Déconnexion annuelle pendant les fêtes

Ho ho ho, les fêtes arrivent, et comme tous les ans, c’est le moment où tout le monde panique se ressource en famille. En Australie, comme les saisons sont inversées, décembre ressemble à ça :

Vous ne le voyez pas, mais il fait 26°C

Et ici, c’est donc le summer break : l’équivalent de juillet – août en Europe, ce qui coïncide bien avec l’arrêt habituel des activités, mais j’avoue que c’est quand même un peu bizarre et rigolo d’aller à la plage le 25 décembre.

Not Polynesia
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Bref, c’est la déconnexion annuelle de toute forme de communication numérique, ici, par mail et sur Bluesky, pour environ deux semaines. Retour prévu aux alentours du 8 janvier : bonnes fêtes, et à 2026. 🎉

2025-12-11T01:27:01+01:00vendredi 19 décembre 2025|Dernières nouvelles|0 commentaire

Deuxième édition de la retraite créative « Bâtir sa fabrique à histoires » (organiser ses notes, ses recherches, vaincre la page blanche) (4-8 mai)

Je suis absolument ravi de proposer à nouveau en mai 2026 une deuxième édition de la retraite créative « Bâtir sa fabrique à histoires », qui se tiendra en forêt d’Orléans, chez Parenthèse Tiny House, du 4 au 8 mai prochains. Cette formation me tient beaucoup à cœur, car elle porte sur un sujet que je ne vois pas beaucoup enseigné en France, et pas du tout dans la sphère littéraire : organiser de A à Z son système créatif, mêlant idées, savoir, construction et production

« Comment organiser mes idées ? Par quel bout prendre mon histoire ? Comment capturer tous les projets que je voudrais faire sans me noyer ? »

Ces questions animent quantité d’auteur·ices à tous niveaux d’expérience. L’esprit est une formidable machine à imaginer, mais mettre en ordre ses idées pour les concrétiser est beaucoup plus anxiogène. Heureusement, il existe des outils et des méthodes pour cela : le découvrir, les apprivoiser et, surtout, se les approprier forment l’objet de cette retraite, et ce sur la base des projets de chacun·e.

C’est la mise en pratique de tout ce que j’accumule sur ce sujet depuis 2019, partant de méthodes anciennes et analogiques comme le Zettelkasten, transformées et appliquées aux besoins de la création, et confiant aux outils modernes la plupart de la maintenance. L’idée, c’est de proposer des approches pratiques et simples pour, en un mot comme en cent, vaincre l’angoisse de la page blanche, gérer des projets de toute taille, et donner à ses envies créatives le maximum de liberté d’expression. On peut tout porter avec ces méthodes, de la courte nouvelle à la saga de la complexité de « Les Dieux sauvages » et d’Évanégyre au sens large. (Testé et raffiné au quotidien.)

Mais, contrairement à l’énorme complexité qu’on peut porter avec ces approches, la retraite et les méthodes proposées sont extrêmement simples : pas d’angoisse là-dessus. Je ne vous donnerai pas « la » parole et « la » façon de faire pendant cette retraite, mais les raisons pour lesquelles on peut se noyer dans sa création, au point de la fuir avec angoisse (been here, done that) et comment on peut y remédier avec des approches simples à la puissance décuplée par l’ère numérique. C’est leur application systématique et la mise en commun de toute idée ou notion dans le même environnement qui en débloque la force. Et si je vous proposerai des outils pour commencer, le but est que vous partiez de la retraire avec des principes, personnalisables pour vous, avec les outils que vous souhaitez. 

Pour le dire autrement : 

  • Je ne vais ❗️PAS❗️ vous vendre une vault Obsidian compliquée reposant sur cinquante requêtes Dataview et la nécessité d’apprendre le CSS et MySQL. Faut arrêter avec ça. 
  • Je vais vous exposer un tas d’idées simples, qu’on va mettre en pratique certes à l’ordinateur parce que c’est plus pratique, mais que vous pouvez appliquer avec des carnets et un crayon sans jamais toucher un clavier1.

Et cela se déroulera dans un cadre fantastique, chez Parenthèse Tiny Houseen forêt d’Orléans, au vert et au calme, pour une semaine à consacrer exclusivement à son art (bon, et à aller donner à manger aux moutons aussi parfois, si on veut) dans une tiny house rien que pour soi. Les journées se dérouleront de la façon suivante : 

  • Un matin avec présentations des notions et méthodes et/ou travaux pratiques en commun
  • Une après-midi avec un exercice long de mise en pratique et de réflexion
  • Un temps de débriefing le soir sur les leçons de la journée. 

