Très vite, on replonge dans cet univers de manière quasi hypnotique, où la prose de Lionel Davoust fait d’abord doucement tanguer le bateau du lecteur, pour le bercer avec de plus en plus d’énergie, jusqu’au final de ce second opus. C’est d’autant plus intéressant que l’auteur ne fait pas revenir d’emblée son héros et qu’il parvient, grâce à cela, à développer le fil de son histoire d’une manière particulièrement intéressante.
Un article de Frédéric Fontès à lire sur 4e de Couv.