direction d’ouvrage en cours (… plus exactement, en souffrance, parce que mon emploi du temps est un peu malmené), un à court terme, un à long terme. J’espère pouvoir les faire bouger significativement cette année.

De ce qui est en cours, Procrastination poursuit sa route, la machine est bien huilée, la saison 5 est presque entièrement enregistrée et nous commençons déjà à réfléchir à la 6 avec de nouveaux invités. Le confinement de mars nous a finalement obligé·es à repenser notre façon de travailler, et nous en ressortons avec davantage de flexibilité.

Geekriture, ma colonne mensuelle sur ActuSF sur la productivité et l’organisation personnelle dans le domaine de la création a donc démarré. Les articles tombent tous les 20 du mois, comme un nouveau “chapitre” de ce que je conçois presque comme un manuel à épisodes.

Le blog continue. Pas de surprise là-dessus, hein.

Salons, interventions

Bon, je ne vous fais pas un dessin, hein… Your guess is as good as mine.

Sinon, je poursuis bien entendu avec joie la collaboration avec l’école Les Mots, et j’aurai quelques nouveaux ateliers à annoncer bientôt. Il s’agira uniquement de stages intensifs, n’ayant pas la disponibilité cette année pour réaliser des ateliers à distance au long cours.

Pas de retour sur les réseaux commerciaux

Cela fait six mois que j’ai quitté ces machines de tristesse et de folie et je m’en porte invraisemblablement bien. J’ai non seulement retrouvé de la concentration, mais aussi une ignorance bénie du drama de la semaine qui, soyons honnêtes, ne changera pas la face du monde. Je suis désolé car j’ai eu aussi de merveilleux échanges avec vous, et c’est pour cela que j’y suis resté si longtemps, d’ailleurs – mais je ne suis pas bien équipé mentalement pour affronter le barrage d’égos, et la stimulation du mien, que nourrissent ces plate-formes. Au bout du compte, je m’avoue vaincu (et ça n’est pas mon genre, et ça me fait un peu mal quand même). Je regrette si c’est votre mode de communication et d’information préféré ; je m’efforce de favoriser d’autres formes d’échange (et je pense à d’autres).

Musique, sound design

Je ne peux malheureusement pas tout faire… Donc en-dehors de quelques coups de main filés en passant ici et là à des projets, c’est un peu au point mort en ce moment. Mais j’ai un projet de sonorisation à long terme dans les cartons auquel je reste fidèle !

Ma vie à moi de moi-même

Comme beaucoup d’entre nous, je compte sur les doigts des deux mains le nombre de fois où j’ai vu d’autres êtres humains en 2020. Déjà que le quotidien d’un auteur n’est pas dingue question palpitation (c’est beaucoup de temps vissé devant un écran, hein), là c’est encore pire. Pas de volontariat en vue pour l’instant (évidemment, vue la situation du monde) et mes projets personnels très vaguement évoqués nécessitent que la vaccination déverrouille la situation internationale. Donc je passe davantage de temps vissé devant un écran (et dans ma tête, très très loin).

Eh bien ! En voilà, du racontage de vie. J’espère n’avoir rien oublié, et le cas échéant, si j’ai oublié quelque chose, auguste lectorat, n’hésite pas à poser tes questions en commentaires, je réponds à tout.

2021-02-08T18:22:50+01:00mardi 2 février 2021|À ne pas manquer|4 Commentaires

L’Héritage de l’Empire (« Les Dieux sauvages » 4) est DISPONIBLE !

Et c’est une grande joie pour moi !

Couv. Alain Brion

Je suis pucelle, Héraut, Messagère, Mère des miséreux. Guerrière Invincible et Rédemptrice. Je suis une statue comme les effigies de Linnaÿs, et nul ne sait ce qu’il y a sous la pierre.

La guerre entre les dieux sauvages fait rage. La forteresse de Rhovelle, Loered, est isolée ; Mériane, la Messagère du Ciel, l’espoir du peuple, dispose d’une armée qu’elle ne peut déployer. Ganner fait route librement vers Ker Vasthrion, où gît un pouvoir qui offrira à Aska la domination totale. Wer est en train de perdre, et dans les hautes sphères du pouvoir, les hommes se raccrochent à l’espoir insensé que la vertu les sauvera. 

