Évolutions de la lettre d’informations (KWI) – important pour vos abonnements

Petite annonce de service et de maintenance : j’en parlais depuis un moment, et mes idées se sont à peu près décantées. Il est temps que la lettre d’informations du site (KWI) évolue… et surtout se simplifie grandement. Et après avoir réfléchi et regardé un peu ce qui se faisait ailleurs, je crois être parvenu à une solution convenable.

La situation actuelle (et pourquoi elle est confusante1)

La situation actuelle, disons-le franchement, est à peu près incompréhensible pour tout le monde. Actuellement, la lettre d’informations connaît deux “étages” :

  • Toutes les semaines, un résumé automatisé de l’activité du blog est envoyé à tous les abonnés ;
  • De temps en temps, j’envoie en plus une lettre personnelle pour signaler un événement majeur (la parution toute récente de Le Verrou du Fleuve, par exemple).

Or, on peut être abonné à l’un, l’autre, les deux, et typiquement, si on est abonné au premier, on l’est au second, mais pas inversement. Bref, on n’y pige rien, et je constate que pas mal d’abonnés à la liste s’en retirent deux semaines plus tard, probablement parce que les messages automatisés les gonflent, et je comprends tout à fait.

C’est un vieil héritage des toutes premières versions du site où j’offrais de suivre l’actualité des publications et/ou les expériences en temps réel du blog, pensant que si l’on était intéressé par les secondes, on l’était par les premières mais que l’inverse était certainement faux. Des années de blogging et aussi, il faut bien le dire, l’évolution de mon activité d’auteur m’ont donné tort – on est très rarement intéressé par les premières seules.

Donc, on va simplifier tout ça.

My Master Plan

M’inspirant fortement de ce que fait David Sparks, je projette d’unifier ces deux contenus en une seule lettre mensuelle plus personnelle. Elle proposera deux choses :

  • Un aperçu un peu plus détaillé de ce sur quoi je travaille, de l’endroit où je me trouve, etc. Des choses que je partage assez rarement sur le site, finalement, mais que je me sentirais plus à même de partager dans le contexte un peu plus personnel du courrier électronique. Une sorte d’aperçu des coulisses, en gros – si vous me faites le plaisir de vouloir recevoir mes actus dans votre boîte de réception, le moins que je puisse faire, c’est ajouter un peu de valeur !
  • Un résumé mensuel des articles les plus importants du blog, pour vous assurer que vous n’ayez rien raté (avec les vicissitudes des réseaux sociaux).

Et si je veux continuer à recevoir le blog plus régulièrement ?

Ma foi, vous avez bien raison, et tout le monde devrait suivre votre exemple. Vous êtes certainement très beau ou belle. Choisissez, je suis pas sectaire. Bref.

Il existe déjà moult canaux pour ce faire :

  • La page Facebook, évidemment – pour bien recevoir les notifications à l’heure, n’oubliez pas de cocher “Voir en premier” dans les paramètres de votre abonnement à la page (voir ci-contre) ;
  • Twitter – mais c’est volatil, je sais ;
  • Le flux RSS – oui, ça existe toujours et c’est vachement pratique ; je m’y suis récemment remis et je prépare une petite série d’articles sur les chouettes manières de s’en servir pour rester informé sans la bulle de filtrage des réseaux sociaux.

Et si vous voulez continuer à recevoir le blog par mail ? Je sais que quelques personnes sont attachées à cette fonctionnalité, or il me semble que ce sont plutôt des personnes douées techniquement. La solution consiste typiquement à convertir le flux RSS du site ( http://feeds.feedburner.com/lioneldavoust ) en alertes courriel. Deux solutions pour ce faire :

  • Utiliser un service type Blogtrottr (entrez l’adresse du flux à gauche, votre adresse à droite, et c’est parti) ;
  • Ou, plus technique, un service type IFTTT / Zapier (justement pour les plus technophiles d’entre vous) qui fasse la même chose (des tas de recettes disponibles peuvent même brancher le flux directement sur votre plate-forme de lecture préférée, type Instapaper ou Pocket par exemple).

J’espère que cela rendra les choses plus simples et intéressantes pour tout le monde. Mais n’hésitez pas, si ces perspectives vous hérissent, à le signaler en commentaires. Rien n’est fait, et si ça ne plaît à personne, je ne fais rien, hein (une activité toujours séduisante, bien entendu).

  1. Du verbe confuser. Ben quoi ?
2018-03-25T19:51:13+02:00lundi 26 mars 2018|À ne pas manquer|2 Commentaires

Faire un site, faire un blog, réponse : WordPress (la boîte à outils de l’écrivain, mais pas que)

Autre question que je vois tout le temps passer, qu’on me pose de loin en loin, que je vois agiter les réseaux sociaux comme la grand-mère du pote de mon oncle qui veut poster ses récits de vacances à Malibu : quel outil utilisé-je, que diantre, pour construire mon propre petit coin de paradis sur Internet ? 

