À propos de LD

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Meta a sciemment pillé des téraoctets de livres (nous sommes tous dedans) pour entraîner ses « intelligences artificielles »

Je n’ai plus l’envie ni l’énergie de chercher des formules créatives pour exprimer toute la haine que Meta m’inspire. Aucune mesquinerie n’est assez basse, et qu’importent les dégâts causés sur les peuples, les esprits, les jeunes. La dernière en date, mineure en comparaison des atteintes aux droits humains fondamentaux mais révélant quand même toute la pourriture de cette culture d’entreprise et sa certitude d’être au-dessus des lois et de la décence, c’est le piratage de téraoctets de livres pour entraîner leurs modèles de langage, sans aucune compensation bien sûr des auteur·ices.

À peu près tout l’imaginaire français est dedans (puisque c’est basé sur les ebooks pirate LibGen). Vous pouvez vérifier ici.

Ma pomme

Si vous aimez le livre, les auteurs, l’édition et même juste les gens tout court, je ne sais plus comment dire qu’il faut radicalement couper les ponts avec cette verrue de l’humanité, clôturer les comptes et aller ailleurs. Oui, je sais, ça n’est pas facile, vous avez des gens dessus qui refusent de bouger, mais au bout d’un moment, arrêter la clope aussi, c’est dur, surtout quand vos potes fument, et pourtant, c’est nécessaire, et au bout d’un moment, c’est vos potes immobilistes qui doivent avoir l’air un peu nigauds.

Si vous travaillez dans le livre et l’édition, et que vous vous sentez captif·ve de Meta, vous vous trouvez dans la même situation que quelqu’un qui travaille dans un centre de protection de la nature à démazouter des goélands toute la journée pour découvrir que vous êtes payé·e par Exxon. L’image n’est pas anodine : dans certains cas, ces groupes sont les seuls à payer pour le travail nécessaire, et il faut bien le faire.

Mais il faut vous rappeler qu’ils sont la cause même du problème que vous combattez. Meta s’essuie les pieds sur la dignité humaine, dont la culture et le droit de disposer de son travail représentent une toute petite partie. Personne ne les arrête, personne ne les critique, parce qu’ils sont « trop gros ».

Mais qui leur a donné ce pouvoir ? Nous. Meta monétise et privatise un des biens les plus précieux de l’humanité, la connexion. Nous devons de toute urgence leur reprendre avant de finir mazoutés à notre tour. Jusqu’à quand allons-nous accepter de jouer le jeu ?

Nous devons guider collectivement le public vers des alternatives plus vertueuses et tout aussi faciles d’emploi comme Bluesky, la bonne vieille newsletter, le serveur privé Discord, le forum, etc. Il faut se rappeler que la présence d’un public sur une plate-forme n’a guère de corrélation avec la qualité des échanges ou la capacité à communiquer autour de son travail. Noyé·es dans les algorithmes et les pubs, nous devenons forcé·es de payer pour mettre devant les gens qui pourtant veulent nous suivre le contenu qu’ils veulent voir (je suis assez vieux pour avoir vu l’arrivée de l’algorithme il y a treize ans, et le problème est toujours le même).

Ça s’appelle du racket.

2025-03-24T21:07:06+01:00mercredi 26 mars 2025|Humeurs aqueuses|0 commentaire

Mes plugins Obsidian

Enfin ! Me voilà un véritable influenceur du PKM space, je peux donner ma liste de plugins Obsidian comme un adulte ! Étape suivante, ouvrir une chaîne YouTube. (Ne me provoquez pas. J’en suis capable.)

En vrai, ce genre de système se raffine en permanence, mais je suis donc arrivé à une liste relativement raisonnable (une cinquantaine) de plugins que j’utilise au quotidien, plus les modules principaux. Comme cela m’a été demandé en commentaires, et qu’en vrai je n’ai aucune fichtre d’idée de par où commencer pour parler de certaines aires spécifiques de l’outil, balançons tout, comme ça, ça sera spécialement pas clair.

