Vingt-huit Façons de tomber dans le ciel à présent disponible en numérique

C’est donc le mois de l’imaginaire en ce moment, et belle nouvelle, le magnifique recueil de Bruce Holland Rogers Vingt-huit Façons de tomber dans le ciel (full disclosure, que j’ai eu l’honneur de traduire) est à présent disponible en numérique :

Il fait partie d’une sélection de trois titres réédités en numérique par Gephyre pour l’occasion, avec Noemy dans la brume, d’Alexandra Fresse et Ce que le destin nous refuse, de Bénédicte Coudière (finaliste prix Imaginales; sélection prix Escales littéraires Vendée).

Ces livres sont évidemment disponibles sur toutes les plate-formes (mais privilégiez si possible l’achat direct à l’éditeur !).

2023-12-20T08:34:08+01:00mercredi 4 octobre 2023|À ne pas manquer|Commentaires fermés sur Vingt-huit Façons de tomber dans le ciel à présent disponible en numérique

Bientôt des nouvelles pour 2023, en vidéo

D’habitude, je propose un petit article “roadmap” en début d’année sur ce qui se prépare, mais là, mon âme entière étant consumée par le gouffre indicible et non-euclidien qu’est « Les Dieux sauvages », plus de gros changements de vie que j’évoque depuis des années mais qui vont ENFIN se concrétiser : l’article n’a pas eu lieu, comme la Guerre de Troie (enfin, si) (pour la seconde) –

Il y a beaucoup de trucs d’envergure à raconter, et pour changer, et pour vous expliquer, et vous donner des nouvelles, ce sera pour une fois en vidéo (Davoust découvre le XXIe siècle en 2023). Avec des jolis trucs dedans, en principe, pour partager ma life, ce que, si vous traînez ici depuis un moment, vous savez que je ne fais JAMAIS. En général. Mais là, bon !

Bref : c’est envoyé à Critic, qui la publiera incessamment. Restez tunés.

2023-03-03T04:34:36+01:00mardi 7 mars 2023|Dernières nouvelles|2 Commentaires

Vingt-huit Façons de tomber dans le ciel, de Bruce Holland Rogers, sort aujourd’hui

Bruce Holland Rogers est probablement un des nouvellistes les plus splendides à l’heure actuelle, mais hélas, ses aventures et ses jeux sur les formes littéraires (il excelle notamment dans la short short story – la nouvelle très courte) le rendent plus difficile à publier dans des supports conventionnels. C’est pourquoi je suis enchanté que les éditions Gephyre lui aient réservé un recueil.

Dix tableaux pour découvrir à Montréal Donat Bobet, ce poète de rue qui ne doute de rien, surtout pas du pouvoir de la poésie ;
sept hôtels fort particuliers où l’on se frotte à bien des tentations ;
mais aussi des complotistes, un lecteur très déçu (et fort informé), une contagion, des personnes en exil, une famille élargie ;
et surtout une symétrina à la gloire des porteurs de croix…
Vingt-huit récits et autant de façons de tomber dans le ciel.

« Quand j’étais enfant, a ajouté Donat Bobet, je m’étendais dans l’herbe et j’imaginais que je tombais vers le haut, en haut, là-bas, dans l’azur. Dans les profondeurs bleues du ciel. Dans le bleu.
— Donat…
— Chut », a fait le poète. L’espace de quelques battements de cœur, il n’a rien dit. « Préparez-vous, m’a-t-il soufflé. Ouvrez les yeux !

Ce recueil est aussi l’occasion de rassembler pour la première fois des cycles de textes courts que, pour ma part, je rêvais de voir enfin publiés tous au même endroit. Vingt-huit Façons de tomber dans le ciel est un voyage poétique et émouvant, souvent drôle, mais avec une petite pointe de mélancolie. On trouve dans le travail de Bruce un impact pour moi semblable au haiku ; chacune de ces vingt-huit façons de tomber dans le ciel laissent une impression profonde, qui reste avec le temps, et que l’on a toujours plaisir à revisiter afin de saisir à nouveau la fugacité de l’instant. Bref, vous l’aurez compris, je suis fan, et cela a été pour moi une grande fierté et un plaisir de réaliser la traduction et de diriger le sommaire de cet ouvrage.

