Et voilà, une édition supplémentaire des Utopiales est derrière nous. Comme d’habitude, ce genre d’événement a créé une étrange distorsion spatio-temporelle autour de lui: il m’a fallu par exemple
deux heures pour atteindre le bar de la Cité des Congrès (et non pour en revenir, bande de médisants), le temps de rencontrer tous les copains pas vus depuis au moins six mois, d’échanger trois mots et d’oublier où j’allais. C’est une atmosphère électrique et un peu étrange, mais extrêmement enthousiasmante, bouillonnante d’idées. J’en reviens toujours
gonflé à bloc et plein de projets et d’envies.
C’est pourquoi il est difficile, voire impossible de faire partager un tel événement, surtout quand on le vit de l’intérieur. Il s’agit beaucoup de réunions de travail (au bar) et de discussions entre deux portes avec toutes les personnes qu’on veut voir. On a assez rarement le temps de boire une bière avec les copains, en fait.
Francis, Mélanie, Lucie, j’en oublie certainement, pardonnez-moi, ces trois jours se mêlent dans ma tête comme une nouvelle de Millenium Est… Une table ronde très sympathique, animée par Nathalie Labrousse, avec Fabrice Colin, Johan Heliot et Christophe Lambert sur l’addiction au virtuel et ses effets thérapeutiques… La fondation avec Anne Fakhouri et Zoé d’une école de SF révolutionnaire (entre le café et les toasts)… Et le fantastique concert du Naheulband samedi soir, vu des hauteurs du restaurant…
Il y aurait encore bien des choses à raconter, mais je n’ai pas de photos.
Bras, coudes, genoux.
Je ne dirai qu’un mot (enfin trois) : bras, coudes, genoux !
Je suis quand même un peu déçue par l’absence de jeu de mots idiot dans le titre. Beaucoup, même. Tout fout le camp.
Bras, coudes, genoux, camarades !
Je me demande ce que je vais bien pouvoir raconter sur mon blog étant donné que Mélanie et toi avait excellemment traité de l’essentiel…
Moi j’ai des photos 😀
(Je t’envoie ça après manger ^^)
Pareil, des photos, j’ai ça en stock.
Pourquoi faut-il que ce soit déjà fini ?
Snif
Parce que c’est bon de dormir aussi parfois. >
pas de bras-coude-genoux aux Utopiales pour moi, mais le plaisir de la rencontre dans la vraie vie. c’était court mais chouette.
bise
eh, ben, helas, cette fois-ci, je fais mea maxima culpa, j’avoue avoir voulu rester trop attachee au texte roumain et ainsi respecter la voix et le choix lexical de l’auteur. alors, les « bras, coudes, genoux »…c’est pas que mon francais chancelle, c’est simplement l’expression des fantasmes de l’auteur et des ses desirs exprimes dans de veritables phrases averbales.
bien a vous, coralia telea
ps1-l’absence des accents dans le texte ci-dessus est due au logiciel et non pas a l’ignorance…etait-ce vraiment necessaire de le preciser?!
ps2-auriez-vous, par hasard, l’obligeance de me signaler les autres malheurs arrives au textes traduits? au cas ou je pense repeter l’experience de la traduction en l’absence de l’auteur…
ps3-ceci n’est pas une polemique, c’est simplement une reponse donnee a toutes les questions sous-entendues et explicites dans votre commentaire
a vous de decouvrir une faute de frappe dans le message ci-dessus…involontaire…bien evidemment
Naaan, il faut toucher à rien !
La traduction apporte un charme certain à ce texte, sans mauvais esprit de ma part 🙂