La formule inclut tout : les repas, le logement et évidemment la formation.

Vous pourriez loger là-dedans.

Et plus en détail :


Attention, la retraite est strictement limitée à dix places. Ne tardez pas pour vous inscrire : il nous a parfois fallu refuser du monde sur des retraites créatives précédentes.

➡️ Le programme complet est disponible ici.

➡️ En savoir plus sur Parenthèse Tiny House


  1. Alors oui, on utilisera Obsidian, mais pas tous les jours et uniquement dans sa version de base, pour deux raisons pratiques qui n’ont rien à avoir avec l’app : pour que tout le monde utilise le même environnement pendant la retraite, et parce que c’est gratuit.
2025-12-11T02:04:32+01:00mercredi 17 décembre 2025|À ne pas manquer|0 commentaire

Recueil de nouvelles et shorts stories, quand le fil rouge est plus qu’un procédé littéraire – table ronde aux Imaginales 2025

Cette table ronde modérée de voix de maître par Jean-Claude Dunyach (qui connaît bien le sujet), avec Bora Chung et mon humble pomme (Granny), sur les univers qu’on développe au long cours sur plusieurs textes, recueils de nouvelles et récits éclatés.

C’était aux Imaginales cette année et, comme toujours, le débat a été capté par ActuSF, à écouter en ligne ou bien en podcast. Ou genre juste là, même :

2025-10-23T11:43:28+02:00lundi 27 octobre 2025|Entretiens|Commentaires fermés sur Recueil de nouvelles et shorts stories, quand le fil rouge est plus qu’un procédé littéraire – table ronde aux Imaginales 2025

Utilisez bien la bonne adresse pour le flux RSS

Le RSS c’est le bien, c’est la vie, c’est reprendre merveilleusement le contrôle de ce qu’on voit (je n’ai pas vu une seule vidéo générée par Sora jusqu’ici alors qu’apparemment ça déferle), or on a attiré mon attention (merci) sur le fait que ça cafouillait un peu pour les flux ici. (Effectivement, il y a eu principalement deux adresses, dont l’une employant l’antédiluvien FeedBurner, désactivé ici depuis).

Assurez-vous donc bien de n’employer que la seule et unique :

➡️ https://lioneldavoust.com/feed

Sinon, vous ne passerez pas.

2025-10-18T06:26:46+02:00mardi 21 octobre 2025|À ne pas manquer|Commentaires fermés sur Utilisez bien la bonne adresse pour le flux RSS

Reconstruction des barres de progrès de La Succession des Âges

Voici l’état actuel de mon cerveau :

Des post-its, des mind maps, et ma pratique depuis deux ans : construire des feuilles qui se déploient dans tous les sens à coup de scotch selon la direction (très matérielle) de mes idées. Et tout ça, ici, juste pour une seule scène (importante et longue, mais quand même). La maison reste ouverte pendant les travaux, ou bien les travaux ouvrent la maison, tout a dépassé les bornes de la raison, yahou.

Reçu quelques petits pincements au cœur concernant la jachère des barres de progrès : certain·es (bon, OK, trois personnes qui se sont signalées, mais hé, salut) y accordent une réelle attention, et ça heurte aussi mon OCD de les laisser comme ça à ne plus rien signifier de concret. Donc : les barres de progrès du livre ont été remises à jour et simplifiées pour refléter autant que possible la réelle avancée du dernier tome de « Les Dieux sauvages ».

Hop. La barre « correction » a disparu puisque cette phase (dégraisser quelque 600 000 signes) est achevée et que mon seul focus à présent est de terminer le manuscrit. Une seconde phase de corrections personnelles aura lieu ensuite sur cette matière, bien sûr, ainsi qu’un passage léger sur ce qui est bouclé pour s’assurer que tout est raccord. Mais on en parlera une fois qu’on y sera et il sera bien temps de faire d’autres maths. Pour l’instant, un seule ligne droite : parvenir au mot « fin ».