L’union des provinces et l’ultime résistance contre l’envahisseur démoniaque doit venir d’un symbole fort. Face à la main-mise du clergé sur le pouvoir, il faut un nouveau roi à la Rhovelle. Parallèlement, l’étau se resserre autour de Mériane : quitte à tout perdre, l’Eglise de Wer ne saurait accepter qu’une femme la sauve. Trahie par ses alliés, rongée par l’usage prolongé de son armure de l’Ancien Temps, la Messagère du Ciel se voit glisser inexorablement dans les ténèbres. 

Mais au fond de l’abysse l’attend la clé pour mettre un terme définitif à la guerre. La vraie nature de Dieu.

C’est le plus gros roman que j’aie jamais écrit – plus d’1,7 millions de signes, près de 1000 pages – mais il fallait bien cela pour donner toute la mesure de ce qui se passe dans ce tome. J’avoue que j’ai l’impression d’avoir comprimé deux ans de travail en un, mais, hé, fallait bien occuper le confinement, pas vrai ?

Le livre est donc disponible chez tous les libraires ainsi qu’en numérique. Les 55 premières pages sont disponibles ci-dessous, mais si vous découvrez la série, il faut mieux commencer par La Messagère du Ciel… 

… livre qui, ça tombe bien, vient de ressortir chez Folio SF et se trouve en numérique à -50% jusqu’au à la fin du mois :

Je suis vraiment ravi que celui-ci soit libéré dans le monde, avec tout ce qu’il révèle sur la saga. J’ai hâte que vous l’ayez entre les mains, on se donne rendez-vous en événements dès qu’il pourra s’en tenir de nouveau et, pour ma part, j’ai déjà commencé le voyage de La Succession des Âges, cinquième et dernier tome de la série, qui paraîtra au printemps 2022.

2021-09-08T18:04:08+02:00vendredi 20 novembre 2020|À ne pas manquer|13 Commentaires

-50% sur toutes les portes d’entrée à Évanégyre en novembre

Le saviez-vous ? Non, et vous avez bien raison, mais novembre c’est mon anniversaire, et donc, cadeau de la part de Critic !

Non, en fait il n’y évidemment aucun rapport : c’est à l’occasion de la sortie de L’Héritage de l’Empire (« Les Dieux sauvages » IV) le 20 novembre, et donc : quasiment tous les livres pouvant servir de porte d’entrée à l’univers d’Évanégyre – rappelons que les ensembles narratifs sont indépendants les uns des autres – sont à -50% en numérique jusqu’au 30 novembre.

Plus en détail :

La Route de la Conquête

Couv. François Baranger

On la surnomme la Faucheuse. Débarquée trente ans plus tôt dans le sud, la généralissime Stannir Korvosa assimile méthodiquement nations et tribus au sein de l’Empire d’Asreth, par la force si nécessaire. Rien ne semble résister à l’avancée de cette stratège froide et détachée, épaulée par des machines de guerre magiques.

Parvenue à l’ultime étape de sa route, elle est confrontée à un nouveau continent – un océan de verdure où vivent des nomades qui ne comprennent pas les notions de frontières ou de souveraineté. Elle doit pourtant affirmer l’autorité impériale car, dans le sous-sol de la steppe, se trouvent des ressources indispensables pour Asreth. Mais après une vie de conquête, Korvosa pourrait bien rencontrer la plus grande magie qui soit… et affronter un adversaire inédit : le pacifisme.

Lauréat du prix Exégète 2015

Finaliste du prix Elbakin 2015 / Finaliste du prix Imaginales 2015 / Finaliste du prix Mythologica 2016

➡️ Plus d’informations et commander

Port d’Âmes

Couv. François Baranger

Rhuys ap Kaledán est un héritier déchu.

Tout juste libéré de la servitude et des galères, il rejoint la cité franche d’Aniagrad, où tout se vend et tout s’achète, pour reconquérir l’honneur de sa famille. L’occasion lui en est rapidement donnée : Edelcar Menziel, un ancien ami de son père, lui propose de travailler sur la conversion dranique, un procédé perdu depuis des siècles qui permettrait de réaliser des machines magiques.  Résolu à tracer son chemin dans la haute société de la ville,  le jeune homme s’investit de tout son cœur dans le projet.

