Je suis tellement contrit de ce jeu de mots ridicule… Non, je suis super fier, en fait.
Me voilà revenu d’Épinal après une grande et belle semaine effrénée entre traduction simultanée, rencontres innombrables, débats, signatures, and soooo oooon…
Je suis assez nul pour raconter ce genre d’événement a posteriori, ne serait-ce que parce que je me lancerais dans une interminable litanie de remerciements et de compliments sur tous les gens adorables qu’on rencontre dans ce genre d’événement et que ce genre de chose n’intéresse que les présents à l’événement. Je serais tenté alors de ne citer personne par crainte d’oublier quelqu’un, mais… là, c’est un peu triste. “Quoi, c’est tout ce qu’il a à dire, Davoust?” Non: c’était trop bien, venez l’année prochaine.
Heureusement, il y a un excellent sujet du forum ActuSF qui s’est efforcé de raconter le festival en direct.
Elbakin.net, représenté par la merveilleuse et très dynamique Linaka, une des meilleures rencontres de cette édition, propose aussi un reportage sur deux cafés littéraires et quelques photos.
Je tiens à glisser une mention spéciale pour le professionalisme et la gentillesse de nos amis nord-américains, Robin Hobb, Sean Russell et Tad Williams. Toujours disponibles pour leurs lecteurs même quand ils sont écrasés de fatigue, attentifs, chaleureux, drôles, dynamiques, ce sont des exemples vivants d’humilité et d’ouverture d’esprit, des modèles tant artistiques qu’humains. Chapeau bas.
Et puis il me faut remercier l’organisation du festival, qui a encore une fois veillé à ce que tous se passe bien, les amis modérateurs et traducteurs, les illustrateurs pour un étrange dîner Alien, et puis…
Ça y est, voilà que je recommence.