Cette barre risque de bouger lentement, parce qu’elle ne reflète plus le volume du manuscrit mais l’avancée de l’histoire. Mon plan est à peu près établi et finalisé, mais je ne jure plus de rien en termes de longueur. En revanche, je sais exactement où je vais, même si c’est très complexe d’y aller. Et quand un temps net du récit a avancé, je sais pouvoir mettre un réel % en plus, même si ça représente 150 000 signes de premier jet (hélas oui, ça arrive, et ça finira sans doute à deux fois moins).

2025-12-11T04:12:59+01:00lundi 20 octobre 2025|À ne pas manquer|Commentaires fermés sur Reconstruction des barres de progrès de La Succession des Âges

Procrastination revient le 15 septembre ! Découvrez le programme de la saison 10

Procrastination, quinze minutes tous les quinze jours sur les métiers de l’écriture et de la narration, revient le 15 septembre pour sa saison 10 ! Incroyable de se dire que cela fait déjà dix ans (ou plutôt, techniquement, que le podcast entre dans sa dixième année).

Pour cette dixième saison, nous sommes extrêmement heureux et honorés d’avoir eu la chance de tenir une conversation au long cours avec Karima Amarouche, ergonome chez France Travail et spécialiste entre autres de l’installation du poste de travail informatique. La plupart d’entre nous, auteur·ices et au-delà, passent un temps considérable devant un clavier et un écran, et il est très facile de s’abîmer bêtement (je peux en témoigner). Tout au long de cette saison, nous allons passer en grand détail les meilleures pratiques à observer pour disposer d’un environnement confortable et sain ! Et, le reste du temps bien entendu, nous continuerons à parler narration, usages du métier, personnages, action et autres.

Encore merci de votre suivi au long cours depuis ces dix années et, comme toujours, si le podcast vous intéresse et/ou vous aide dans votre pratique, n’hésitez pas à le noter favorablement dans votre agrégateur pour aider d’autres à le trouver. Si, en revanche, vous ne l’aimez pas, envoyez-le à votre pire ennemi, ça lui fera les pieds.

Voici à quoi vous attendre dans les premiers mois de cette saison 10 :

  • 10.01, 15 sep : L’ergonomie du poste de travail, avec Karima Amarouche (1)
  • 10.02, 1 oct : 10 ans de podcast, nos apprentissages personnels sur une décennie
  • 10.03, 15 oct : Les thèmes dans la fiction
  • 10.04, 1 nov : Le sensitivity reading (1)
  • 10.05, 15 nov : Le sensitivity reading (2)
  • 10.06, 1 déc : L’ergonomie du poste de travail, avec Karima Amarouche (2)
  • 10.07, 15 déc : Les limites du worldbuilding
  • 10.08, 2 jan : Sortir de son genre
  • 10.09, 15 jan : Les alpha-lecteurs
  • 10.10, 1 fév : L’ergonomie du poste de travail, avec Karima Amarouche (3)
  • 10.11, 15 fév : Manies et traits mémorables des personnages

Disponible comme toujours sur les plate-formes habituelles :

Et comme toujours, n’hésitez pas à nous faire part de vos commentaires, retours, questions sur le forum Elbakin.net ou sur Bluesky : nous revenons sur vos remarques dès que nous avons de quoi faire un épisode entier avec, et nous efforçons de répondre à toutes les interrogations.

2025-10-08T08:24:13+02:00lundi 1 septembre 2025|À ne pas manquer|Commentaires fermés sur Procrastination revient le 15 septembre ! Découvrez le programme de la saison 10

N’ajustez pas vos horizontales (de la barre de progrès de La Succession des Âges)

Je ne sais pas vraiment si les « barres de progrès » dans la colonne à droite sont réellement utiles (dites-le moi en commentaires comme si on était en 1999), mais si elles le sont et que vous les surveillez, vous avez sans doute remarqué que celle de la rédaction de La Succession des Âges est restée bloquée au même endroit depuis des mois.

Cela ne signifie pas que le manuscrit n’avance pas ; je partage régulièrement des points d’étape qui me semblent plus utiles, à ce stade des choses, qu’un chiffre bête et méchant. En effet, l’estimation du volume total de ce livre s’est trouvée régulièrement explosée dans les grandes larges par la marche implacable de la narration, donc, en toute honnêteté, je suis incapable de quantifier précisément « j’en suis là ». Juste : j’ai un plan, j’avance, je progresse vers la fin, mais je ne sais plus rien sur le temps et le volume que ça va représenter. (Pour mémoire, j’ai déjà viré l’équivalent d’un petit roman entier dans le manuscrit.)