Modules principaux

  • Canvas (en passe de remplacer Scapple)
  • Commandes slash
  • Compositeur de notes (indispensable pour découper des fiches devenues trop longues)
  • Créateur de note unique (je m’en sers surtout pour avoir une commande secondaire de création de note à un endroit spécifique)
  • Enregistreur audio
  • Espaces de travail
  • Explorateur de fichiers
  • Liens sortants
  • Nombre de mots (mais on compte en signes espaces comprises, HEIN)
  • Palette de commandes
  • Plan
  • Rechercher
  • Récupération de fichiers
  • Rétroliens
  • Sélecteur rapide (auquel j’accède depuis n’importe où dans mon Mac via Keyboard Maestro)
  • Signet
  • Sync
  • Volet de mots-clés
  • Vue des propriétés
  • Vue graphique

Jusque-là, rien de bien étonnant. Maintenant, envoyons les trucs compliqués.

Modules complémentaires (plugins)

Actions URI. Ajoute des tas d’actions appellables par des URL. Permet notamment de lier à une fiche en n’utilisant non pas son nom (fonction de base de l’app), car le lien casse si on change celui-ci. À la place, fait appel à une URL unique liée à un identifiant numérique dans les propriétés du document. Comme dans un bon Zettelkasten : on utilise un identifiant unique utilisable et retrouvable dans n’importe quel contexte.

Admonition. Obsidian gère les callouts depuis longtemps sans plugin, mais Admonition facilite la création de nouveaux types et surtout offre l’autocomplétion pour tous les callouts disponibles, ce qui est fort agréable.

Advanced New File. D’un raccourci clavier, créer une note dans un dossier qu’on spécifie à la volée. Super pratique quand on sépare ses notes de leurs indexes / Maps of Content comme c’est mon cas.

Advanced URI. L’autre grand plugin étendant les fonctions appellables par URL. Les plugins avancés nécessitent souvent soit l’un ou l’autre, j’ai les deux, voilà.

Auto Card Link. Plusieurs plugins permettent de créer des liens web jolis avec une image d’aperçu, celui-ci est à mon sens le meilleur et le plus fiable.

Auto Filename. Renomme les fiches automatiquement, par exemple avec les premières lignes du texte. Je m’en sers pour pouvoir lire d’un coup d’œil toutes mes captures rapides dans mon dossier Inbox et voir direct ce qui est important au lieu d’avoir une longue succession de dates absconses qui ne me disent rien.

Auto Note Mover. Déplace les fiches selon des règles spécifiées par l’utilisateur. Pour ma part, par exemple, toute fiche donnant une vue d’ensemble d’un thème (Map of Content, structure Zettel) est préfacée par l’émoji 🗺. Auto Nove Mover place alors ces MOCs dans le dossier correspondant sans intervention (donc oubli) de ma part.

BRAT. Sert à utiliser / installer des plugins en bêta ou qui ne sont pas dans le listing officiel. Je suis très prudent avec ce que j’installe, mais il existait notamment un plugin drôlement pratique qui téléchargeait les mises à jour d’extraits CSS mis sur GitHub et qui n’est plus vraiment dispo autrement qu’à travers BRAT.

Calendar. J’écris et maintiens mon journal personnel dans Obsidian, du coup Calendar est une évidence.

Commander. S’il y a un bouton, une commande, un menu, Commander permet d’y ajouter ou retirer des éléments. Pour ma part, je retire quasiment tout pour conserver l’interface la plus épurée possible, mais avoir exactement ce que je veux où je veux.

Copy as HTML. C’est super agaçant de copier du texte qui a l’air formaté en Live Preview et de coller du Markdown à l’arrivée. Copy as HTML me permet de copier le texte rendu avec son formatage.

Custom File Explorer Sorting. J’aime avoir mes dossiers dans l’ordre que j’ai choisi (typiquement Inbox en haut, Attachements en bas) et qui n’est pas l’ordre alphabétique. Ce plugin me permet de choisir exactement mon ordre.

Explorer Hider. Le plugin précédent génère un fichier purement utilitaire (sortspec.md) que je ne veux pas voir. Ce plugin permet de cacher des éléments dans l’explorateur de fichiers.

Fast Text Color. Il y a des tas de plugins qui permettent de colorer le texte, mais la plupart utilisent des balises HTML moches. Ce plugin étend le Markdown à la place, et c’est bien plus élégant.

