L’architecture de ce deuxième tome est bien plus complexe et développée que les thrillers à l’américaine. Que cela ne vous effraie pas, la tension, elle, est constante, atteint des pics réguliers et l’on dévore ce roman aussi bien qu’un page-turner. Parce que nous sommes comme Leon : on a envie de comprendre !
Un article de Joyeux Drille à lire sur son blog.