Cette estimation numérique est en plus délétère (je me suis moi-même fait prendre au piège de la rédaction comme seule métrique de la progression de la création), car, alors que j’approche quand même du dénouement, je peux passer un jour entier à vérifier la cohérence de fils narratifs en traquant des éléments à travers les quatre bouquins précédents qui représentent quand même de jolies briquettes. Pendant que je fais ça, le texte n’avance pas, mais il avance malgré tout ; ne serait-ce que par l’assurance que ce travail me donne d’avancer sur un terrain ferme, et pas des sables mouvants qui vont m’engloutir à la correction parce que je me suis forcé à progresser contre mes instincts. Mais bon, ça fait pas des mots, vous voyez.

Donc : n’ayez crainte. Par précaution, j’ai d’ailleurs supprimé les pourcentages de ces barres pour l’instant. Ils reviendront peut-être quand le manuscrit sera réellement bouclé, les corrections étant une phase largement plus facile à estimer ; mais même là, je me suis fait avoir (la progression vers la fin du roman révélant quelques corrections supplémentaires à faire, ce qui CASSE LES POURCENTAGES GODDAMMIT). Ça n’est peut-être pas la bonne manière de transmettre cette information. Bref, les choses avancent, elles sont juste inquantifiables en ce moment, indicibles, non-euclidiennes.

2025-10-20T09:37:35+02:00lundi 4 août 2025|À ne pas manquer|Commentaires fermés sur N’ajustez pas vos horizontales (de la barre de progrès de La Succession des Âges)

Vous ne devriez pas avoir à relire tous « Les Dieux sauvages » pour le tome 5 (point d’étape)

Le voyage sur La Succession des Âges poursuit son cours, au rythme où il va, qui est soutenu, mais on peut aussi traverser le Sahara à cloche-pied à un rythme soutenu : cela prendra quand même, comme le refroidissement du fût du canon, un certain temps.

Que se passe-t-il actuellement ? L’un des fils principaux, le fil « porteur » si l’on veut (car le plus dense, et imprimant son rythme au reste de l’histoire) a progressé de façon presque impressionnante : de gros morceaux ont été franchis, et s’il reste du chemin à parcourir (le Sahara, le cloche-pied), il est globalement cartographié, et la destination commence à pouvoir être entrevue. J’en arrive au point où je suis (presque) capable de conserver les étapes à venir dans ma mémoire de travail, ce qui est extrêmement agréable. Non, ce n’est pas encore fini, on est encore loin, Grand Schtroumpf – mais la certitude de bel et bien arriver quelque part est indiscutable.

Ces jours-ci, je me trouve étrangement à faire du worldbuilding. Ce qui n’était pas prévu, mais s’avère nécessaire. On va dans des endroits qu’on n’a jamais vus, et ils sont en fait très nombreux. On voyage dans ce tome. Beaucoup. D’autre part, énormément de courants sous-jacents à tout l’univers d’Évanégyre, notamment sur la nature exacte de la magie, qui se relie à la trame même du réel, dévoilent des strates plus profondes de signification que je n’avais pas anticipées, mais qui m’apparaissent en ce moment comme un tableau incroyablement cohérent. Et c’est l’occasion de les faire ressortir, mais je dois donc bien m’assurer que tout fonctionne bien, y compris sur une quinzaine d’années de corpus antérieur ! (La première publication dans l’univers était « Bataille pour un souvenir », en 2010.)

C’est une des plus grandes joies de ce métier (associées à certaines des plus grandes angoisses, quand on se demande comment diable des éléments disparates collent ensemble) : quand on croit avoir compris ce qu’on fait, mais que le récit, à travers cent pierres lâchées par l’inconscient, révèle un tableau encore plus exquis et cohérent qu’on n’aurait pu le construire sciemment. Cela semble immodeste, mais je peux l’affirmer, car ce processus se déroule hors de ma raison consciente ; je ne suis que l’artisan qui reçoit les briques, s’efforce de les ériger correctement, et ne comprend les subtilités du plan qu’après coup.

Bref : il va y avoir des visions dans ce bouquin assez dingues ; c’est le dernier tome, on lâche les chevaux. J’ai tellement hâte de mon montrer mon vitrail.

