C’est au Cap Vert, sur l’île de Santiago. Tarrafal est un petit village où se trouve notamment un somptueux restaurant local de poissons donnant sur la mer, et dont l’on n’a pas besoin de se demander la provenance des marchandises. En périphérie s’étend un curieux no man’s land immobilier où des allées arborées ne conduisent nulle part, où des complexes résidentiels inachevés se dressent, leurs murs de béton nu surgissant des broussailles, avec, de temps à autre, un villa terminée et habitée. Symptôme de la crise ? Projet avorté ? Financement retirés ? Ce qui est certain, c’est que le Cap Vert limite au maximum l’implantation des entreprises touristiques étrangères, qui n’apportent en général que des ennuis : dégradation de l’environnement, pollution, ordures, drogue et prostitution, sans réelle contrepartie économique, préférant inciter sa population à prendre ces activités en main.
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5 Commentaires
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Pêcheurs tu parles… des mecs qui glandent sur la plage à côté de bateaux échoués ? Feignants… :p
Tarrafal, bien connue pour son port de pêche et son usine produisant des poêles à frire…
Et Mélanie entra dans la danse, encore un post qui va partir en live 😉
Tu t’attends à quoi ? Des jeux de mots en tarrafale ?
Tarrafalait pas l’inviter Lionel 🙂