Mériane et les siens n’ont pas d’autre choix pour l’emporter que de braver les interdits frappant l’Ancien Temps. Quand la mort frappe tous les jours, il n’y a pas de héros, pas d’épopée – seulement la nécessité de survivre jusqu’au lendemain.
La Fureur de la Terre (« Les Dieux sauvages » vol. 3)
Description du Produit
Roman, éd. Critic, 2019
Top 2019 de la rédaction d’Elbakin.net
Coup de cœur, 5/5. L’auteur nous offre une suite monstrueuse à tous les niveaux, poursuivant sa saga avec maestria.
Librairie Decitre
La maîtrise narrative de Lionel Davoust impressionne et invite à revenir arpenter le monde d’Évanégyre aux côtés de Mériane.
Bifrost
8,5/10. La saga conforte son statut d’œuvre maîtresse dans la fantasy épique à la française.
Elbakin.net
« Qu’est-ce qu’un symbole si ce n’est du vide tellement recouvert de peinture que celle-ci se solidifie selon la forme qu’on veut lui donner ? »
La ville de Loered, Le Verrou du Fleuve, ploie sous la pression des armées démoniaques, mi-chair, mi-machine du dieu Aska. Affamée, malade, la population ne tient plus que par la foi que lui inspire Mériane, l’envoyée du dieu Wer.
Alors qu’aux plus hauts échelons du royaume, la reine régente Izara s’efforce de sauvegarder ce qu’elle peut encore, le prince Erwel lance un appel désespéré à l’union des provinces pour aider Loered. Quant à Mériane et les siens, ils n’ont pas d’autre choix pour survivre que de braver la colère divine. Car dans les vestiges maudits de l’Empire d’Asrethia repose peut-être une puissance capable de rivaliser avec celle d’Aska.
Tandis que le passé du monde émerge, la nature réelle du conflit qui oppose les dieux rivaux se dessine, et les Rhovelliens affrontent leurs plus terribles sacrifices. Quand la mort frappe tous les jours, il n’y a pas de héros, pas d’épopée – seulement la nécessité de survivre jusqu’au lendemain.
Couverture Alain Brion.
Les superlatifs ne sont pas suffisants à mes yeux pour rendre justice aux souvenirs de ma première lecture alors que je redécouvrais certaines révélations et twists prenant place dans ce volume, lui conférant pour moi le statut de pivot cultuel. Oui, rien que ça.
Traiter ce roman d’épique, c’est encore utiliser un mot trop faible.
Les rebondissements se succèdent sans qu’on les voit venir pour autant. Avec La Fureur de la Terre, Lionel Davoust continue de tenir ses promesses de se faire l’auteur d’une grande saga de fantasy.
4,5/5. Encore une fois la rigueur de l’auteur, sa plume, la quantité de ses recherches et la maîtrise de son univers font que cette série des Dieux Sauvages est de grande qualité et est passionnante à suivre.
Coup de cœur. Avec ce troisième volet de la saga de Mériane, Lionel Davoust confirme, s’il en était besoin, son talent d’auteur de fantasy digne de celui d’un G.R.R. Martin ou d’une Robin Hobb.
5/5. J’ai beaucoup apprécié ce troisième volume, et j’attends la suite avec impatience !
La maîtrise narrative de Lionel Davoust impressionne et invite à revenir arpenter le monde d’Évanégyre aux côtés de Mériane.
19/20, Coup de cœur. Cet univers de fantasy post-apocalyptique (technologie maudite en prime) figure parmi mes préférés, bien au chaud aux côtés du Roshar de Brandon Sanderson, et rien que pour ça faut vous lancer fissa !