Il n’existe aucun autre regard à t’observer en permanence que le tien. Tu ne peux jamais échapper à ta propre contemplation. Sois celui qui satisfait cette contemplation, à tout instant, ou bien tu le paieras.
(Ces « pensées aléatoires » sont des notes jetées au hasard au fil des ans sur des carnets et archives, et exhumées pour faire vivre le blog pendant une période de connectivité limitée. Toutes les réclamations sont à adresser à mon analyste.)