Tu veux faire un blog pour raconter ton semestre d’études à l’étranger à tes copains et ta famille ? WordPress.

Tu es prof et tu veux mettre en ligne des récits collaboratifs autour de projets scolaires avec tes élèves ? WordPress.

Tu veux construire un portfolio photo pour montrer un peu ton travail sur les natures mortes à travers trente clichés de pneus ? WordPress.

Tu as une petite (ou grosse) entreprise et tu veux établir un site un peu chiadé qui puisse même faire de la vente en ligne ? WordPress.

Tu es auteur et tu veux construire ton point d’eau pour garder contact avec tes lecteurs et parler de tes livres ? (Toute ressemblance avec des personnages ayant existé serait purement fortuite.) WordPress.

Ce qu’est WordPress

WordPress est né à la base comme un moteur de création de blogs, mais au fil du temps, il est devenu bien, bien plus, au point que l’outil fait aujourd’hui tourner plus du quart du web mondial (en toute simplicité).  Il est devenu ce que l’on appelle aujourd’hui un CMS, Content Management System, système de gestion de contenu. En gros, c’est un atelier de publication pour le web ; un moteur pour faire tourner des sites. L’intérêt, c’est qu’un CMS propose un canevas de publication qui évite d’avoir à taper la moindre ligne de code. On gagne donc beaucoup en efficacité, en convivialité, donc en simplicité et en rapidité.

Un CMS fonctionne selon un principe très simple : c’est un site web dynamique dont les pages sont construites à la volée selon un ensemble de personnalisations extrêmement poussées. En clair, ça veut dire que :

  • Le contenu (articles, photos…) est stocké dans une base de données en ligne sur le serveur web. Cette base dit en substance : ceci est le texte de l’article de mercredi dernier, ceci est les photos qui vont avec, tout ça de manière « brute ».
  • Quand l’utilisateur vient sur le site et requiert une page web (je veux voir l’article de mercredi dernier), le logiciel (WordPress, donc) construit la page à la volée, de manière transparente, en allant piocher les bons morceaux où il faut dans la base de données (voilà le texte, voilà les images, elles vont, ici, là et là), compose l’ensemble et le fournit au visiteur avec un délai d’attente minimal.

Donc, dans un CMS, et dans WordPress en particulier, le contenu est entièrement séparé de l’apparence du contenu (de la mise en page). En quoi c’est intéressant ? Trois intérêts principaux :

  • Une fois que l’on a décidé de l’apparence de son site, il suffit de rentrer simplement le contenu qui va aux bons endroits sans se taper toute la mise en page (et donc le code qui irait avec). C’est donc très simple d’emploi.
  • Faire évoluer un site au fil des besoins est très facile ; on peut bouger les cases, en rajouter d’autres (c’est de cette manière que le présent site, arrivé à sa version 7, propose toujours des entrées de blog âgées de dix ans)
  • WordPress étant bien pensé, il est extrêmement flexible et extensible à l’infini, à l’aide de plug-ins allant du très simple (intégrer un bouton allant vers sa page Facebook) au très complexe (proposer tout une boutique en ligne avec système de commande, de gestion de stocks et de facturation1). Dans les faits, on peut tout faire avec WordPress, un site ultra-simple comme une plate-forme professionnelle puissante avec espace client privé – tout dépend du temps qu’on y investit et de la quantité de modules supplémentaires qu’on lui rajoute.
Le présent site aux alentours de 2010 – déjà du WordPress.

OK, mais pourquoi utiliser WordPress ?

Parce que c’est celui que j’utilise et que c’est moi qui rédige ce site, donc j’ai raison.

Okayyyy plus sérieusement. Il existe pas mal de concurrents : Drupal, Joomla, Spip et autres, mais il se trouve que WordPress est le plus populaire et donc, les chances de trouver un module ou un thème qui correspondent à vos envies sont plus importantes. D’autre part, WordPress est très, très utilisé, ce qui veut dire une forte communauté, donc de meilleures chances de se faire dépanner. Et WordPress est open source : même si toute l’équipe responsable devait laisser tomber le projet d’un coup, il est très improbable que ses utilisateurs se retrouvent abandonnés le bec dans l’eau.

Enfin, WordPress a très bien réfléchi son écosystème, le rendant accessible aux clients les plus occasionnels comme aux professionnels ayant de lourds besoins – j’y reviendrai.

D’accord, comment on fait un site avec WordPress ?

Rappelons-nous la distinction, plus haut, entre contenu et apparence. Dans les faits, « faire un site WordPress », ça ne veut pas dire mettre le contenu dedans (encore que c’est évidemment important), ça signifie commencer par expliquer à WordPress où il doit mettre les trucs et selon quelle forme.

Ça veut donc dire réfléchir à ce qu’on veut faire avec son site au lieu de commencer à bricoler direct. On peut, mais l’expérience prouve que c’est une façon idéale de tourner en rond en perdant son temps. Toute ma vie, mes profs d’informatique m’ont ordonné de lâcher le clavier et de réfléchir d’abord avec un papier et un crayon avant d’agir sur la machine, alors si c’est bon quand on programme, ça l’est d’autant plus quand on n’est pas très à l’aise avec les outils informatiques.

