Le Verrou du Fleuve (« Les Dieux sauvages » 2) ressort en poche le 1e avril ! (Folio SF)

Ce n’est évidemment pas une blague, heh.

J’ai la grande joie de voir la saga « Les Dieux sauvages » peu à peu republiée en poche chez Folio SF, et après La Messagère du Ciel en octobre 2020, c’est au tour du tome 2, Le Verrou du Fleuve, d’être repris dans cette superbe collection où, je l’ai probablement suffisamment rabâché, se trouvent quasiment toutes mes idoles !

Et la couverture ? La couverture ? La voilà, la couverture ! Superbement dynamique et toujours réalisée par Georges Clarenko, qui s’occupe de la série chez Folio ; j’aime énormément que son approche propose une autre interprétation de la saga. C’est déjà merveilleux de voir son histoire interprétée par un illustrateur ou illustratrice, mais alors plusieurs qui s’approprient l’univers pour le représenter selon leur sensibilité propre, c’est un privilège.

Couv. Georges Clarenko

Il me tarde de tenir le roman entre les mains ; c’est assez fou de voir le trajet que connaît cette série depuis quatre ans – merci à vous toutes et tous de l’avoir découverte, appréciée, partagée.

➡️ Le livre sera en rayon le 1e avril, commandable évidemment chez tous les libraires. Si vous attendiez de poursuivre la série après l’avoir découverte en poche, eh bien, nous y sommes !

L’armée démoniaque, mi-chair mi-machine, du dieu Aska est aux portes de Loered, la ville sur laquelle repose la défense et la stabilité du royaume – le Verrou du Fleuve.
Le Verrou doit tenir, ou la Rhovelle est perdue. Mériane, à la tête de maigres renforts, compte bien honorer sa propre prophétie et libérer la ville. Mais quand les hommes se mêlent de contrarier les dieux, elle en est réduite à limiter les dégâts.
Face au désespoir qui s’installe, elle incarne le seul espoir du peuple, et l’instinct de survie fait taire, pour un temps, les dissensions. Pour autant, les manigances politiques se poursuivent en coulisses, et la guerre commence à peine que certains préparent déjà l’après.

Avec Les dieux sauvages, Lionel Davoust signe une saga de fantasy épique et foisonnante, dans la lignée des œuvres de George R. R. Martin ou Brandon Sanderson.

2021-04-05T18:16:12+02:00mercredi 24 mars 2021|À ne pas manquer|Commentaires fermés sur Le Verrou du Fleuve (« Les Dieux sauvages » 2) ressort en poche le 1e avril ! (Folio SF)

L’Héritage de l’Empire (« Les Dieux sauvages » 4) est DISPONIBLE !

Et c’est une grande joie pour moi !

Couv. Alain Brion

Je suis pucelle, Héraut, Messagère, Mère des miséreux. Guerrière Invincible et Rédemptrice. Je suis une statue comme les effigies de Linnaÿs, et nul ne sait ce qu’il y a sous la pierre.

La guerre entre les dieux sauvages fait rage. La forteresse de Rhovelle, Loered, est isolée ; Mériane, la Messagère du Ciel, l’espoir du peuple, dispose d’une armée qu’elle ne peut déployer. Ganner fait route librement vers Ker Vasthrion, où gît un pouvoir qui offrira à Aska la domination totale. Wer est en train de perdre, et dans les hautes sphères du pouvoir, les hommes se raccrochent à l’espoir insensé que la vertu les sauvera. 

L’union des provinces et l’ultime résistance contre l’envahisseur démoniaque doit venir d’un symbole fort. Face à la main-mise du clergé sur le pouvoir, il faut un nouveau roi à la Rhovelle. Parallèlement, l’étau se resserre autour de Mériane : quitte à tout perdre, l’Eglise de Wer ne saurait accepter qu’une femme la sauve. Trahie par ses alliés, rongée par l’usage prolongé de son armure de l’Ancien Temps, la Messagère du Ciel se voit glisser inexorablement dans les ténèbres. 

Mais au fond de l’abysse l’attend la clé pour mettre un terme définitif à la guerre. La vraie nature de Dieu.

C’est le plus gros roman que j’aie jamais écrit – plus d’1,7 millions de signes, près de 1000 pages – mais il fallait bien cela pour donner toute la mesure de ce qui se passe dans ce tome. J’avoue que j’ai l’impression d’avoir comprimé deux ans de travail en un, mais, hé, fallait bien occuper le confinement, pas vrai ?

