Quatrième extrait de la bande originale de Psycho Starship Rampage

psychostarshiprampage-sector1Dernier extrait avant un moment, probablement, de la bande-originale du jeu indé Psycho Starship Rampage que je réalise sous l’identité Wildphinn. C’est un deuxième passage de Space Graveyard, qui comprend deux mouvements distincts.

Pour en savoir plus sur le jeu, voir le site de Ballistic Frogs, et notamment le communiqué de presse sur le jeuUn article permet également de découvrir l’équipe de quatre personnes à l’origine du jeu !

2014-11-27T09:22:51+01:00jeudi 27 novembre 2014|Alias Wildphinn|Commentaires fermés sur Quatrième extrait de la bande originale de Psycho Starship Rampage

Deuxième aperçu de la bande originale de Psycho Starship Rampage

psr_logoRappel des épisodes précédents : sous le nom Wildphinn, je réalise la bande-originale et le sound design d’un jeu vidéo indépendant intitulé Psycho Starship Rampage. J’ai pas mal travaillé en amont cet été, et tandis que le développement avance, je suis heureux de pouvoir proposer un deuxième aperçu de la bande-son, intitulé Space Graveyard. Un hommage au cinéma de SF des années 50 – sauf que là, le méchant vaisseau de l’espace venu tuer tout ce qui bouge, c’est VOUS !

N’oubliez pas de suivre les sites correspondants : Wildphinn / Ballistic Frogs.

2014-10-01T16:17:41+02:00lundi 6 octobre 2014|Alias Wildphinn|1 Commentaire

Jeudi teasing : la première chronique de La Route de la Conquête + un extrait

Couv. François Baranger

Couv. François Baranger

Plus qu’une semaine ! La Route de la Conquête sort jeudi prochain, le 21 août, dans toutes les bonnes librairies. Il est encore temps de précommander et de recevoir votre exemplaire dédicacé : jusqu’au 18 août, en passant par la librairie Critic, sur cette page.

Le site d’actualités et de référence sur la fantasy Elbakin.net en propose déjà une critique en avant-première :

8/10. Pêle-mêle, on peut citer parmi les problématiques au menu : vainqueurs et vaincus, choc des cultures, traditions et pseudo-modernité, sans parler de savoir si la fin justifie (tous) les moyens, ou du moins de tenter de faire un choix en laissant l’histoire nous juger… Tout cela se retrouve traduit ici sans que l’auteur ait besoin de se montrer pontifiant ou de faire souffrir le rythme de son récit. […] Avec un soin évident et un vrai souci du détail sans jamais en faire trop, l’auteur nous entraîne à la suite de Korvosa et des autres dans un monde dont les échos nous touchent et se révèlent à même de nous faire réfléchir, sans pour autant que le décor ne soit qu’un décor, au contraire.
Une belle confirmation !

Merci à Elbakin et à Gillossen, auteur de la chronique, pour cet article à découvrir en entier ici (chronique garantie sans spoilers).

Et pour le plaisir, un petit extrait de “Le Guerrier au bord de la glace » (qui fait partie des inédits du livre), que j’avais passé sur Facebook. Que dire de ce texte et du monde d’Évanégyre à cette époque ?

Robots géants. Fusils laser. Combats aériens. Dragons. 

Cent mètres plus loin, Branth a réussi à contrôler suffisamment sa chute, lui aussi, et s’ébroue furieusement en poussant des hurlements de colère qui soulèvent des grêles de cailloux et font vibrer les plaques de mon blindage. Il a délogé deux adversaires, qui se tiennent à présent devant lui. Le premier a dégainé son tranchoir et protège son camarade qui se relève péniblement – le pilote est sonné, ou bien le contrôle moteur a subi une avarie, voire les deux. Le dragon se secoue avec rage tandis que les deux autres mekanas restent accrochées à son dos. Malgré les embardées de la créature formidable, l’une d’elles tire laborieusement son propre tranchoir, prête à l’enfoncer entre les omoplates du seigneur Branth.

Je m’élance à pleine vitesse vers les deux Chartistes qui se tiennent devant lui. Mes ailes s’orientent tandis que ma course s’accélère, et je sens les lames captatrices vibrer à mesure qu’elles absorbent de plus en plus d’énergie à la faveur de mon élan. Ma foulée s’allonge, les réacteurs prennent le relais.

Pas le temps de dégainer ma propre épée. Je lève le poing, griffes toujours sorties, et assène un coup cataclysmique, porté par ma propulsion, à l’insurgé qui se tenait en garde. Le choc de nos deux colosses d’acier tonne sur les plateaux comme le heurt de deux massues maniées par des dieux. Nous partons en vol plané et percutons lourdement la roche dans un crissement de métal torturé. Son bras droit ne lâche pas le tranchoir mais se tord en arrière dans une position anormale, et j’entends claquer les servomoteurs d’articulation.

Nous nous arrêtons dans une pluie de pierres et de poussière. Sans lui laisser le temps de réagir, à califourchon sur son dos, j’empoigne les lames délicates qui composent la voilure de ses ailes et tire de toute la force de mes propres moteurs jusqu’à les arracher.

Branth rugit. Il s’est cabré, prend une profonde inspiration. Il va souffler.

À dans une semaine pour la sortie du livre !

2014-08-13T09:59:49+02:00jeudi 14 août 2014|À ne pas manquer|2 Commentaires

La Volonté du Dragon : premier chapitre lisible en ligne ; avant-première à Rennes, 13-14 mars

Encore un article d’autopromo, je sais… Mais il se passe tellement de choses en ce moment que je ne sais plus très bien où donner de la tête : trois projets d’antho qui mûrissent et sortent au même moment, plus deux livres ! Je commence à comprendre pourquoi on s’efforce en général de ne faire qu’un projet à la fois – c’est plus commercialement maximisé, tu vois, Coco. Eh bien, peu importe ; c’est grisant de sauter de l’un à l’autre en même temps et de pouvoir – enfin – parler de tout ce qui mijote depuis parfois des années (même si l’écriture en pâtit forcément un peu). Le travail sur L’Importance de ton regard avance extrêmement bien ; le recueil est presque finalisé et je devrais pouvoir en annoncer le sommaire dans les jours qui viennent.

Mais je voudrais surtout revenir aujourd’hui à La Volonté du Dragon : après tout le travail d’écriture et de correction, c’est fascinant et très enthousiasmant de pouvoir dévoiler de plus en plus le livre jusqu’à sa sortie nationale – qui aura lieu le 30 mars.

Mais avant, le roman sera disponible en avant-première au festival Rue des Livres, qui se tiendra à Rennes les 13 et 14 mars prochains. J’y serai présent tout le week-end sur le stand des éditions Critic, en compagnie (pour les littératures de l’imaginaire) de Thomas Geha, Jean Millemann, Justine Niogret et David Khara. L’événement se tiendra 14 rue Guy Ropartz ; le site est ici, le programme complet (en PDF).

Par ailleurs, Elbakin.net vient de mettre en ligne, lisible gratuitement, le premier chapitre du livre. Cela se télécharge en PDF à cette adresse ; cela se lit très vite (cinq pages – c’est plus un prologue) et j’espère que cela saura vous donner envie d’en savoir davantage…

2010-03-02T17:24:08+01:00lundi 1 mars 2010|Actu|2 Commentaires

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