File Chucker. Permet de traiter rapidement des fichiers par lots : déplacez un fichier, et File Chucker présente le suivant automatiquement dans la liste. Très pratique pour traiter rapidement une Inbox.

File Explorer Note Count. Je veux savoir combien j’ai d’éléments dans mes dossiers (notamment pour suivre le traitement de mon Inbox) et ce plugin ajoute le décompte dans l’explorateur.

File Info Panel. Affiche les métadonnées du fichier concerné (date de création, de modification etc.) dans un panneau à part. (Probablement inutile à l’usage – je m’en servais pour ajouter manuellement les UID par date de mes Zettels, mais tout est maintenant automatisé par Templater)

Fullscreen Focus Mode. Permet de n’afficher qu’une note en plein écran – très utile pour éviter les distractions.

Global Search and Replace. Fait ce qu’il y a écrit sur la boîte.

Heading Shifter. Décale le niveaux de plusieurs titres à la fois dans le sens désiré, pratique pour reformater de vieilles notes.

Hider. Cache les éléments non voulus de l’interface comme le ruban latéral.

Hotkey Helper. Ajoute des tas de petits outils pratiques pour mieux gérer les raccourcis clavier des trois millions de commandes disponibles dans Obsidian. (wall of toggles…)

Iconic. Permet de changer l’icône de n’importe quelle commande (ce que je trouve nécessaire selon le thème employé pour s’y retrouver) et d’en ajouter aux fichiers et dossiers (bons repères visuels).

Image Converter. Automatise à peu près tout et même le reste en termes de gestion d’image (optimisations, alignement…). Pour ma part, je m’en sers surtout pour redimensionner les images à la souris et avoir une commande magique pour effacer un média d’un simple clic droit.

Kanban. Je fais assez peu de kanbans, mais c’est bien pratique pour certains cas d’usage spécifiques, surtout quand on n’a pas besoin de la complexité d’un Canvas.

Lapel. De Cthulhu, bien sûr. Affiche le niveau des titres en marge.

Lineage. Une trouvaille fantastique que je vois peu relayée : Lineage réplique le fonctionnement de Gingko Writer dans Obsidian, c’est-à-dire un mode d’écriture hiérarchique rappelant les mind maps. Allez voir, c’est difficile à expliquer mais évident à piger et super utile.

Lumberjack. Donne une commande pour la capture rapide de notes sous Obsidian. Hyper facile à utiliser (et fonctionne pour ma part en conjonction avec Auto Filename).

Map View. Je tiens donc mon journal personnel dans Obsidian, mais je vis sur deux continents et je voyage parfois totalement ailleurs. Je tiens à savoir j’ai pris une entrée de journal, et Map View permet d’associer simplement une géolocalisation à une note, qu’on peut ensuite voir sur une carte, comme dans toutes les applis de journaling à la Day One.

Minimal Theme Settings. Mon thème, assez lourdement altéré avec des extraits CSS, est basé sur Minimal parce qu’il est plus puissant que le thème de base, mais comme son créateur est le CEO d’Obsidian, je suis sûr d’avoir un environnement qui sera toujours compatible avec les dernières mises à jour. (J’ai longtemps utilisé Blue Topaz à la place, mais il y avait toujours un truc qui cassait quelque part…)

Mononote. La sœur moins connue de la princesse du même nom Mononote assure que chaque note n’occupe qu’un seul onglet. Au lieu d’ouvrir une copie du fichier, Obsidian est forcé de basculer sur l’onglet déjà ouvert, ce qui limite leur prolifération inutile.

New Note Fixer. Règle un comportement agaçant d’Obsidian concernant la création de nouvelles notes en cliquant sur leur lien wiki.

Pane Relief. Des tas de fonctionnalités pour gérer les onglets d’Obsidian, mais surtout, change le comportement de Back / Forward pour fonctionner comme dans un navigateur (avec un historique spécifique à chaque onglet au lieu de l’application entière).

Periodic Notes. Pour tenir mon journal personnel, plus puissant que le module des notes quotidiennes de base.