En termes techniques, dans WordPress, il y a :

  • La base (de données), qui contient tout le… contenu (textes, photos…)
  • Le thème, qui est, disons, une sorte de module enfichable (plug-in) particulier. Il contient une longue série d’instructions (du code) dictant dans le détail à WordPress où il doit mettre quoi où (le texte a cette apparence, il va là sur la page, les photos d’illustration ont cette taille, les menus de navigation vont ici, les mentions légales là, etc.)

Ceci explique la grande flexibilité (et le succès) de WordPress : avec un même moteur, on peut créer une infinité de sites (avec autant de thèmes convenant à autant d’usages).

Commencer simple, aller au compliqué

WordPress se décline en deux offres, selon le niveau de compétence et les besoins de l’utilisateur :

Sur WordPress.com2, la compagnie qui porte le projet (Automattic) propose des hébergements clé en main avec un WordPress entièrement fonctionnel, maintenu et mis à jour, dans l’esprit de ce que font Blogger, Over-blog et autres. C’est entièrement gratuit (et financé par la publicité sur les sites à grosse fréquentation). Il est impossible d’aller bricoler dans le code à proprement parler et les options de personnalisation ne sont pas toutes disponibles mais on peut arguer que c’est un avantage : il est impossible de casser quoi que ce soit et l’on se concentre sur la production à proprement parler. Des paliers payants permettent de lier un nom de domaine à son site, pour donner totalement l’illusion d’un site commercial pro si on le souhaite. Recommandé pour les débutants et les utilisateurs aux besoins simples et/ou modestes. 

Sur WordPress.org, c’est le grand bain. On télécharge le logiciel, on l’installe sur son propre serveur web (chez un hébergeur tiers qu’on paie, donc), on configure sa base de données (ce qui reste simple à faire) et là, l’univers entier s’ouvre à soi. Aucune limite dans les personnalisations, les plug-ins – aucun filet non plus si on casse quelque chose, évidemment. C’est la solution la plus puissante, mais qui exige déjà un petit niveau de compétence – et un niveau bien supérieur si on commence à trafiquer des trucs précis en vue d’un résultat non-standard. Ce qui est tout à fait possible, mais prend du temps. Recommandé pour les geeks, spécialistes, passionnés et professionnels. (Le présent site tourne sur un WordPress auto-hébergé et maintenu par mes blanches mains, ce qui explique pourquoi de temps en temps y a quand même un peu des trucs qui grincent.)

Le pied à l’étrier

Dans les faits, quand on entre dans l’administration de WordPress, on voit ça :

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Tous les sites WordPress ressemblent à ça “en coulisses”. Là, on intervient sur la base de données directement ; la présentation du contenu, côté visiteur, est prise en charge par le thème. Construire un thème est encore quelque chose qui nécessite des connaissances en code (mais ça promet de changer, et il y a déjà des astuces pour pousser très loin la customisation sans écrire une ligne de code3).

Dans la base, côté administration, il y a trois « types » de données importantes à connaître :

  • Les articles sont du contenu censément dynamique – typiquement, du contenu lié à un moment dans le temps ; dans les faits, c’est un blog, ou des nouvelles au sens large. (Sur le présent site, c’est le blog proprement dit – je vais prendre des exemples tirés de ce lieu de perdition, non pas par pour me la raconter mais parce que je sais évidemment ce qui s’y trouve et comment ça marche)
  • Les pages sont du contenu statique, qui évolue peu ou pas. (Par exemple, la biographie ou la page sur Procrastination.)
  • Les extensions ne sont pas du contenu à proprement parler mais, justement, les plug-ins. WordPress est incroyablement extensible – c’est sa force. (Exemples ici : l’agenda est entièrement piloté par une grosse extension, les colonnes en bas de la page d’accueil, avec les réseaux sociaux, sont à chaque fois gérés par une extension – une pour Facebook, une pour Twitter, etc.)

Aller plus loin pour les feignants

Avec sa popularité, WordPress a généré tout un écosystème de développeurs qui programment des thèmes et des extensions pour gagner leur vie (le plus grand marché étant probablement Envato4). On trouve des tacs de trucs en gratuit, bien sûr, mais on peut aussi acheter des thèmes et des extensions de qualité professionnelle, dans des tarifs qui restent abordables – ça dépasse rarement 50$ pour un thème, 15$ pour une extension. Ceci donne à un site une apparence unique, des fonctionnalités puissantes allant au-delà du jeu de base et, surtout, promet une forme de support technique (c’est évidemment réservé aux sites auto-hébergés). Tout cela est un mélange, évidemment ; chacun construit sa sauce à la carte en fonction de ses désirs.