Mais bientôt, coincé entre des intrigues politiques et son amour pour une mystérieuse jeune femme qui vend des fragments de son âme pour survivre, Rhuys découvre que le passé recèle des secrets bien sombres et tortueux. Aux prises avec l’ambition, la duplicité et le mensonge, il devra se montrer plus rusé que ses ennemis s’il veut atteindre son but sans perdre son âme.

Finaliste du prix Imaginales du roman / Finaliste du prix Imaginales des lycéens / Finaliste du prix Elbakin.net

➡️ Plus d’informations et commander

La Messagère du Ciel (« Les Dieux sauvages » I)

Couv. Alain Brion

(Si vous voulez vous mettre à la série, c’est évidemment celui-là qu’il vous faut)

Mériane est une trappeuse, une paria, une femme. Autant de bonnes raisons d’en vouloir aux Dieux qui ont puni le peuple de la Rhovelle pour les fautes de ses aïeux. Car depuis la chute du glorieux Empire d’Asrethia, le monde est parcouru de zones instables qui provoquent des mutations terrifiantes, les gens ont faim, et une religion austère qui prêche la haine des femmes soutient un système féodal.

Pourtant, quand les Dieux décident de vider leur querelle par l’intermédiaire des humains, un rôle crucial échoit à Mériane. Pour elle débute une quête qui la verra devenir chef de guerre et incarner l’espoir de tout un peuple.

Prix Elbakin 2017 du meilleur roman de fantasy français

Prix Imaginaire Découverte 2018 des Petits mots des libraires

Présélection du prix littéraire de l’imaginaire Booktubersapp

➡️ Plus d’informations et commander

Comment choisir ?

En prenant les trois, bien entendu ! Quoi, comment ? Davantage de précisions ? Okay. Faisons extrêmement simple, en mode TL;DR. Vous voulez :

  • Une saga, épique, restant globalement dans les codes de la fantasy : La Messagère du Ciel.
  • De l’épique, mais en tome indépendant, à la frontière entre fantasy et SF, dans les territoires du planet opera : La Route de la Conquête.
  • Un roman indépendant, plus intimiste et initiatique, dans une ambiance pré-révolution industrielle : Port d’Âmes.
2020-11-30T18:33:04+01:00mercredi 11 novembre 2020|À ne pas manquer|2 Commentaires

Mise à jour de la playlist « Les Dieux sauvages »

… et ça me donne l’occasion de rappeler que, pour mon plaisir ou me remettre dans l’ambiance quand j’ai besoin de m’auto-coudepiéaucuter, ce truc existe et qu’il est librement accessible pourvu que vous ayez un abonnement à Apple Music.

Couvertures Alain Brion

J’aime bien me composer une bande originale fantasmée des bouquins ou des sagas. Une compilation de morceaux qui m’évoquent spécialement l’atmosphère de ce que je suis en train d’écrire, parce que parfois, on tombe sur exactement la bonne ambiance avec le bon état d’esprit. Je la mets à jour régulièrement, mais là, je m’en suis spécialement occupé notamment alors que je termine L’Héritage de l’Empire. Vous pouvez l’écouter ci-dessous avec votre compte ou, plus pratique, l’ajouter directement à votre bibliothèque si cela vous intrigue. La playlist suit globalement la progression de la série, depuis La Messagère du Ciel (I) jusqu’à la fin projetée pour La Succession des Âges (V) :

Si cela vous amuse, voyons si nous entendons la même chose ! Quoi qu’il en soit, quand il y aura sur ce site les portails sur les univers (… un jour…), je détaillerai davantage ce qui correspond pour moi à tel ou tel chapitre.

(Et si ce genre d’expérience vous intéresse, il existe aussi une playlist pour « La Voie de la Main Gauche », l’univers de la trilogie Léviathan.)

2020-09-23T22:15:30+02:00lundi 5 octobre 2020|Décibels|Commentaires fermés sur Mise à jour de la playlist « Les Dieux sauvages »

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