Le livre est donc disponible chez tous les libraires ainsi qu’en numérique. Les 55 premières pages sont disponibles ci-dessous, mais si vous découvrez la série, il faut mieux commencer par La Messagère du Ciel… 

… livre qui, ça tombe bien, vient de ressortir chez Folio SF et se trouve en numérique à -50% jusqu’au à la fin du mois :

Je suis vraiment ravi que celui-ci soit libéré dans le monde, avec tout ce qu’il révèle sur la saga. J’ai hâte que vous l’ayez entre les mains, on se donne rendez-vous en événements dès qu’il pourra s’en tenir de nouveau et, pour ma part, j’ai déjà commencé le voyage de La Succession des Âges, cinquième et dernier tome de la série, qui paraîtra au printemps 2022.

2021-09-08T18:04:08+02:00vendredi 20 novembre 2020|À ne pas manquer|13 Commentaires

-50% sur toutes les portes d’entrée à Évanégyre en novembre

Le saviez-vous ? Non, et vous avez bien raison, mais novembre c’est mon anniversaire, et donc, cadeau de la part de Critic !

Non, en fait il n’y évidemment aucun rapport : c’est à l’occasion de la sortie de L’Héritage de l’Empire (« Les Dieux sauvages » IV) le 20 novembre, et donc : quasiment tous les livres pouvant servir de porte d’entrée à l’univers d’Évanégyre – rappelons que les ensembles narratifs sont indépendants les uns des autres – sont à -50% en numérique jusqu’au 30 novembre.

Plus en détail :

La Route de la Conquête

Couv. François Baranger

On la surnomme la Faucheuse. Débarquée trente ans plus tôt dans le sud, la généralissime Stannir Korvosa assimile méthodiquement nations et tribus au sein de l’Empire d’Asreth, par la force si nécessaire. Rien ne semble résister à l’avancée de cette stratège froide et détachée, épaulée par des machines de guerre magiques.

Parvenue à l’ultime étape de sa route, elle est confrontée à un nouveau continent – un océan de verdure où vivent des nomades qui ne comprennent pas les notions de frontières ou de souveraineté. Elle doit pourtant affirmer l’autorité impériale car, dans le sous-sol de la steppe, se trouvent des ressources indispensables pour Asreth. Mais après une vie de conquête, Korvosa pourrait bien rencontrer la plus grande magie qui soit… et affronter un adversaire inédit : le pacifisme.

Lauréat du prix Exégète 2015

Finaliste du prix Elbakin 2015 / Finaliste du prix Imaginales 2015 / Finaliste du prix Mythologica 2016

➡️ Plus d’informations et commander

Port d’Âmes

Couv. François Baranger

Rhuys ap Kaledán est un héritier déchu.

Tout juste libéré de la servitude et des galères, il rejoint la cité franche d’Aniagrad, où tout se vend et tout s’achète, pour reconquérir l’honneur de sa famille. L’occasion lui en est rapidement donnée : Edelcar Menziel, un ancien ami de son père, lui propose de travailler sur la conversion dranique, un procédé perdu depuis des siècles qui permettrait de réaliser des machines magiques.  Résolu à tracer son chemin dans la haute société de la ville,  le jeune homme s’investit de tout son cœur dans le projet.

Mais bientôt, coincé entre des intrigues politiques et son amour pour une mystérieuse jeune femme qui vend des fragments de son âme pour survivre, Rhuys découvre que le passé recèle des secrets bien sombres et tortueux. Aux prises avec l’ambition, la duplicité et le mensonge, il devra se montrer plus rusé que ses ennemis s’il veut atteindre son but sans perdre son âme.

Finaliste du prix Imaginales du roman / Finaliste du prix Imaginales des lycéens / Finaliste du prix Elbakin.net

➡️ Plus d’informations et commander

La Messagère du Ciel (« Les Dieux sauvages » I)

Couv. Alain Brion

(Si vous voulez vous mettre à la série, c’est évidemment celui-là qu’il vous faut)

Mériane est une trappeuse, une paria, une femme. Autant de bonnes raisons d’en vouloir aux Dieux qui ont puni le peuple de la Rhovelle pour les fautes de ses aïeux. Car depuis la chute du glorieux Empire d’Asrethia, le monde est parcouru de zones instables qui provoquent des mutations terrifiantes, les gens ont faim, et une religion austère qui prêche la haine des femmes soutient un système féodal.

Pourtant, quand les Dieux décident de vider leur querelle par l’intermédiaire des humains, un rôle crucial échoit à Mériane. Pour elle débute une quête qui la verra devenir chef de guerre et incarner l’espoir de tout un peuple.

Prix Elbakin 2017 du meilleur roman de fantasy français

Prix Imaginaire Découverte 2018 des Petits mots des libraires

Présélection du prix littéraire de l’imaginaire Booktubersapp

➡️ Plus d’informations et commander

Comment choisir ?