La marche à suivre

Construire un site web simple est aujourd’hui à la portée de tout le monde. Mais pour cela, m’est avis qu’il faut réfléchir un peu, je le rappelle :

  • D’abord établir ses ambitions / envies sur son projet, y réfléchir énormément à l’avance. Que me faut-il absolument ? Qu’est-ce qui serait chouette, mais dont je peux me passer ? Se lancer la fleur au fusil sans savoir ce qu’on veut est une manière royale de perdre son temps à errer sans but sur les sites et à bidouiller en vain.
  • Une fois que c’est fait, choisir la formule gratuite en ligne gérée par WordPress (wordpress.com) ou bien sauter dans le grand bain et s’installer la version auto-hébergée (wordpress.org). Et là, aller éplucher les vendeurs de thème et plugins commerciaux pour voir ce qui pourrait correspondre à ses envies. Dans beaucoup de cas (notamment chez Envato), on peut voir les thèmes en démo, discuter avec les développeurs avant d’acheter pour savoir si ce qu’on envisage fait bien ce qu’on veut.

Ne pas sous-estimer la phase de réflexion… Si ce site en est à sa v7, c’est aussi parce que j’en ai un peu trop fait l’économie il y a quelques années. C’est très amusant de construire un site web… mais il ne faut pas oublier que c’est un outil, et non une fin en soi !

Et maintenant, vous savez quoi répondre à la question “avec quoi faire un site ?” Question suivante : la faim dans le monde, d’ici vendredi. (Ou pas.)

  1. Oui, je parle de Woocommerce.
  2. Lien affilié, voir ici.
  3. Page builders type Visual Composer ou Divi. Je sais, Visual Composer est une abomination, mais qu’est-ce que c’est pratique quand ça marche.
  4. Lien affilié, voir ici.
2024-03-19T02:07:53+01:00mardi 20 février 2018|Le monde du livre|Commentaires fermés sur Faire un site, faire un blog, réponse : WordPress (la boîte à outils de l’écrivain, mais pas que)

Expériences en temps réel, bilan 2017

Oooh, un article de bilan, voilà longtemps qu’il n’y en avait pas eu. Mais il me semble que ce pourrait être utile, surtout qu’un blog et un site sont appelés à constamment évoluer avec les usages, avec les envies, avec les demandes, aussi. Et, tout les deux ou trois ans au moins, je pense qu’il est judicieux de regarder un peu le chemin parcouru, ce qui semble s’ouvrir devant soi pour éventuellement infléchir une trajectoire. Et puis aussi ouvrir la discussion avec toi, auguste lectorat, pour voir si on se rejoint à peu près.

Résumé des épisodes précédents

Ce blog existe depuis la fin de l’année 2009 (soit l’ère secondaire en termes Internet) ; le site en lui-même est plus ancien, mais ne présentait guère d’intérêt. Faisons-nous donc peur en voyant comment ouh, c’était moche :

Comment ouh, c’était moche.

Le blog est passé par MySpace (eh ouais) puis Over-blog avant de finir définitivement ici et se joindre au site proprement dit. En 2012, pendant mon volontariat dans les Hébrides, je décide de tenter l’expérience de proposer quelque chose de nouveau (article, interview, chronique) chaque jour ouvrable et, à l’exception des périodes de déconnexion pendant les fêtes et d’une poignée de jours, j’ai tenu parole.

La fréquentation a augmenté régulièrement au fil de ces neuf années, pour arriver actuellement à une moyenne de 10 000 visites par mois, pour 136 000 visites en 2017.

Ces stats ne sont pas là pour me gargariser (on pourrait parler des humbles débuts ou des semi-échecs d’autres expériences que j’ai pu tenter), mais pour cerner un objectif qui a toujours été important pour moi : me faire plaisir sur cette plate-forme mais quand même offrir du contenu susceptible d’intéresser du monde – c’est la métaphore du bar. Je suis content de voir que j’y arrive à peu près, et surtout de manière stable, au lieu de faire du clickbait pour justifier ma présence. Merci à vous toutes et tous de votre fidélité, de vos interactions, de vos retours !

Au fil des ans, j’ai évidemment beaucoup appris, mais la plus importante leçon, je crois, a consisté à trouver comment m’exprimer dans un tel espace. Une expérience qui était partie à la base pour être purement ludique s’est transformée (à ma grande surprise) en un média important pour communiquer tous ensemble, et comme toutes les belles histoires, il y a là une part de coïncidences. Il m’a fallu trouver des ajustements, il y a certains articles dans les archives dont je ne suis pas entièrement fier avec le recul, mais on change en bientôt dix ans, comme écrivain bien sûr, comme être humain aussi, et je n’ai jamais prétendu offrir au monde une façade lisse et parfaite. Un des trucs que j’ai pigé, c’est qu’on n’est ni lisse, ni parfait, jamais, que c’est épuisant d’essayer – que le seul objectif consiste à apprendre pour s’efforcer d’être meilleur demain qu’hier, mais on peut aussi avoir de la tendresse pour hier, car on ne savait pas ce qu’on sait aujourd’hui. Certaines conneries que j’ai pu dire avec le recul figurent toujours dans les archives, elles sont le reflet d’une époque, je ne vais pas réécrire l’histoire; je me suis efforcé de faire amende honorable le cas échéant (et souvent c’est en commentaires).