Il est disponible dès aujourd’hui dans toutes les bonnes librairies, et évidemment en commande sur le site des éditions.

2022-09-10T03:43:59+02:00vendredi 23 septembre 2022|À ne pas manquer|Commentaires fermés sur Vingt-huit Façons de tomber dans le ciel, de Bruce Holland Rogers, sort aujourd’hui

Découvrez la couverture de Vingt-huit Façons de tomber dans le ciel, de Bruce Holland Rogers

Oh qu’elle est belle, et adaptée, vous n’avez pas idée.

Le livre a maintenant un prix, une date de publication, une quatrième de couverture et même une page produit chez Gephyre :

Dix tableaux pour découvrir à Montréal Donat Bobet, ce poète de rue qui ne doute de rien, surtout pas du pouvoir de la poésie ;
sept hôtels fort particuliers où l’on se frotte à bien des tentations ;
mais aussi des complotistes, un lecteur très déçu (et fort informé), une contagion, des personnes en exil, une famille élargie ;
et surtout une symétrina à la gloire des porteurs de croix…
Vingt-huit récits et autant de façons de tomber dans le ciel.

« Quand j’étais enfant, a ajouté Donat Bobet, je m’étendais dans l’herbe et j’imaginais que je tombais vers le haut, en haut, là-bas, dans l’azur. Dans les profondeurs bleues du ciel. Dans le bleu.
— Donat…
— Chut », a fait le poète. L’espace de quelques battements de cœur, il n’a rien dit. « Préparez-vous, m’a-t-il soufflé. Ouvrez les yeux !

Je suis tellement heureux de pouvoir modestement contribuer à faire un peu plus connaître le travail magnifique de Bruce en France après L’Opéra des serrures. Vingt-huit Façons de tomber dans le ciel sortira le 13 septembre au prix de 20€.

➡️ Découvrir le livre chez les éditions Gephyre

2022-04-03T09:51:36+02:00jeudi 7 avril 2022|À ne pas manquer|2 Commentaires

Feuille de route 2022

Oh, mais c’est que le temps passe quand on est off, et qu’il devient urgent de partager ce que prépare cette année, parce que sinon, on va faire la roadmap en mars, et que ça deviendrait un peu ridicule. Sauvons l’honneur et faisons-le avant fin janvier : alors, qu’est-ce qui se mijote comme projets en 2022 ?

Bon, commençons par la mauvaise nouvelle.

La publication de La Succession des Âges (« Les Dieux sauvages » V)

La Succession des Âges est donc le dernier tome de la saga « Les Dieux sauvages », sur lequel j’ai travaillé l’intégralité de l’année 2021, en vue d’une publication en 2022. Ce que j’avais promis avec la meilleure foi du monde, et, si l’on parle de volume pur, j’ai 1,5 millions de signes dans la boîte, ce qui correspond déjà à un roman de taille très respectable (la taille de La Fureur de la Terre, à titre de comparaison). Sauf que, eh bien, l’histoire a encore beaucoup de choses à couvrir. Ce roman est le dernier de la série, il y a une myriade de fils narratifs à résoudre (« payer ») convenablement, c’est la suite et la culmination des trois mille pages (à la louche) qui précèdent et c’est sans nul doute l’ouvrage à la fois le plus ambitieux et le plus complexe de la série (et de tout ce que j’ai fait jusqu’ici). Même en ayant passé une année entière à plein temps dessus, je constate que j’ai tout juste dépassé la moitié du travail requis. Il me faut donc, c’est mathématique, une année de plus, et ce sera celle-ci.

