C’est parti pour vingt minutes d’écriture, sans interruption, sur le déclencheur de votre choix. Rappel : vous devez trouver vingt minutes dans la semaine pour écrire, pour donner corps à votre rêve. L’article original à voir ici.
Nous avons placé notre protagoniste dans le feu de l’action en fonction de son enjeu et de son problème. Peut-être s’en est-il tiré ; peut-être a-t-il terminé dans une pire situation qu’au départ. C’est fonction du cheminement de votre plume. (Notons que, sur un récit long, la situation du protagoniste a plutôt tendance à empirer au fur et à mesure ; car si tout est résolu d’un coup, il n’y a plus rien à raconter !) Aujourd’hui, nous allons ajouter à la situation de notre protagoniste un retournement de situation. Positif ou négatif, en lien ou non en rapport avec l’action précédente, à vous de voir ; il peut s’agir d’un nouveau problème immédiat à traiter ou bien d’un élément de long terme. À vous de voir. Prenez garde, toutefois, à ne pas faire de deus ex machina (un secours non annoncé qui vient à point nommé sauver la situation d’un coup de baguette magique).
Un retournement de situation
- Une arme improvisée et inattendue
- Un talent du protagoniste s’emploie de façon inattendue
- Exploitation créative d’une faiblesse de l’adversaire
- Retournement d’un désavantage de la situation actuelle
- Les conditions empirent de façon extérieure et inattendue (météo, un allié meurt ou se retire, etc.)
- Des renforts arrivent (mais trop tard)
- Découverte d’un objet / compétence
- Un élément surgi du passé vient à la rescousse
- Une révélation sur le protagoniste lui donne un sursaut de vigueur (« J’ai promis à mon vieux maître de gagner, je ne peux pas perdre! »)
- Une révélation sur l’adversaire donne au protagoniste un sursaut de vigueur (« C’est moi qui ai tué ta soeur! »)