Salut, Orca V

Auguste lectorat, aujourd’hui, je te souhaite la bienvenue dans mon merveilleux petit laboratoire informatique et névrotique.

Présence légèrement en retrait ces temps-ci sur les réseaux, à cause de :

orca-iv … monsieur, de son petit nom Orca IV, qui, après six ans de bons et loyaux services et mises à jour matérielles bichonnées avec amour, a décidé que moui, finalement, ne plus reconnaître le disque système (neuf et fonctionnel) une fois tous les trois mois, c’était rigolo. Ça permet à l’utilisateur de réinstaller toutes les applications, ça le force à un peu de tri, c’est plutôt sain, n’est-ce pas ?

Oui, ben non. Quand des petits trucs aléatoires commencent à planter ici et là, on sent qu’il est temps de mettre la machine à la retraite, surtout quand c’est celle qui sert à bosser. Ce billet est le premier tapé sur :

orca-vMonsieur Orca V (ou madame ? Anguleux, monolithique façon 2001, sombre et légèrement menaçant, tous archétypes sexués mis à part, ce sera pour moi monsieur). Originellement conçu comme une machine de montage vidéo, mais parfait pour traiter des photos, faire un peu de MAO, et surtout travailler très à l’aise avec dictionnaires, traitements de texte et navigateurs ouverts.

Ta mission, si tu l’acceptes, mon cher, sera de durer plus longtemps que ton prédécesseur.