Et voilà, on est rentrés, T’ENTENDS, et même le ciel a PLEURÉ de voir que c’était FINI, et qu’on PARTAIT, parce que c’était TROP BIEN, et qu’on est TRISTES, voilà. Oh, mec, just one year of love is better than a lifetime alone, juste quatre jours de festival c’est déjà bien, tu comprends, il y en a qui n’ont pas pu venir, alors sois content et arrête de nous faire baver. Mais BOUH, c’était une édition fantastique, alors on a le BLUES que ça soit fini, okay ? Même si nous sommes sur les rotules, mais c’est de la belle et bonne fatigue, genre t’as gravi les Andes à pied et là, BAM ! Le Machu Picchu dans ta face ! Tu peux COMPRENDRE ? Hein ?
Non, mais vraiment, sérieusement. Un temps splendide, plein de nouvelles additions (un village plus étendu et un nouveau dôme de la science, notamment), l’ambiance Imaginales chaleureuse qu’on retrouve à tous les niveaux, dans l’équipe, parmi les auteurs, avec les festivaliers, cette édition, des dires de beaucoup, était particulièrement belle. Si vous aimez l’imaginaire et que vous n’êtes pas venu-e parce que c’était « trop compliqué » ou « trop loin », vous avez raté un truc…
Si je ne fais presque jamais de comptes rendus de festivals, c’est parce que j’ai toujours peur d’oublier quelqu’un, de ne pas citer tous les beaux moments partagés, dans la fatigue du retour. Mais il y a eu chaque jour des moments spéciaux, réellement humains, de superbes moments drôles, fins ou juste gentils, que ce soit en débat, au détour d’un livre et surtout avec vous tous qui êtes venus en si grand nombre. Un immense MERCI, aux stagiaires de la Masterclass et à Jean-Claude Dunyach avec qui nous l’animons, à Damien Didier Laurent et au personnel de la bibliothèque, à l’organisation (Stéphanie Nicot, Stéphane Wieser, Elisabeth Del Genini, Arnaud Gentit, Flavie Najean, Marion Bailly, tous les animateurs – avec un salut particulier à Christophe de Jerphanion autour de la magie des bocaux à poisson -, traducteurs, tous les bénévoles, chauffeurs, employés de la buvette, de l’entretien, j’en oublie hélas sûrement), à tous les camarades en débat et au sommaire de l’anthologie, à son directeur et à son illustratrice (Jean-Claude Vantroyen et Hélène Larbaigt), à tous les autres croisés au hasard de la bulle, un grand bravo à Stéphane Platteau (coup de cœur cette année), merci aux JM (et évidemment à ma préférée d’entre eux), des bises à Sara Doke, Nabil Ouali, Estelle Faye, Sylvie Miller, Philippe Ward, aux Deep Ones, tous les autres encore, mes humbles salutations à James Morrow et Chris Priest que j’ai eu l’immense honneur d’accompagner cette année, aux éditeurs, aux libraires qui ont couru partout, à Simon Pinel de Critic qui m’a dirigé de jour en jour…
Et à vous tous, bien sûr, que j’ai eu le plaisir de rencontrer ou revoir, auguste lectorat de longue ou de brève date. Merci, d’être venus, de tenter un nouveau bouquin, de revenir prendre le suivant. C’est splendide de pouvoir partager des histoires, des frissons, des réflexions, des rires (et des horreurs) avec vous tou.tes.
J’en ressors avec des étoiles plein les yeux, une motivation remontée comme un coucou suisse et de nouveaux projets abordés lors de ce festival qui promettent de déboucher sur de très jolies choses. Dans les jours qui viennent, je vais répercuter sur Facebook quelques comptes rendus écrits par des gens meilleurs que moi pour ça, mais, pour commencer, je ne peux que vous recommander le très chouette vlog de Samantha Bailly qui retrace l’ambiance au jour le jour, entre autres le débat que nous avons partagé sur la professionnalisation de l’écriture :
Allez voir le reste et sa chaîne, c’est très sympa et très drôle sur la vie d’auteur !
Les présentations à jour de la Masterclass arriveront sous peu sur la page dédiée, et je vais répercuter aussi les tables rondes auxquelles j’ai eu le plaisir de participer. Les Imaginales sont terminées, mais on va rester un peu dans l’ambiance en attendant l’année prochaine !
MERCI !
Effectivement, c’était vraiment une très belle édition. Les Imaginales, c’est toujours un grand moment !
Nous sommes entrés dans l’ère de l’aquarium, mon ami 😀
Blues here too 😉
dommage qu’on se soit à peine croisé cette année:)
Yep, je t’ai juste aperçu de loin :/
c’est toujours étrange dans cette grande famille spinalienne de voir que d’année en année on a le temps de discuter avec des personnes toujours différentes. Une année, j’ai même eut le temps de dîner avec Sylvie, t’imagines… depuis on se voit en coup de vent… Je me demande s’il n’y a pas un complot des orgas derrière tout ça 🙂
ton partage de blues va pas nous aider à abandonner le notre 😉
Tu as tout résumé ^^ et merci pour le lien ! 🙂
Avec plaisir ! 🙂
C’était géniaaaaaal!!!! Première fois que je venais, vivement la prochaine!!!
Je confirme pour la fatigue équivalente à la grimpette dans les Andes et le Macchu dans la face 😉
Je confirme, une édition exceptionnelle en termes d’ambiance ! Le retour à la réalité de la vraie vie a été plutôt rude…
Bref, plein de rencontres et de moments excellents… Ne nous reste plus qu’à écrire et peaufiner nos textes et nos projets pour l’année prochaine !!
Yep, au boulot 😉
Je m’y remets, justement 😀
C’était vraiment génial !
Encore merci pour cette masterclass, c’était parfait ; pareil pour toutes les conférences qui étaient vraiment intéressantes.
A l’année prochaine !
Merci, très heureux que la masterclass ait convenu à tes attentes et que tu aies passé un bon moment ! À l’année prochaine !
[…] M Lhisbei a été relativement calme avec 2578 photos des Imaginales, balade au château comprise. Le tri est terminé et une dizaine de billets vous feront vivre ou revivre cette très belle édition des Imaginales 2016. En attendant, la magie des Imaginales se retrouvent aussi Lionel Davoust. […]
[…] à la fin du mois dernier, c’était les Imaginales, cette grande et belle fête de l’imaginaire : Jean-Claude Dunyach et moi-même y avons […]