Et donc, comme le temps passe encore, que le tome 5 n’est toujours par là, la question m’est posée de plus en plus souvent, et elle est légitime : « sang-diable, je vais devoir relire les quatre tomes pour attaquer La Succession des Âges ? Parce que j’ai un peu tout oublié. »

Clairement, assurément : non. Vous pouvez si vous en avez envie, bien entendu. Mais : de la même façon que vous avez pris Mériane, Leopol, Chunsène, Erwel et les autres dans le cours de leur vie avec La Messagère du Ciel (tome 1), vous prendrez les personnages dans La Succession des Âges là où ils en sont. Si vous avez lu L’Héritage de l’Empire (tome 4), vous savez que le bouquin se termine sur, disons, un point de non-retour pour pas mal de monde.

Le tome 5 entame directement sur les conséquences de ce bouleversement, tout en vous replaçant subtilement (en principe) sur les rails de ce qui va dorénavant compter. Tous les tomes de la série suivent ce schéma, soit dit en passant : je vous invite à y jeter un œil – normalement, le récit vous remet le pied à l’étrier à chaque fois sans exiger de vous une connaissance encyclopédique de la saga remontant à la veille au soir. Léviathan suivait déjà ce principe – certes avec un peu moins d’adresse, expérience oblige. Je n’aime pas les résumés en début de volume (pratiques, mais inélégants), mais je considère indispensable de retisser les enjeux dans l’histoire même (c’est la moindre des élégances). Et pour le faire bien, il faut se soucier aussi bien du lectorat qui dévore les livres à la suite (donc pour qui tout est frais, et qui veut avancer sans se taper un récap) comme celui qui marque des années de pause entre les volumes (ce qui sera le cas, par la force des choses, à la sortie du tome 5). (Je rappelle enfin qu’il existe quelques annexes en fin de volume, avec notamment une liste des personnages, et elles sont disponibles à chaque tome en reflétant les évolutions de la saga.)

Je pense que c’est possible ou en tout cas nécessaire – et le tome 5 ne fera donc pas exception à ce principe.

2025-07-19T08:27:57+02:00lundi 21 juillet 2025|Dernières nouvelles|Commentaires fermés sur Vous ne devriez pas avoir à relire tous « Les Dieux sauvages » pour le tome 5 (point d’étape)

Présentations des Imaginales mises à jour (et un peu de toilettage)

Tous les ans, nous raffinons et faisons évoluer la masterclass des Imaginales ; cette année, nous avons eu la joie de revenir à deux jours complets de formation pour la première fois depuis longtemps, en étant en plus trois à l’animer (avec Sara Doke et Jean-Claude Dunyach). Et donc, comme toujours, les dernières versions mises à jour des diaporamas sont à votre disposition sur la page dédiée en téléchargement libre.

L’occasion, au passage, de réparer apparemment un petit loupé sur la page (la présentation de Sara semblait avoir disparu), et surtout de faire du toilettage ; pour s’adapter à la formule actuelle de la masterclass (et aussi parce que je n’utilise plus PowerPoint), mes vieux diaporamas ont été supprimés, remplacés par les actuels « La mécanique des histoires » et « Proposition d’une méthode de correction », tout en laissant quand même (parce que c’est important) l’ancien « L’auteur dans la chaîne du livre ».

➡️ À télécharger, donc, sur la page dédiée.

Comme toujours, si ces présentations vous ont intéressé et donné envie d’en savoir davantage, soutenez notre travail ! 

  • Si les Imaginales organisent de nouveaux ateliers, aidez l’initiative à vivre : inscrivez-vous !
  • Si vous n’êtes pas disponible, peut-être trouverez-vous à la place un livre qui vous intéresse ?
2025-09-27T10:19:10+02:00mercredi 16 juillet 2025|À ne pas manquer, Technique d'écriture|Commentaires fermés sur Présentations des Imaginales mises à jour (et un peu de toilettage)

Les 15 ans des éditions Critic, en table ronde aux Imaginales

Les éditions Critic ont fêté leurs quinze ans, ce qui est une sacrée étape pour une maison d’édition ! Aux Imaginales 2025, Éric Marcelin et Florence Bury (direction), ainsi que Lou Jan et moi-même avons revisité le parcours, l’optique, l’approche – et bien sûr parlé de l’avenir. Table ronde avec l’excellente modération de Simon Bréan, captée comme toujours par ActuSF, disponible en ligne, en podcast ou même là-dessous :

2025-07-13T10:15:17+02:00lundi 14 juillet 2025|Entretiens|Commentaires fermés sur Les 15 ans des éditions Critic, en table ronde aux Imaginales
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