Les règles sont ici, mais je les rappelle rapidement : un pomodoro d’écriture non stop sur le ou les déclencheurs qui t’inspirent, t’intriguent, ou même te font partir sur une tangente sans rapport – peu importe, il faut juste écrire.
Cette semaine, après avoir esquissé le besoin fondamental d’un personnage, joué avec un accessoire et un talent, nous allons plonger là où les vraies histoires se font : dans le sang, les larmes, bref, le drame, soit les germes du conflit. Car les gens heureux n’ont pas d’histoire. Ce qui me rend un peu triste. C’est pour ça que j’ai des histoires.
Voici donc une liste de drames, auguste lectorat, joue avec celui qui t’inspire, combines-en plusieurs pour un maximum de hargne, voire colle-les tous dedans, remue, et regarde si ça explose. Yippee !
Un drame
- La mort d’un être cher
- Un emprisonnement de longue durée
- On envahit le pays
- Mutilation, traumatisme physique
- Perdre la raison
- Perdre la mémoire
- Un amour volé
- Une amitié trahie
- Le déshonneur
- Forcé à devenir ce que l’on hait
Qu’est-ce qu’on rigole.
Pas vraiment dans le sujet, mais : « …to enjoy the beauty of being left alone. »
So true, so true…
( 😛 )
😀
[…] faut dépasser ses démons (voir du côté du drame de la semaine dernière ?) pour vaincre […]