Persistent Links. Essaie de réparer les liens cassés aux titres ou blocs qu’on a renommés par inadvertance. Marche rarement, mais c’est toujours ça… 

Pin Enhancer. Empêcher de fermer les onglets épinglés (comme il se doit).

Plugin Update Tracker. Surveille les mises à jour des plugins et prévient quand de nouvelles versions sont disponibles, au lieu de devoir cliquer sur le bouton Rafraîchir dans les préférences comme un animal.

Prominent Bookmarked Files. Ajoute dans l’explorateur une icône à côté des fichiers possédant un signet.

Recent Files. Offre un onglet donnant la liste des fichiers récemment ouverts. (Pas sûr d’en avoir l’usage à long terme.)

Settings Search. Permet de rechercher un réglage par son nom dans la forêt que sont les préférences d’Obsidian.

Strange New Worlds. Permet de visiter son réseau de notes par des liens adjacents au fichier en cours ; affiche également le nombre de liens entrants sur les blocs et les titres, permettant d’éviter de les renommer abusivement et de devoir recourir à Persistent Links… 

Style Settings. Indispensable pour personnaliser l’apparence des fonctions compatibles (comme Minimal ou Pane Relief).

Tag Wrangler. Gestion des tags par lots à travers toute une vault donnée.

Templater. Bien plus puissant que le module Modèles de base, Templater permet par exemple d’appliquer un modèle à tout nouveau fichier créé dans un dossier. Je m’en sers pour formater mon journal (et m’offrir la liste de mes géolocalisations les plus fréquentes) ou pour ajouter un identifiant unique à chaque Zettel dans ses propriétés sans l’avoir dans le titre ou autre endroit disgracieux.

Text Transporter. Un autre bijou dont on parle peu : Text Transporter permet de déplacer du texte d’une note à une autre par un ensemble de commandes clavier simples et puissantes. Génial pour envoyer rapidement du contenu capturé à la volée dans les fichiers correspondants.

Trash Explorer. Je ne saurais vous dire combien de fois ce plugin m’a sauvé les miches alors que j’ai effacé par inadvertance un fichier sur mon téléphone (et voulu le récupérer depuis le téléphone).

Underline. Ajoute un raccourci clavier pour la balise soulignement, qui est étrangement absent d’Obsidian.

Pfiou. Si vous n’avez pas pigé certaines lignes de ce qui précède, eh bien, heu… Désolé, et il faut voir aussi qu’Obsidian s’insère dans un paysage assez complexe et riche de tout cet espace du Personal Knoweldge Management avec des théoriciens comme Nick Milo de Linking your Thinking, les hôtes de Zettelkasten.de et beaucoup d’autres.

Règle de base : si vous n’avez pas pigé un truc dans ce qui précède, vous n’en avez pas besoin. Et si vous savez, vous savez.

Et toi, est-ce que tu as fait un dashboard avec Dataview t’indiquant par des carrés de couleur le nombre exact de verres d’eau que tu as bu aujourd’hui ?

2025-03-18T18:28:02+01:00lundi 24 mars 2025|Geekeries|3 Commentaires

Ce week-end, rendez-vous à Saint-Genis-Pouilly (tout près de la frontière avec Genève)

Le festival Les Bulles s’éclatent, historiquement concentré BD, s’élargit à la littérature et propose un focus spécial sur l’imaginaire cette année : je suis ravi d’y entamer mes voyages de printemps, c’est ce week-end, et vous y retrouverez aussi Estelle Faye, Vanessa du Frat, Gabriel Katz et plein d’autres auteur·ices et illustrateur·ices en adulte, jeunesse et BD.

L’entrée est libre, avec tables rondes, théâtre d’impro, un escape game, un bel espace librairie et plein d’autres choses : toutes les infos sur le site !

2025-03-18T19:07:21+01:00mardi 18 mars 2025|À ne pas manquer|0 commentaire

Procrastination podcast s09e13 – Quand l’écriture conduit là où c’est difficile

procrastination-logo-texte

Deux semaines ont passé, et le nouvel épisode de Procrastination, notre podcast sur l’écriture en quinze minutes, est disponible ! Au programme : « s09e13 – Quand l’écriture conduit là où c’est difficile« .

