Wrappin’ up

Il se trouve toujours quelque chose pour se dresser sur le chemin de mes bonnes intentions – lesquelles étaient, en l’occurrence, la rédaction rapide de comptes-rendus pour les festivals et la mise en ligne des photos. Le quelque chose en question étant la mort de mon plus fidèle mode de communication, mon… clavier. De très mauvaises habitudes de frappe ancrées depuis l’adolescence jointes à des journées entières passées devant l’écran m’ont lancé plusieurs alarmes dans les poignets en la personne du fort sympathique syndrome du canal carpien, que j’ai réussi à juguler par l’utilisation adéquate, non pas de la médecine, mais de la geekerie : la recherche du clavier ultime, au confort parfait, minimisant la tension musculaire.

Je l’avais trouvé, c’était mon amour, l’Enermax Aurora Premium, lequel est décédé tragiquement des suites d’une indispensable opération de nettoyage de la dernière chance (manger devant l’écran, çay male). Je vous demande donc d’observer un instant de silence en sa mémoire (morte) :

Snif. Merci.

Je suis à présent l’heureux possesseur d’un énorme presse-papiers AZERTYUIOP en aluminium brossé, ou d’une arme lourde me servant à assommer d’éventuels intrus dans ma demeure.

Il était hélas irremplaçable, pour la bonne raison… qu’Enermax, pour des raisons qui m’échappent complètement, en a cessé la fabrication. Je lui ai trouvé un remplaçant presque aussi bon, l’Acrylux, toujours de chez Enermax, dont je rédigerai un petit test dans les jours qui viennent. Bref, j’ai récupéré mes moyens (comme mon écart-type et ma variance).

Parlons des Imaginales, donc, même si c’est terriblement réchauffé à présent, et que des tas de comptes-rendus fort sympathiques ont fleuri sur le web, mais il faut bien que j’enrobe un peu mes mauvaises photos, n’est-ce pas ? (suite…)

2010-07-03T18:48:54+02:00samedi 3 juillet 2010|Le monde du livre|6 Commentaires

On the bridge

Me voici de retour de deux semaines de pérégrinations : à Lannion tout d’abord pour une intervention avec Thomas Geha organisée par la sympathique et dynamique association Pérégrine ; à Saint-Malo ensuite pour le festival Étonnants Voyageurs ; à Épinal enfin pour le festival Imaginales, riche en interventions et en rencontres (j’ai notamment eu le grand honneur de servir d’interprète pour Jacqueline Carey et Robert Charles Wilson).

Je rentre pour une fois avec des photos, pas seulement celles des autres (même si les miennes sont forcément mauvaises, puisque c’est moi qui les ai prises), que je posterai dans les jours qui viennent, avec de petits commentaires avant que les impressions ne s’évaporent – difficile de raconter après coup, cela ressemble à relater une anecdote qui vous a donné un fou rire sur l’instant mais sonne tragiquement creux pour tous ceux à qui vous la racontez. Et j’aimerais autant nous éviter à tous de plonger, gênés, le nez dans notre assiette. J’aurais bien aimé poster en cours de route (comme l’a fait par exemple Don Lorenjy), hélas, mon emploi du temps était vraiment trop chargé pour me laisser le temps de le faire bien – sans parler de la difficulté d’accrocher une porteuse 3G dont le débit dépasse celui d’un oued en plein mois d’août. Un peu plus et je serais capable d’acheter un iPad.

Presque.

J’en reviens néanmoins ravi – crevé, bien sûr, mais ravi, les Imaginales s’étant notamment déroulées au-delà de mes espérances à tous points de vue, qu’il s’agisse de l’atelier d’écriture ou des rencontres avec les auteurs et les lecteurs. Je recharge un brin les batteries et je reviens avec des mots de poids, des photos de choc, et des blagues de tête.

LD out.

2010-06-02T11:59:34+02:00mercredi 2 juin 2010|Le monde du livre|2 Commentaires

Titre

Aller en haut