Je devrais être en train d’écrire mais j’ai bouclé deux chapitres aujourd’hui, alors c’est la pause. (Quoi, les chapitres étaient déjà rédigés, je leur ai juste passé un coup de polish? Tut tut, ça compte quand même.)

A mesure que j’avance dans le remaniement de mon super-tanker littéraire qui tient de plus en plus du satellite longue portée en orbite vers Pluton (avec moi dans le rôle de la NASA qui m’arrache le peu de cheveux qui me reste en grognant: « Mais corrigez-moi cette @#! de trajectoire, pourquoi il fait ça, ce naze?), je me heurte à tout un tas de questionnements qui se décantent, ce qui débouchera peut-être sur une entrée (ou douze) sur le boulot de l’auteur, mais pour l’heure, il est le temps de faire un bilan absurde, car la semaine fut riche en événements.

Tout d’abord, les divinités des générateurs aléatoires des régies publicitaires online m’ont encore une fois souri; j’adore mesurer la marche du progrès.

Cool, mais tant qu’on ne pourra pas se PACSer sur Amazon, la symétrie universelle de notre univers ne sera pas respectée, et ça, c’est moche.

Par ailleurs, la synchronicité m’envoie parfois d’amusants messages:

Bah, moi, la mémoire, ça va, mais LDLC, je ne sais pas.

Enfin, continuant ma croisade Facebook pour m’inscrire à des groupes-absurdes-mais-qui-n’ont-pas-totalement-tort-dans-le-fond,
me voilà membre de:
– 22h22
– Je refuse de m’inscrire sur Facebook
– Ceci n’est pas un groupe car ses membres n’ont pas d’inverse
– Je ne dis jamais « des fois, je vais au coiffeur »
– J’avais une idée de groupe parfaite, mais je l’ai oubliée
– Si ce groupe atteint 6 milliards de personnes, tout le monde sera dedans

J’ai en revanche quitté « Pour tous ceux qui rejoignent que des groupes inutiles sur Facebook », ayant perdu ma qualification puisque la très aimable et dynamique équipe d’ActuSF m’a gentiment proposé de rejoindre sa communauté – ce qui, pour le coup, n’est ni inutile, ni absurde! On est cohérent ou on ne l’est pas.

Et, sur cette merveilleuse réflexion d’une abyssale puissance méditative, je m’enfuis. Loin.