J’en serais ravi, mais cela ne dépend pas de moi. Il faut qu’un éditeur anglophone soit intéressé, or ils lisent très peu le français, et il faut que les livres leur soient signalés – donc avoir des contacts là-bas, et c’est très difficile d’entrer sur ce marché, même si j’ai eu une nouvelle (« L’Île close ») traduite aux US.
Salut Lionel,
A quand la traduction en anglais ?
Amicalement.
Cyrille.
J’en serais ravi, mais cela ne dépend pas de moi. Il faut qu’un éditeur anglophone soit intéressé, or ils lisent très peu le français, et il faut que les livres leur soient signalés – donc avoir des contacts là-bas, et c’est très difficile d’entrer sur ce marché, même si j’ai eu une nouvelle (« L’Île close ») traduite aux US.