Je suis terriblement navré de devoir repousser la sortie du roman. Mais c’est nécessaire pour donner à « Les Dieux sauvages » la conclusion que j’ambitionne de lui donner depuis le début. Je pense que c’est largement préférable à proposer un boulot bâclé, ce qui serait en plus vraiment tragique après cinq ans de travail quasiment interrompu sur ce projet. La publication est donc repoussée à 2023 – pour le printemps, en principe. Toutes mes excuses.

En outre, j’avouerai aussi sans honte que l’année dernière, les effets de la pandémie se sont aussi peu à peu infiltrés dans ma psyché. J’ai passé l’année 2020 à travailler 60-70h par semaine pour L’Héritage de l’Empire et, si je suis très fier au final de ce roman, personne ne peut tenir un rythme pareil à long terme sans commencer à questionner de travers ses choix de vie, et j’ai constaté l’impossibilité mentale de refaire la même chose en 2021, a fortiori en 2022. En plus, sans trop entrer dans le personnel (vous savez que ce n’est pas mon truc), les conditions internationales actuelles ont des conséquences très directes sur ma vie et disons qu’au bout d’un moment, j’ai beau avoir la volonté en titane de carbone, ça finit par user la personne derrière le clavier, et contrairement à cette insupportable vision populaire, un auteur qui n’est pas dans son assiette, ça travaille mal. (Lisez Big Magic.) Bref, on arrête les violons, mais ça me semble important à pointer aussi, notamment pour les jeunes auteurs et autrices qui passent par là : pratiquer votre art peut vous donner une bouffée d’air frais dans une vie difficile, mais l’art est aussi un travail qui nécessite quiétude et santé mentale pour être maintenu à plein temps.

Revenons au roman : question pratique, ce sera donc indubitablement un gros bouquin, mais pas non plus de trois mille pages : avec une telle envergure narrative, le manuscrit subira sans doute possible un important resserrement aux corrections, de 15 à 30% – c’est toujours le cas.

Adressons la question qui flotte forcément dans l’air : si c’est si vaste, pourquoi ne pas faire six tomes ? Certes, il y a des impératifs commerciaux (on ne peut maintenir l’élan d’une saga de cette envergure qu’un temps déterminé dans l’esprit du grand public et sur les étals des libraires), mais Critic et moi n’avons jamais laissé ces considérations prendre le pas sur les exigences esthétiques et artistiques d’un projet. Et la situation ici, c’est que, narrativement, je ne peux pas couper La Succession des Âges en deux. Même si le roman a plusieurs temps distincts (comme tous les volumes de « Les Dieux sauvages »), il y a derrière tout un cheminement pour une grande part des personnages qui les traverse d’un seul tenant et qu’il serait vraiment dommageable de briser. Donc, on ne le brisera pas, et ça fera un chouette gros bouquin.

Rendez-vous en 2023 pour la conclusion de « Les Dieux sauvages », donc, avec mes excuses renouvelées, et mes remerciements pour votre patience.

Couv. Georges Clarenko

L’Héritage de l’Empire (« Les Dieux sauvages » IV) ressort chez Folio

Mais cela ne signifie pas qu’il n’y aura rien à se mettre sous la dent pour la saga en 2022 : elle poursuit son chemin en réédition chez Gallimard – Folio SF. L’Héritage de l’Empire ressortira en poche cette année, dans une édition en deux volumes.

Souvent, les éditions en deux tomes ont mauvaise presse, mais on n’a pas le choix : c’est ici imposé par la taille du roman en grand format (les reliures ont des limites imposées par la physique des matériaux). Cependant, toute l’équipe de Folio et l’illustrateur, Georges Clarenko, ont fait un travail formidable pour transmuter cette limitation en quelque chose de vraiment chouette. Je ne peux pas en dire plus, mais il y a un petit quelque chose dans cette édition qui lui donne un petit côté collector vraiment hyper, hyper cool et qui donne presque un sens à part entière au fait d’avoir dû faire deux sous-volumes. L’avant-projet est génial, et j’ai hâte de pouvoir le partager ; ça justifie presque un rachat même si vous possédez déjà le grand format, parce qu’au fond, on est tous comme ça dans le métier, on veut votre argent.

