Pour mémoire, ces notes sont des extraits bruts de décoffrage de mon système de notes privé, afin d’expérimenter avec une forme différente de partage dans l’esprit des digital gardens.
En fiction, le libre-arbitre des personnages est une illusion puisque l’œuvre existe déjà : le chemin est écrit. C’est la découverte de celui-ci à la lecture / visionnage, reposant sur l’ignorance des événements à venir, qui crée l’illusion que les actes entraînent des conséquences.
Par conséquent, en fiction, l’agentivité tient lieu de libre-arbitre : l’illusion de liberté des personnages peut être simulée par le fait que leurs actions aient des conséquences importantes. Ils sont actants de leur histoire (et c’est pourquoi on les a choisis pour la raconter : elle est intéressante et ils sont partie prenante de leurs événements).