J’ai aussi pas mal recentré le blog vers les questions d’écriture, de productivité, de technique. À la fois parce que ce sont les sujets qui m’occupent vraiment beaucoup en ce moment, donc mécaniquement cela se reflète ici, mais aussi parce que j’en ai un peu saturé de descendre dans l’arène d’Internet et de me prêter à l’exercice du billet d’humeur. Il y en a et y en aura toujours (j’aurai toujours un côté rageux et j’assume, je l’aime, mon côté rageux), mais ces temps-ci, je voudrais porter une parole plus “positive”, en création et dans l’optique d’ajouter de la valeur, plutôt qu’en contradiction et en révolte. Attention, la contradiction et la révolte ont éminemment leur place, et elles sont nécessaires dans le monde ; je dis juste que, pour ma part, j’en ai eu à un moment ras-le-bol de voir mes paroles “travesties par des gueux pour exciter des sots” (gloire à Rudyard Kipling pour cette parole des plus sages). Je me sens moins dans la confrontation et davantage dans la construction – mais, encore une fois, c’est mon rapport au monde à ce moment-là ; peut-être qu’à soixante-dix ans, je braquerai des lances à incendies sur ces sales jeunes qui viendront fumer de l’herbe sur ma pelouse.

Parfois, on se demande où un photographe a eu l’idée d’une photo.

Bon, alors déjà, ça suppose qu’un jour, j’aurai une pelouse.

Les limites actuelles et là où l’on va aller

On grandit, en neuf ans, on évolue comme auteur, et je suis très heureux, touché et reconnaissant de voir les livres trouver leur public, certaines initiatives s’installer dans la durée. Merci ! 

Forcément, cela implique quelques changements de fonctionnement. Notamment, il y a dans le site et le blog actuels des trucs qui commencent à coincer voire à être ridicules, dont j’ai conscience, et qu’il va falloir changer – ce sur quoi je n’ai pas toujours des idées très arrêtées, mais discutons, justement.

La revue de presse. C’est probablement le truc le plus absurde à l’heure actuelle. J’ai toujours tenu à relayer, au moins sur les réseaux sociaux, les articles intéressants sur mon boulot qui parviennent à ma connaissance, mais j’ai toujours pris soin de ne pas non plus submerger le monde avec ; un blog / réseau social, c’est comme une pizza, faut un subtil équilibre des saveurs. Clairement, la formule actuelle est devenue ridicule – j’ai toujours douze (vraiment douze) articles de retard dont certains remontent à six mois. Il faut que je sois plus réactif là-dessus. Action : Cela veut dire que ces informations doivent sortir du programme de publication du blog, ce qui m’amène à…

Périodicité et sujets du blog. L’approche ici est tellement poussiéreuse que j’ai une crise d’éternuements chaque fois que je m’en approche : la liste des thèmes est vieille comme mes robes, et ne reflète plus l’équilibre du contenu (sans parler qu’elle est un peu absconse). Surtout, l’idée de proposer quelque chose de nouveau chaque jour ouvrable a probablement atteint ses limites (voir la revue de presse ci-dessus). Cela me jette depuis quelque temps dans l’impératif de proposer quelque chose à tout prix et je peine à mêler les articles sur l’actualité des bouquins (car il faut bien les relayer un peu aussi, c’est mon boulot) de manière harmonieuse avec les articles plus didactiques sur l’écriture. Action : je vais probablement m’astreindre à un, deux articles de qualité dans la semaine (pas forcément sur l’écriture, mais souvent, bien sûr), et le reste à l’avenant en fonction de l’actualité du moment. Cela signifiera qu’il pourra peut-être y avoir un ou deux jours ouvrables dans la semaine sans rien… mais ce sera déporté sur les réseaux sociaux. C’est surtout là que j’ai besoin de ton retour, auguste lectorat : est-ce une haute trahison passible de pendaison ? Tu me dis. 

La newsletter. Là aussi, c’est pas terrible. Une liste pour les infos, une liste pour le blog, on peut être sur l’une et pas l’autre, mais pas l’inverse… Sur ce point, j’ai des idées assez abouties. En gros, faut simplifier tout ça dans les grandes largeurs. J’en reparlerai dès que j’aurai trois secondes pour mettre les idées à plat et les proposer dans un article à part.

