Aventure maritime et diplomatie. Le heurt du modernisme et de la tradition. Roman de fantasy finaliste de trois prix littéraires, sélection de l’été Sci-Fi Universe.
La Volonté du Dragon
Description
Roman, éd. Critic, 2010 / Réédition collector promotionnelle, éd. Critic, 2019
Finaliste du prix Imaginales 2010 / Finaliste du prix Futuriales 2010 / Finaliste du prix Elbakin.net 2010
Sélection de l’été 2010 Sci-fi Universe
Lionel Davoust est un rénovateur […] Sous sa plume, la fantasy traditionnelle se renouvelle avec talent.
] Jean-Claude Vantroyen, Le Soir.
9/10. La Volonté du dragon est dense, il se lit vite, que dis-je, il se dévore et vous laissera « sur le cul » (passez-moi l’expression) une fois refermé.
– Chaperon Rouge, Psychovision.
9/10. Le langage est maîtrisé, fluide et prenant, au rythme soutenu et parfaitement orchestré, pour un roman de grande qualité.
– Lelf, Imaginelf.
Une reine dont les yeux émeraude lisent l’avenir…
Un enfant-roi, passablement fou, gardien d’un savoir oublié…
Du déroulement de leur partie d’échecs pourrait bien se décider l’issue de la guerre…
Entre les derniers royaumes libres et les forces d’invasion de l’Empire d’Asreth se dresse l’imprenable Qhmarr, petit pays à peine sorti de l’ère médiévale. Gouverné par un roi trop jeune et un conseiller trop confiant, il ne devrait représenter dans le plan de conquête de l’Empire qu’une note de bas de page. Et alors que le généralissime D’eolus Vasteth s’emploie à négocier les modalités d’une reddition diplomatique, déjà, aux portes de la capitale, se presse l’implacable armada… La conclusion du conflit ne fait aucun doute. D’une manière ou d’une autre, Qhmarr passera sous pavillon asrien.
Pourtant, malgré la défaite annoncée, Vasteth découvre des dirigeants qhmarri inflexibles, prêts à confier le destin de leur nation à d’absurdes croyances ancestrales. À travers le défi lancé par l’enfant-roi, ce sont toutes les certitudes du généralissime qui vont se voir ébranlées, tandis que, sur la mer, les soldats meurent, simples pions sur un échiquier qui les dépasse…
Couverture : Cyrielle Alaphilippe.
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