L’écriture apporte son lot de difficutés, mais ici, il ne s’agira pas de difficultés techniques, mais personnelles et psychologiques. Que faire quand l’écriture nous conduit à une zone d’ombre ou d’inconfort intime ?

Estelle met en avant l’importance de se connecter à la raison d’être de son projet et à ce que l’on désire partager à travrs lui ; de plus, la technique aide à maintenir la distance entre le récit et le personnel, et donc à naviguer la création.

Mélanie ne rencontre pas ce problème car ce qu’elle peut concevoir, elle peut écrire, même si c’est très personnel ; sinon, elle n’ira tout simplement pas (parce que pourquoi se faire du mal ?). Elle rappelle aussi que le premier jet n’a pas vocation à être partagé, et que c’est un endroit sûr que l’on peut filtrer par la suite.

Lionel rappelle qu’on a toujours le choix d’aller dans une zone d’ombre ou pas, met l’accent sur la sécurité personnelle, mais avance aussi que si l’inconscient nous amène à un seuil difficile, c’est rarement gratuit. Il peut être possible d’opérer une transmutation cathartique sur le sujet.

Procrastination est hébergé par Elbakin.net et disponible à travers tous les grands fournisseurs et agrégateurs de podcasts :

Bonne écoute !

2025-03-18T19:06:17+01:00lundi 17 mars 2025|Procrastination podcast|0 commentaire

Ma tech stack

Sur une idée beaucoup trop aimable de mon cher camarade Jean-Sébastien Guillermou :

Merci ! Question bête : est-ce qu’il une page ou un article dans lequel tu dresses la liste de tous les logiciels alternatifs que tu utilises ? Je pose la question car tu es toujours d’excellent conseil 🙂

Jean-Sébastien Guillermou (@jsguillermou.bsky.social) 2025-02-24T07:55:30.449Z

Alors, pas vraiment (il y a les propositions détaillées de la boîte à outils de l’écrivain), mais du coup, eh bien, faisons-le, pour ce que ça vaut, et si ça peut intéresser quelqu’un. Et du coup, une version à jour de cette page vivra dorénavant à cet endroit, suivant les diverses évolutions tectoniques de la chose.

Matériel principal

  • Mac Studio (Orca) + MacBook Pro (Narval)
  • iPhone Pro Max (iPhocœna)
  • iPad Pro (Commerson) + Apple Pencil
  • Apple Watch Ultra (Glyph)
  • AirPods Pro + Sony WH1000-XM4
  • Apple Magic Keyboard + Magic Mouse
  • Steam Deck XL + Stream Deck Pedal
  • Serveur Synology
  • Amazon Kindle

Utilitaires et outils généraux

  • Mots de passe et clés d’accès : 1Password
  • Expansion de texte : Typinator
  • Stockage en ligne : iCloud Drive
  • Lanceur : Alfred
  • Automatisation : Bunch + Keyboard Maestro + Raccourcis + BetterTouchTool* + Hazel
  • Code : Coderunner* + Xcode + Gitfox*
  • Time tracking : Timeular avec tracker physique
  • Météo : Carrot Weather + iStats Menu*
  • Navigateur : Safari
  • Transfert de fichier : Transmit
  • Billets, itinéraires, infos pour déplacements : Apple Notes
  • Communication instantanée et visio : Signal + iMessage + Facetime
  • Notes partagées : Craft*
  • Utilitaires divers mais indispensables : Yoink*, Dropzone*, How Long Left, Bartender*, iStats Menus*, Parcel, AirBuddy*, Default Folder X*, TextSniper*, Downie*, Sleeve, CleanShot X*, TripMode*, PDF Squeezer*, Due*, CleanMyMac X*, Mission Control Plus*, Clop*, DisplayBuddy, PopClip*
  • Adblock et confidentialité : NextDNS + ClearVPN* + iCloud Private Relay
  • Santé : Apple Health
  • Vie australienne : Vic Fires + Vic Emergency + Larousse anglais-français + Bites and Stings
  • Navigation : Apple Maps
  • Backups : Time Machine + Backblaze

Administratif

  • Calendrier : Fantastical
  • Contacts : Cardhop
  • Tâches / GTD : OmniFocus
  • Mail : Spark* (renforcé par Apple Mail) géré par iCloud custom domains
  • Tableur : Numbers
  • Communication d’équipe : Slack + Discord
  • Texte : Pages (texte riche) + Typora (Markdown)
  • Budget : YNAB

