Couv. service artistique Seuil Image © Bertrand Desprez / Agence VU

Le rythme du livre étant tout de même très élevés, alternant rapidement entre les phases de combat et les phases plus calmes, cela donne peu de place aux pauses. Il devient alors très difficile de se séparer de La Nuit. Les pages s’enchaînent et au bout du compte, alors que les pages défilent, il est de plus en plus rageant de voir arriver la fin.

Une chronique de LuxtExMachina à lire sur IfisDead.