Deux nouvelles de science-fiction

Deux textes courts aussi à annoncer pour cette année, et on change cette fois de paysage pour aller dans la science-fiction pure (… mais en sera-ce vraiment ? Ha). Je ne peux pas révéler les détails pour l’instant, mais ce sont deux nouvelles d’assez bonne taille supposées apparaître dans deux anthologies thématiques distinctes. Évidemment, c’est sous réserve d’acceptation par les directeurs·rices d’ouvrage (un texte est confirmé, je finis l’autre en ce moment même).

Un recueil de Bruce Holland Rogers à paraître aux éditions Gephyre

Cela, j’en ai déjà parlé cette semaine et j’ai déjà dit tout le bien que je pense du travail de Bruce : rendez-vous ici si vous avez raté l’annonce. (J’ai un autre projet éditorial qui me tient super à cœur dans les cartons, mais il devra encore attendre un moment, La Succession des Âges oblige.)

Ateliers et masterclasses

La seule date annoncée pour l’instant (j’en reparlerai) est la Masterclass des Imaginales, que nous animons avec Jean-Claude Dunyach, sur un jour et demi ; il y aura certainement d’autres choses organisées avec Les Mots (l’atelier sur les techniques avancées de création de mondes imaginaires a rencontré un succès auquel je ne m’attendais pas, c’était super à animer, donc je vais m’efforcer de proposer de nouvelles dates). Il y a aussi un super projet collectif auquel j’ai participé en 2021 qui doit sortir cette année, surveillez donc cet espace !

Procrastination

Procrastination continue évidemment sa route ! Nous avons quasiment toute la saison 6 dans la boîte, et nous avons déjà eu l’accord de principe d’un·e invité·e pour la saison 7 qui viendra nous parler d’un sujet qu’on nous demande fréquemment. Ça promet d’être assez génial, surtout que ça risque de briser quelques idées reçues, et c’est bien.

Blog et présence en ligne

Là aussi, pas de changement, cet endroit de perdition continue d’exister, et je ne cesse de réfléchir aux manières de le rendre plus accueillant et sympa. Et je vais vous faire un aveu : même si Twitter est une poubelle en feu et que je conserve de profondes cicatrices des influenceur·ses à deux balles qui cherchent à générer du follow par du bashing gratuit, tous les bons moments avec vous qui êtes ici, la facilité de la conversation, des échanges, me manquent vraiment beaucoup.

2022-02-18T18:25:44+01:00jeudi 27 janvier 2022|À ne pas manquer|6 Commentaires

Contes hybrides finaliste du prix Bob Morane !

Couv. Victor Yale

Eh bien ! Après la nomination du prix Vampires & Sorcières (félicitations aux lauréats !), voilà que le petit Contes hybrides est également finaliste du prix Bob Morane !

C’est un tel plaisir pour moi de voir ce livre rassembler toute cette attention et cette satisfaction. Merci aux éditions 1115 pour avoir rendu ce projet possible, et merci infiniment au jury de l’avoir retenu parmi sa sélection de l’année 2020 !

La liste complète des finalistes :

ROMANS FRANCOPHONES

Gwenn Ael : Les Mutilés, Évidence Éditions
Barbéri Jacques : L’Enfer des masques, La Volte
Serge Brussolo : Anatomik, Bragelonne
Sandrine Destombes : Madame B, Hugo
Catherine Dufour : Danse avec les lutins, L’Atalante
Karine Giebel : Ce que tu as fait de moi, Belfond