Le site actuel et ses problèmes. Nous sommes à la v8 de ce site et j’aimerais qu’il tienne jusqu’à la fin de « Les Dieux sauvages », mais je crains que ça ne soit pas possible. La base technique sur laquelle je l’ai construite est un peu bancale et plus le temps passe, plus il fait vieillot par rapport aux standards actuels du web. Je n’aime pas ces énormes bannières qui bouffent tout l’espace, mais je crains qu’il faille y passer, surtout en une ère de navigation principalement mobile – c’est pour l’intérêt de la clarté, et c’est bien, la clarté. Il y a de petits bugs dans tous les coins qui montrent les limites de ce que j’ai voulu faire, les portails sur les univers sont repoussés depuis une éternité, bref – ça a besoin d’un vraie période de travaux de fond. Un site d’auteur en 2018 avec plusieurs livres, deux univers, une grosse bibliothèque d’articles sur l’écriture n’a rien à voir avec un site de nouvelliste en 2009, et je paie le prix de l’existant ; si je veux continuer à proposer une information qui soit pertinente, et utile à ceux et celles qui me font le plaisir de venir se balader ici, à un moment, va falloir fermer le bar et péter un ou deux murs. Action : C’est en cours de réflexion, j’ai une jolie carte heuristique qui s’étoffe peu à peu, mais pour l’instant, je n’ai pas le temps1. Mais ceci explique pourquoi certains petits bugs ne sont pas corrigés depuis longtemps – ça ne sert à rien de refaire le dessus du comptoir si on refait tout dans six mois de toute manière.

N’hésitez pas à donner votre avis

En général, écrire cette phrase est un moyen très sûr de voir deux commentaires se battre en duel et de passer pour un gros égocentrique qui est persuadé d’avoir intéressé du monde, mais peu importe, la démarche est sincère : à mesure que je réfléchis à comment amener cet endroit d’une manière qui intéresse tout le monde (vous et moi), autant que j’essaie un peu de savoir ce que je peux faire de mieux. J’ai toujours dit que le blog est aussi pour moi une manière de payer ma dette karmique et de partager, d’expérimenter sur ce que j’ai pu apprendre, mais si je paie cette dette en emprunts russes parce que le média qui la porte est mal fichu, c’est un brin idiot.

Donc, s’il y a des choses que vous voulez voir changer, mieux fichues, des protestations ou des envies sur la manière dont ça (ne) marche (pas), c’est totalement bienvenu. (Ne vous ennuyez juste pas avec les bugs ponctuels du site actuel, puisqu’il va certainement évoluer.)

Merci !

  1. J’avoue que je temporise un peu aussi jusqu’à la release de Gutenberg dans WordPress 4, ça risque de changer pas mal de choses. Si vous n’avez pas compris cette phrase, rassurez-vous, c’est pour ça qu’elle était en note de bas de page.
2018-01-21T23:41:18+01:00lundi 22 janvier 2018|Journal|13 Commentaires

Refonte partielle du site aux couleurs de La Messagère du Ciel

Comme promis, le site se prend un petit coup de jeune et change de couleurs pour adopter celles de la trilogie « Les Dieux sauvages », dont le premier volume sortira en mai, en même temps en Port d’Âmes en poche. Plus lisible et plus praticable, en principe, certains bugs ont été corrigés (il en reste) et, surtout, la page d’accueil propose une importante refonte, plus facile à naviguer.

Le gros du travail a été effectué sur la page d’accueil. Les actualités principales sont à présent rassemblées toutes au même endroit :

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Les couvertures sont interactives – elles se retournent en passant la souris dessus, avec quelques infos et un lien direct vers la page du livre concerné.

Le blog et les ressources se trouvent rassemblés dans une section plus graphique :

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Là aussi, les cartes se retournent, permettant de partir à la pêche en fonction de l’image idiote d’illustration (car des années d’images idiotes en archives doivent servir, il faut qu’on soit très clair là-dessus).

Cela signifie aussi que La Messagère du Ciel dispose enfin de sa propre page dédiée comme tous les autres livres. C’est ici, et c’est là que les informations et chroniques viendront s’archiver, comme ailleurs.

Projets à venir pour le site

Maintenant que j’ai à nouveau une plate-forme fonctionnelle, certains chantiers vont pouvoir avancer (si le temps me le permet). Il y a les portails univers, qui deviennent de plus en plus urgents, notamment pour Évanégyre, ne serait-ce que pour répondre aux deux questions les plus fréquentes : par quel bouquin commencer ? (réponse : celui qu’on veut) quel est l’ordre chronologique des récits dans la trame ? (j’ai une jolie frise en préparation)

Je pense aussi refondre les catégories du blog en quatre grands thèmes généraux pour couvrir tout ce dont il est question ici. Il y a actuellement trop de subdivisions, donc certaines restent en jachère pendant des mois. De toute façon, en 2017, on tend à ne plus avoir douze sous-catégories pour un blog.

J’espère que ce réaménagement te plaira, auguste lectorat ! N’hésite pas à donner ton avis (ou à relever les petits bugs qui risquent inévitablement de rester).

2017-03-16T18:27:01+01:00jeudi 16 mars 2017|À ne pas manquer|Commentaires fermés sur Refonte partielle du site aux couleurs de La Messagère du Ciel

Sous la construction

Howdy ! Un petit mot de maintenance pour expliquer un peu ce qui se trame autour du site. Je faisais un bilan en fin d’année, mais comme j’occupe dorénavant la fin d’année à me déconnecter (par exemple pour aller en Islande), ça laisse un peu dans les choux ce genre d’information.