En prenant les trois, bien entendu ! Quoi, comment ? Davantage de précisions ? Okay. Faisons extrêmement simple, en mode TL;DR. Vous voulez :

  • Une saga, épique, restant globalement dans les codes de la fantasy : La Messagère du Ciel.
  • De l’épique, mais en tome indépendant, à la frontière entre fantasy et SF, dans les territoires du planet opera : La Route de la Conquête.
  • Un roman indépendant, plus intimiste et initiatique, dans une ambiance pré-révolution industrielle : Port d’Âmes.
2020-11-30T18:33:04+01:00mercredi 11 novembre 2020|À ne pas manquer|2 Commentaires

La publication de L’Héritage de l’Empire est MAINTENUE (20 novembre) ! Faites vivre vos libraires !

J’avais promis d’en dire plus, donc information de première nécessité (en tout cas pour moi) :

La publication de L’Héritage de l’Empire est maintenue au 20 novembre.

Contrairement au premier confinement, la chaîne du livre ne s’arrête pas. Cela signifie que vous pouvez commander vos livres (notamment L’Héritage de l’Empire, sans vouloir vous influencer) en toute liberté et être livré·es pour Noël (et votre plaisir).

J’ai mes exemplaires, et ils sont BEAUX.

J’attire votre attention sur le fait que quantité de commerces indépendants, dont les libraires, proposent des commandes par correspondance ou en point de récupération. Plus que jamais, ils ont besoin de votre soutien, et les moyens pour s’approvisionner chez eux ne manquent pas : site web, mail, même un coup de téléphone – les frais d’envoi, le cas échéant, ne vous coûteront pas plus cher que le ticket de métro ou l’essence que vous auriez dépensés pour leur rendre visite. Et vous faites un acte militant, en contribuant à la diversité culturelle, en faisant vivre ceux et celles qui s’intéressent vraiment au livre et aux auteurs (ce n’est pas Amazon, malgré ce qu’ils prétendent) et vous récompensez les entreprises qui contribuent à faire fonctionner le pays via leurs impôts… Ça peut servir, en ce moment.

Je ne crois pas vous avoir jamais1 appelés à commander un de mes bouquins en masse – chacun fait ce qu’il ou elle veut, j’ai toujours proposé, vous disposez – mais si vous y pensez en ce moment, j’aimerais juste vous demander de ne pas oublier. Sortir un bouquin par les temps qui courent est très difficile car il n’y a quasiment pas de promotion possible, que ce soit sur les étals des libraires ou en salon. (Heureusement, il reste la presse et les blogs.) Vous voyez l’info aujourd’hui, vous ne la reverrez peut-être pas ; pensez-y, donc, avec mes remerciements, ceux de mon éditeur, et du libraire que vous ferez vivre.

Prenez soin de vous.

  1. Ou si c’est le cas, ce n’est vraiment pas souvent.
2020-11-18T18:55:54+01:00mardi 3 novembre 2020|À ne pas manquer|8 Commentaires

Écrire, être publié, ou les deux ?

Repost d’un fil sur Twitter sur un sujet qui me gratte depuis un moment, inspiré par des années (maintenant) d’observation des milieux éditoriaux, de discussions avec les jeunes auteurs, de lectures de messages sur les réseaux. Parce, quand je vois certaines frustrations relatives à la publication, ses règles, ses “contraintes”, je ressens une dichotomie dommageable entre écrire et publier.

Écrire est la base. Raffiner sa pratique, de manière à étendre la palette de son expression pour arriver à cerner au plus juste le cœur de ce que l’on a à dire est le processus. Notez bien qu’il n’est nulle part ici question de publication. La publication est un bonheur, l’occasion de partager avec le monde, et peut-être même l’occasion de (wouah) gagner des sous. Mais :

La publication n’est pas la fin en soi ni – et je lis parfois ça dans la frustration de jeunes auteurs – la validation de vos efforts ni de votre personne. La validation de vos efforts, ce sont vos efforts en eux-mêmes. Vous écrivez. Ce “trajet de raffinement”, comme le dit Léa Silhol.

Il est évident pour tout le monde que si tu veux faire The Voice ou que tu veux faire du concept art pour Hollywood, ça demande un boulot de malade mental. Ce n’est pas parce que tu chantes sous ta douche ou que tu griffonnes que tu as le niveau. Notez bien : CE N’EST PAS GRAVE. Cela n’invalide en rien votre création. L’acte de créer et l’acte de faire The Voice sont deux choses entièrement différentes.