ROMANS TRADUITS

Katherine Arden : L’Ours et le rossignol, Éditions Denoël (traduit par Jacques Collin)
Robert Anson Heinlein : Waldo, Le Belial’ (traduit par Pierre-Paul Durastanti)
Stephen King : L’Outsider, Albin Michel (traduit par Jean Esch)
Kim Stanley Robinson : Aurora, Bragelonne (traduit par Florence Dolisi)
Martha Wells : Défaillances systèmes : Journal d’un assasynth, l’Atalante (traduit par Mathilde Montier)

NOUVELLES

Christophe Corthouts-Collins : Mémoires vivaces, Évidence Éditions
Lionel Davoust : Contes hybrides, Éditions Mille Cent Quinze
Bruno Pochesci : L’Espace, le temps et au-delà, Flatland
Tade Thompson : Les Meurtres de Molly Southbourne, Le Bélial’

COUP DE COEUR

Jean-Pierre Andrevon : Anthologie des dystopies, les mondes indésirables de la littérature et du cinéma, Vendémiaire
Xavier Maumejean & Didier Graffet : Effluvium, Bragelonne
Tolkien, voyage en Terre du milieu, le catalogue de l’exposition publié par la BNF

Félicitations à toutes et tous !

2020-07-30T09:26:08+02:00lundi 25 mai 2020|À ne pas manquer|Commentaires fermés sur Contes hybrides finaliste du prix Bob Morane !

Imaginales, l’anthologie du confinement : une nouvelle gratuite chaque jour !

Les chouettes initiatives se poursuivent !

Les Imaginales, les éditions Mnémos et les auteurs ont le plaisir de vous offrir un texte par jour pour une anthologie gratuite spéciale, concoctée par Stéphanie Nicot à partir de dix ans d’anthologies annuelles !

« Frontières », prévue pour être l’anthologie des Imaginales 2020, est bouclée, et en cours de correction ; mais elle ne sera publiée que lors des prochaines Imaginales (27-30 mai 2021).

Le festival des mondes imaginaires d’Épinal n’a cependant pas voulu faire l’impasse sur ce panorama annuel de la fantasy (2009-2016), puis, plus largement, des littératures de l’imaginaire (depuis 2017). Nous avons donc choisi, pour vous aider à vivre le plus sereinement possible cette période de confinement, onze auteurs et autrices de talent, dont quatre « coups de cœur » des Imaginales (Charlotte BOUSQUET, Lionel DAVOUST, Estelle FAYE, Rachel TANNER), sans oublier Julien d’HEM, la révélation de la première anthologie, dont nous avons publié la première nouvelle.

Nous avons également mis l’accent sur les récits humoristiques, entre vraie drôlerie (Silène Edgar) et rire grinçant (Maïa MAZAURETTE, Philippe TESSIER). Nous aurions aimé intégrer certaines grandes signatures de la fantasy, mais leurs textes ont, depuis, été repris en recueils, quand d’autres étaient trop longs…

Cette « anthologie du confinement n’est donc pas un « best of », mais plutôt une déambulation parmi les signatures de qualité qui se sont succédé de 2009 à 2019 ; elle vous donnera peut-être l’occasion de découvrir de nouveaux écrivains, et ainsi, lors de la réouverture de vos librairies préférées, de vous procurer leurs romans et recueils, voire l’une ou l’autre de nos anthologies thématiques.

Bonnes lectures !

J’ai l’honneur d’y figurer avec « Une Forme de démence », initialement parue dans Destinations en 2017, un hommage cryptique à vous-savez-qui en fantasy, un texte qui me tient à cœur à travers ce qu’il raconte sur la création, qu’elle soit littéraire ou collective.

Merci à Stéphanie Nicot de l’avoir retenu, et à tous les partenaires qui rendent possible cette anthologie virtuelle !