J’ai avec le site le merveilleux travers de l’obsession productive : dans ma quête pour que tout fonctionne au mieux et me fasse gagner du temps, je passe en réalité un temps déraisonnable à tout verrouiller au micropixel. Comme je finis insatisfait, je balaie tout et repars de zéro une fois tous les deux ans. J’ai ainsi laissé entendre un changement de version majeur à venir.

Eh bien, pas cette fois.

Une étude plus réfléchie des nécessités montre que je peux accomplir presque l’intégralité avec la version actuelle (qui était quand même bien plus réfléchie que les précédentes). Ça nécessite de fignoler et de tester un certain nombre de choses, mais ça sera plus rapide, au final, que de tout péter.

Le problème principal est représenté par la page d’accueil du site, qui était un test à développer et qui, au final, ne l’a jamais été. Elle n’est pas praticable, pas claire, et pas facile à mettre à jour. Tout pour plaire. Or, avec la sortie de Port d’Âmes en poche et l’arrivée très prochaine de La Messagère du Ciel, j’ai besoin de pouvoir communiquer clairement.

J’ai donc en coulisses un nouveau design, dont le numéro de version est “exploite déjà ce que tu as au lieu d’ajouter des nouveaux trucs” (troisième règle de Brandon Sanderson). Quelques petits effets sont déjà visibles (et produisent quelques bizarreries ici et là, en cours de réparation).

Le blog

La page (toute pétée depuis un moment) propose à nouveau le texte complet des derniers articles, avec un petit changement : les dernières actualités importantes (jamais plus de trois) sont mises en avant en tête de page.

Cliquez pour agrandir

L’accueil

Toujours en cours, donc, et n’hésite pas, auguste lectorat, à dire ce que tu en penses.

Le carousel d’accueil avec les livres (qui ne fonctionne déjà pas sur tous les navigateurs) passe à la trappe pour une version plus sobre mais plus informative : actus importantes du moment (les mêmes que celles mises en avant sur le blog), dernières nouvelles, événements à venir. Chaque couverture est interactive : passer la souris dessus la fait se retourner, donnant des informations utiles et un lien direct vers la page du livre.

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Un des principes fondamentaux du webdesign est de faire appel autant que possible à l’image et à éviter le texte. Ce qui, comme on peut s’en douter, m’est extrêmement difficile, vu que je communique avant tout par ce biais. (Il faudra que je prenne un vrai webdesigner un jour.) Mais j’ai fait un gros effort, maîtresse. L’espace dédié au blog sur la page d’accueil supprime tout texte (qui n’apparaît, là aussi, qu’en passant sur la dalle). (Oui, c’est pas fini à droite)

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Meilleure intégration avec les réseaux sociaux aussi, avec enfin les widgets officiels consacrés (qui sont un peu moches, mais faire tourner autre chose nécessite de sauter dans des tas de cerceaux auprès des services concernés et on n’a aucune assurance que ça ne va pas casser dans six mois, donc j’abandonne) :

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Wishlist ?

Voilà donc ce qui se prépare (et que j’espérais déployer aujourd’hui, mais j’ai plus urgent sur le feu). Si l’urgence m’est tombée dessus, c’est qu’un certain nombre d’informations sur La Messagère du Ciel vont arriver très, très vite. (je dis ça pour vous remercier d’avoir lu jusque là !)

Un projet de longue date (et sur lequel il va convenir d’activer aussi) toujours en cours, ce sont les portails sur les univers. Si ça tarde tellement, très honnêtement, c’est que je n’ai toujours pas trouvé une forme qui me semble pertinente, autre que me faire plaisir à l’ego, ce que je me refuse à faire. J’ai même pensé à proposer un wiki éditable par la communauté hébergé ici.

Je vais probablement finir par ouvrir un sondage.

2017-03-08T09:50:51+01:00mercredi 8 mars 2017|Dernières nouvelles|8 Commentaires

Les archives de Procrastination sont de retour en ligne

Juste un petit mot rapide en passant pour signaler que, eh bien, auguste… heu… auditorat, le compteur d’écoutes de Procrastination avait explosé, ce qui nous fait très plaisir (merci pour votre suivi et votre intérêt toujours croissant !), mais que cela a conduit à quelques petits soucis pour l’hébergement des plus anciens épisodes. Le souci a été réparé par les équipes d’Elbakin (que nous remercions encore de bien vouloir nous héberger et de fournir toute la logistique et les moyens techniques de diffusion), et nous sommes très heureux de vous annoncer que tous les anciens épisodes du podcast sont à nouveau disponibles sans problème ni limite. Si vous voulez (re)prendre depuis le début, c’est donc à nouveau possible.

Pour mémoire, les moyens d’abonnement sont disponibles sur cette page.