Le métier du créateur consiste à raffiner sa pratique par amour de celle-ci.

Dis Siri, écris-moi une super histoire

Donc, de grâce, si c’est votre cas, cessez d’équivaloir au plus vite création et validation. Soyez dans l’amour et la disponibilité de ce qui vous a choisi pour exister ; soyez dans le travail pour lui donner la meilleure forme possible. C’est, réellement, tout ce qu’il y a.

Ne prenez donc pas une merveilleuse conséquence pour le but à atteindre. Si vous créez avec sérieux et dévouement, vous faites déjà ce qu’il faut.

Le reste n’est que :

  • travail, qui vous appartient
  • et au-delà, c’est hors de vos mains ; alors arrêtez de vous faire du mal et surtout, ne confondez pas voyage et destination.

2020-05-29T20:37:15+02:00mardi 2 juin 2020|Best Of, Technique d'écriture|Commentaires fermés sur Écrire, être publié, ou les deux ?

Contes hybrides maintenant disponible en numérique à seulement 1,49 €

Lecteurs et lectrices numériques, il ne sera pas dit que vous n’êtes pas gâtés ce mois-ci : après la grosse promo sur les livres Critic (pour mémoire, La Messagère du Ciel est à 3,99 € pour une durée limitée), c’est au tour de Contes hybrides d’être à présent disponible en numérique, au prix tout, tout doux de seulement 1,49 €.

Couv. Victor Yale

Trois novellas autour des chimères, avec de la fantasy nostalgique, de la science-fiction brute, et de l’humour trollesque :

Première novella de ce recueil, « Le Sang du large » nous conte l’histoire d’un auteur isolé et de sa rencontre avec une créature qu’il pourrait croire tirée de l’un de ses romans. Mais est-ce lui qui a besoin de cet être fabuleux, ou bien l’inverse ?

« Point de sauvegarde » explore ensuite le cruel labyrinthe de notre mémoire et interroge notre vision de la réalité. Et pour finir, « Bienvenue à Magicland » fait la part belle à la dérision et à la monstruosité, même si le monstre n’est pas toujours celui que l’on imagine…

Le livre est disponible en numérique sur toutes les plate-formes.

2019-10-25T01:12:16+02:00mercredi 9 octobre 2019|À ne pas manquer|Commentaires fermés sur Contes hybrides maintenant disponible en numérique à seulement 1,49 €

Contes hybrides, un recueil à paraître aux éditions 1115

Si tu gardes, telle une chimère lynx / aigle à la vue plus aiguisée que la somme de ses parties, un œil sur les barres de progrès, auguste lectorat, tu auras peut-être remarqué une ligne à 100% avec “infos à venir”. Ooooh.

Eh bien, il est venu, le temps des cathédrales infos.

Je suis très heureux d’annoncer la publication, pour le 18 septembre, de Contes Hybrides, aux éditions Mille Cent Quinze !

Il s’agit d’un recueil de rééditions de novellas difficiles à trouver aujourd’hui en anthologies. Je suis ravi de voir ces textes connaître une nouvelle vie, qui tournent tous autour de la notion de créatures différentes ou… hybrides, d’une perception différente du réel. Je ne peux pas encore dévoiler le sommaire ni la couverture (mais elle est incroyable… et il s’agit d’une vraie réalisation d’un plasticien, contrairement aux usages actuels), cependant on y trouvera des humains augmentés, des licornes, et évidemment, parce qu’on ne se refait pas, des créatures marines.

À cette occasion (et toujours pour La Fureur de la Terre), j’aurai le plaisir de participer à plusieurs salons et événements à l’automne : j’en reparlerai à mesure que l’été progresse !

2019-08-02T16:56:34+02:00jeudi 25 juillet 2019|À ne pas manquer|2 Commentaires

La Fureur de la Terre maintenant disponible en numérique !

Nous avons eu un petit retard en raison du volume, heu, un peu inattendu du roman, mais ça y est : si vous l’attendiez, « Les Dieux sauvages » tome III est à présent disponible en numérique chez toutes vos plate-formes préférées. Merci pour votre patience (et merci à l’équipe Critic pour son travail) !

Couv. Alain Brion

La partie gauche de cette image n’est donc plus un vœu pieux, haha.

2019-07-01T07:32:40+02:00jeudi 6 juin 2019|À ne pas manquer|1 Commentaire

La Fureur de la Terre est maintenant disponible !

Nous sommes le 16 mai, et c’est un jour que j’attendais, j’avoue, avec trépidation : le tome 3 de « Les Dieux sauvages », La Fureur de la Terre, est à présent disponible1. Cela représente un an d’écriture à rythme très soutenu pour un épais volume de 800 pages : j’avoue en être très satisfait, et j’espère (forcément !) que vous partagerez le sentiment !