Au sommaire

Rois et Capitaine (2009)
Julien D’HEMLe Crépuscule de l’Ours

Magiciennes et Sorciers (2010)
Maïa MAZAURETTE, Exaucée

Victimes et Bourreaux (2011)
Charlotte BOUSQUETLa Stratégie de l’araignée

Reines et Dragons (2012)
Érik WIETZELLe Monstre de Westerham

Elfes et Assassins (2013)
Rachel TANNERLa Nature de l’exécuteur

Bardes et Sirènes (2014)
Régis GODDYNTant qu’il y aura des sirènes

Trolls et Licornes (2015)
Silène EDGARLe Troll médecin

Fées & Automates (2016)
Estelle FAYESmoke and Mirrors

Destinations (2017)
Lionel DAVOUSTUne Forme de démence

Créatures (2018)
Jean-Claude DUNYACH, Casser la coquille

Natures (2019)
Philippe TESSIERQui se souvient des hômlas ?

Pour découvrir les textes et s’abonner, rendez-vous ici !

2020-04-28T10:33:37+02:00jeudi 16 avril 2020|À ne pas manquer|Commentaires fermés sur Imaginales, l’anthologie du confinement : une nouvelle gratuite chaque jour !

La Route de la Conquête GRATUIT en numérique pour tenir pendant le confinement ! [72 heures]

Avec des MAJUSCULES parce que c’est IMPORTANT auguste LECTORAT :

Couv. François Baranger

Les éditions Critic et moi sommes heureux de nous associer à l’opération Bol d’Air, qui offre un livre électronique par jour pour aider à tenir pendant le confinement.

Pendant 72 heures, La Route de la Conquête est donc disponible gratuitement au téléchargement en vous rendant sur le site dédié. Pas de fil à la patte, pas d’inscription à une liste de diffusion cachée, juste la possibilité de télécharger le bouquin et plein d’autres extrêmement chouettes pour… ne pas devenir chèvre, comme cette bannière que j’adore le propose.

En espérant que le livre vous fera voyager ! (Petit bonus si vous connaissez « Les Dieux sauvages » ou Port d’Âmes : certains textes de La Route de la Conquête s’y relient subtilement…)

On la surnomme la Faucheuse. Débarquée trente ans plus tôt dans le sud, la généralissime Stannir Korvosa assimile méthodiquement nations et tribus au sein de l’Empire d’Asreth, par la force si nécessaire. Rien ne semble résister à l’avancée de cette stratège froide et détachée, épaulée par des machines de guerre magiques.

Parvenue à l’ultime étape de sa route, elle est confrontée à un nouveau continent – un océan de verdure où vivent des nomades qui ne comprennent pas les notions de frontières ou de souveraineté. Elle doit pourtant affirmer l’autorité impériale car, dans le sous-sol de la steppe, se trouvent des ressources indispensables pour Asreth. Mais après une vie de conquête, Korvosa pourrait bien rencontrer la plus grande magie qui soit… et affronter un adversaire inédit : le pacifisme.

> L’opération Bol d’Air <

2020-04-18T08:53:12+02:00mardi 14 avril 2020|À ne pas manquer|6 Commentaires

Contes hybrides dans la sélection trimestrielle du prix Bob Morane

Couv. Victor Yale

Oooh, voilà qui fait grand plaisir, surtout pour des textes que nous avons rendus à nouveau disponibles avec les éditions 1115 : Contes hybrides a été retenu par les jurés du prix Bob Morane pour leur quatrième sélection de 2019. Merci infiniment pour cette attention !

Féliciations aux autres sélectionnés de la catégorie nouvelle :

Christophe Corthouts : Mémoires vivaces, Évidence Éditions

Lionel Davoust : Contes hybrides, Éditions Mille Cent Quinze

Ken Liu : Jardins de poussière, Le Bélial’

Bruno Pochesci : L’espace, le temps et au-delà, Flatland

Toute la sélection de ce trimestre peut être consultée ici, avec notamment les catégories romans francophones et étrangers.

2020-01-23T01:50:20+01:00lundi 27 janvier 2020|À ne pas manquer|Commentaires fermés sur Contes hybrides dans la sélection trimestrielle du prix Bob Morane

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