Encore un article d’autopromo, je sais… Mais il se passe tellement de choses en ce moment que je ne sais plus très bien où donner de la tête : trois projets d’antho qui mûrissent et sortent au même moment, plus deux livres ! Je commence à comprendre pourquoi on s’efforce en général de ne faire qu’un projet à la fois – c’est plus commercialement maximisé, tu vois, Coco. Eh bien, peu importe ; c’est grisant de sauter de l’un à l’autre en même temps et de pouvoir – enfin – parler de tout ce qui mijote depuis parfois des années (même si l’écriture en pâtit forcément un peu). Le travail sur L’Importance de ton regard avance extrêmement bien ; le recueil est presque finalisé et je devrais pouvoir en annoncer le sommaire dans les jours qui viennent.
Mais je voudrais surtout revenir aujourd’hui à La Volonté du Dragon : après tout le travail d’écriture et de correction, c’est fascinant et très enthousiasmant de pouvoir dévoiler de plus en plus le livre jusqu’à sa sortie nationale – qui aura lieu le 30 mars.
Mais avant, le roman sera disponible en avant-première au festival Rue des Livres, qui se tiendra à Rennes les 13 et 14 mars prochains. J’y serai présent tout le week-end sur le stand des éditions Critic, en compagnie (pour les littératures de l’imaginaire) de Thomas Geha, Jean Millemann, Justine Niogret et David Khara. L’événement se tiendra 14 rue Guy Ropartz ; le site est ici, le programme complet là (en PDF).
Par ailleurs, Elbakin.net vient de mettre en ligne, lisible gratuitement, le premier chapitre du livre. Cela se télécharge en PDF à cette adresse ; cela se lit très vite (cinq pages – c’est plus un prologue) et j’espère que cela saura vous donner envie d’en savoir davantage…
C’est à l’occasion d’un partenariat avec les organisateurs du festival Rue des livres que l’ensemble des étudiants de lisaa Rennes ont proposés leurs visions du fil rouge établit pour la 3° édition : « dans quel état j’erre », habiter, voyager, échanger, le mythe de la Tour de babel cf. La bibliothèque de Babel (1941) de Jorge Luis Borges & Pieter Bruegel et bien sur l’image du festival portée par son public… La communication de cette année est signée Sylvain Deffaix étudiant en deuxième année de design graphique & le suivi post production par le studio Bigot (Les éditions de juillet).
Hum, très bon tout ca ! Il tarde à mes dix petits doigts velus et boudinés de se poser sur pluuus de chapitres. Seule la volonté de l’araignée rose en rut me permettra de tenir…