2017-03-03T20:12:09+01:00lundi 6 mars 2017|Technique d'écriture|Commentaires fermés sur Les archives de Procrastination sont de retour en ligne

Une page sur le site pour Procrastination (et un point sur le site)

Howdy hey. Nous avons lancé notre podcast sur l’écriture en quinze minutes la semaine dernière, Procrastination ; pour information, toutes les informations sont à présent centralisées sur cette nouvelle page (liens d’abonnement, principalement, avec tous les moyens possibles : flux RSS classique, iTunes, Soundcloud, YouTube). Merci, déjà, pour tous vos retours et propositions de sujets ; nous notons tout autant que faire se peut et cela informera la suite du podcast (même si nous avons prévu des épisodes d’avance pour ne pas être pris de court).

page-procrastination

Concernant le présent site : des tas de petites choses commencent un peu à craquer aux entournures. Des mini-bugs graphiques, des mises en page non raccord… Ce qui est dû à un certain nombre de petits hacks installés de base pour le faire tourner comme je le désire. Or, c’est classique : plus ils sont nombreux, et plus on court le risque qu’ils cassent avec le temps et les mises à jour subséquentes. J’espérais que la v7 me durerait quelques années, mais il semble qu’elle montre déjà des signes d’usure prématurée, et que réparer et maintenir sur le long terme demanderait probablement plus de temps que de prévoir des bases un peu plus saines.

Mais mec, tu changes de site tous les ans, non ? On sait bien que c’est ton loisir secret, allez. 

En fait, non. Les anciennes versions duraient plus longtemps, mais le site s’est complexifié dans le but de me rendre la gestion plus facile1, ce qui implique, en retour, un certain nombre de transitions passablement ennuyeuses avec le contenu existant – lequel remonte à (gasp) huit ans de blogging, et que je ne veux pas perdre. Fort de tous ces enseignements, l’objectif est à présent de planifier drastiquement en amont au lieu de tenter des trucs et d’adapter à la volée, pour retrouver la stabilité que j’avais avec la v5 (et que je n’ai changée que pour des raisons d’incompatibilités technologiques) et me débarrasser de toutes les scories accumulées avec les années.

Donc : le site ne changera pas de sitôt, parce que a) cela prendra du temps et b) j’ai largement autre chose à faire en ce moment. Mais, en gros, si vous trouvez sur des bugs ou des mochetés, je suis probablement et malheureusement au courant. Et, tel dieu face au monde qui lui déplaît, plutôt que d’employer la miséricorde, je vais balancer un bon gros déluge un de ces quatre et repartir sur des bases saines.

  1. S’il y en a que ça intéresse, la partie livres est à présent gérée par Woocommerce, mais c’était un gros module à intégrer et je me rends compte à l’usage que c’est presque un monde à part. Et que l’envergure du truc peut poser un certain nombre de problème de gestion et d’homogénéisation par ailleurs.
2016-09-19T09:57:07+02:00lundi 19 septembre 2016|Dernières nouvelles|2 Commentaires

Annonce de service : On passe à 10h

lolcat-tiredHola, auguste lectorat : si tu suis cet endroit de perdition depuis longtemps, tu auras remarqué qu’en général, les articles étaient programmés à 9h mais que, quoi-t’est-ce, que qu’ouïs-je, il y a du retard depuis une semaine : eh bien non, c’est volontaire (not a bug but a feature), les articles sont dorénavant publiés vers 10h. J’ai cru remarquer que c’était une heure plus adéquate pour la majorité (pause café, ou bien sortie du lit pour ceux qui n’aiment pas Emmanuel Macron) – donc voilà, nous passons à 10h, poh poh poh.

2016-04-20T08:52:03+02:00lundi 25 avril 2016|Dernières nouvelles|3 Commentaires

Changement du formulaire de contact

Petite annonce de service comme il m’a été signalé plusieurs fois que le formulaire de contact du site avait tendance à faire des siennes : il a été remplacé par une autre version (en fait, la précédente avant la version courante du présent site, qui fonctionnait normalement très bien). C’est donc toujours ici. Merci à vous qui m’avez signalé le problème technique : j’espère que cela fonctionnera sans accroc dorénavant.

Et sinon, rions un peu :

math-email-todd

 

2016-02-10T12:48:01+01:00vendredi 12 février 2016|Dernières nouvelles|Commentaires fermés sur Changement du formulaire de contact

Base de données théoriquement réparée

lolcat-professionalsYoupi, juste un petit mot pour prévenir qu’en principe, la base de données du site a été rafistolée : normalement, les discussions de l’article piratage ont été rétablies à la main à leur état le plus récent. J’ai fait ça à la main, donc il n’est pas exclu que j’aie oublié des choses, n’hésitez pas à râler le cas échéant – mais je crois que c’est bon. Nous pouvons tous reprendre des activités normales.

2016-02-07T16:39:05+01:00lundi 8 février 2016|Dernières nouvelles|Commentaires fermés sur Base de données théoriquement réparée

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