Couverture Alain Brion

« Qu’est-ce qu’un symbole si ce n’est du vide tellement recouvert de peinture que celle-ci se solidifie selon la forme qu’on veut lui donner ? »

La ville de Loered, Le Verrou du Fleuve, ploie sous la pression des armées démoniaques, mi-chair, mi-machine du dieu Aska. Affamée, malade, la population ne tient plus que par la foi que lui inspire Mériane, l’envoyée du dieu Wer.

Alors qu’aux plus hauts échelons du royaume, la reine régente Izara s’efforce de sauvegarder ce qu’elle peut encore, le prince Erwel lance un appel désespéré à l’union des provinces pour aider Loered. Quant à Mériane et les siens, ils n’ont pas d’autre choix pour survivre que de braver la colère divine. Car dans les vestiges maudits de l’Empire d’Asrethia repose peut-être une puissance capable de rivaliser avec celle d’Aska.

Tandis que le passé du monde émerge, la nature réelle du conflit qui oppose les dieux rivaux se dessine, et les Rhovelliens affrontent leurs plus terribles sacrifices. Quand la mort frappe tous les jours, il n’y a pas de héros, pas d’épopée – seulement la nécessité de survivre jusqu’au lendemain.

Mais qu’est-ce que « Les Dieux sauvages » ? Pour l’occasion, réalisée avec les éditions Critic, une petite vidéo qui retrace les origines de la série et ses intentions :

Le livre est disponible chez votre libraire préféré, ou via cette page pour vous proposer quelques distributeurs. Mais n’oubliez pas de faire travailler en priorité vos commerçants de proximité !

J’aurai le plaisir de venir en parler en vive voix et de le présenter en salons et festivals, à commencer par les Imaginales, bien sûr ! Tous les événements à venir :

[tribe_events view=”list”]

Merci de votre fidélité, à très vite et bonne lecture !

  1. Pour raisons techniques, la sortie en livre électronique doit être déplacée de quelques semaines, au 6 juin. Merci de votre patience !
2020-02-23T23:38:47+01:00jeudi 16 mai 2019|À ne pas manquer|6 Commentaires

La Fureur de la Terre sortira le 16 mai ! (précommandes disponibles)

Oh yeah.

Couv. Alain Brion

Mes exemplaires sont arrivés, et je peux vous dire deux choses : il est beau, et il est massif. Ce troisième tome de « Les Dieux sauvages » fait quasiment 800 pages et je ne vous cacherai pas que j’en suis diablement content ! Le voile se lève de plus en plus sur la véritable nature du conflit entre Wer et Aska, et une étape majeure de l’histoire se trouve franchie dans ce volume. J’ai terriblement hâte qu’il sorte, que vous puissiez le découvrir, et de partager de manière générale ce livre avec vous.

Et bien justement : il sortira le 16 mai dans toutes les librairies, juste à temps pour les Imaginales, d’ailleurs, où je serai présent pour les quatre jours.

Le livre est d’ores et déjà disponible en précommande dans tous les points de vente, en numérique et en papier. N’oubliez pas de faire travailler votre gentil libraire !

La quatrième de couverture

Attention spoilers si vous n’avez pas lu les volumes précédents… 

« Qu’est-ce qu’un symbole si ce n’est du vide tellement recouvert de peinture que celle-ci se solidifie selon la forme qu’on veut lui donner ? »

La ville de Loered, Le Verrou du Fleuve, ploie sous la pression des armées démoniaques, mi-chair, mi-machine du dieu Aska. Affamée, malade, la population ne tient plus que par la foi que lui inspire Mériane, l’envoyée du dieu Wer.

Alors qu’aux plus hauts échelons du royaume, la reine régente Izara s’efforce de sauvegarder ce qu’elle peut encore, le prince Erwel lance un appel désespéré à l’union des provinces pour aider Loered. Quant à Mériane et les siens, ils n’ont pas d’autre choix pour survivre que de braver la colère divine. Car dans les vestiges maudits de l’Empire d’Asrethia repose peut-être une puissance capable de rivaliser avec celle d’Aska.

Tandis que le passé du monde émerge, la nature réelle du conflit qui oppose les dieux rivaux se dessine, et les Rhovelliens affrontent leurs plus terribles sacrifices. Quand la mort frappe tous les jours, il n’y a pas de héros, pas d’épopée – seulement la nécessité de survivre jusqu’au lendemain.

2019-05-20T09:18:44+02:00lundi 29 avril 2019|À ne pas manquer|4 Commentaires

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