Média

  • Musique : Apple Music + di.fm (suivi avec MusicBox)
  • Vidéo : VLC + Infuse + Netflix + Crunchyroll + Apple TV+ (suivi avec Trakt + TV Time + Movie Time)
  • Read it later, RSS, newsletters : Readwise Reader
  • Infos : Apple News+ (non disponible en Europe)
  • Podcasts : Pocket Casts
  • Lecture : Readwise + Apple Books + Amazon Kindle + Panels (suivi avec BookTrack)

Aides à la concentration

Écriture

  • Machines à écrire : Freewrite Gen.3 + Micro Journal v5
  • Notes manuscrites : Goodnotes
  • Capture en mobilité : Obsidian (avec Lumberjack et Templater + macros maison)
  • Journal personnel / Idéation / Zettelkasten / Construction d’intrigue / Notes univers : Obsidian
  • Base documentaire : DEVONthink
  • Mindmapping : Mindnode*
  • Concept mapping : Scapple
  • Chronologies : Aeon Timeline
  • Rédaction / correction perso : Scrivener (projets longs) + Ulysses* (projets courts, premiers jets)
  • Dictionnaire / correcteur : Antidote
  • Corrections éditoriales : LibreOffice

Communication / promotion

  • Site web : WordPress avec Avada
  • Microblogging : Buffer + Jetpack Social Notes

Conférences / ateliers

  • Diaporamas : Keynote
  • Satechi Bluetooth Remote
  • À distance : Elgato Ring Light + Elgato Prompter

Musique et podcasting

  • Interface audio : RME Fireface
  • Contrôleurs maîtres : Ableton Push + Akai APC40 mkII
  • Clavier maître : NI Komplete Kontrol S49
  • DJing : NI Traktor S4
  • Enregistrement podcasting : Riverside.fm + Audio Hijack
  • Production / composition / podcasting : Ableton Live
  • Post production podcasting : iZotope
  • Conversion son : Permute*
  • Conversion vidéo : FusionCast
  • Éditeur wave : WavePad
  • Quelques synthés physiques et trop de VST pour être cités ici

Photo

  • Canon EOS R7
  • Lightroom CC + Apple photos
  • Traitement de fichiers par lots : Retrobatch

Toutes les apps marquées d’une astérisque dont disponibles dans l’abonnement Setapp.

2025-03-11T06:50:20+01:00mercredi 12 mars 2025|Technique d'écriture|2 Commentaires

Écrire en musique : SpacewaveCR

Trouver la bonne musique de concentration – le truc suffisamment changeant, présent, mais pas mou au point d’endormir l’esprit (ce qui exclut la musique de méditation) ni intrusif au point de déconcentrer – est une quête subtile (mais rigolote). Plein de propositions dans cet endroit de perdition, et la dernière en date : SpacewaveCR (pour Cosmic Relaxation).

C’est de l’ambient suivant un format qu’on trouve souvent sur les services de streaming : des ribambelles d’albums / singles comportant une piste d’environ 30′ (à peu près assez pour un pomodoro) produits en masse, car ce n’est pas de la musique pour une écoute active, c’est au contraire de la musique à ne pas écouter. Mais ça marche étonnamment bien, et SpacewaveCR est présent partout où de la musique s’écoute (YouTube et tous services de streaming), avec des inspirations généralement Vangelisesques dans les moments planants de Blade Runner (un son qui a façonné une esthétique entière).

Personnellement, c’est Remember qui m’a mis le doigt dans l’engrenage (le morceau fait 32′, ici bouclées pour 2h) :

Et sinon, l’album M-Seven 1 dispo sur les services de streaming dure environ 13h – de quoi tenir une longue journée de travail (même si, à mon sens, on commencera directement à la deuxième piste, la première me semblant trop attirer l’attention). Rien qu’avec sa production, il y a de quoi tenir un an d’écriture à plein temps facile sans se lasser.

2025-03-05T00:35:14+01:00lundi 10 mars 2025|Décibels|0 commentaire
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