Alors on se connecte un beau matin sur son interface d’administration de blog et on trouve ça:
Impossible de ne pas répondre, évidemment (ou alors, il faut répondre n’importe quoi). Voilà qui, sur le principe, est profondément déplaisant.
Du coup, je m’intéresse à WordPress et à la possibilité de fusionner ce blog et mon site. Cela dit, c’est
vraiment pas pour demain: il faut que j’arrive à concilier intellectuellement le gros fourre-tout qu’est cet espace (où je m’amuse principalement beaucoup) avec la vitrine papier glacé
assez statique qu’est mon « vrai » site. Une refonte de ce genre nécessite un temps que je consacre mieux à écrire 🙂
Mais je ne doute pas d’y parvenir avec WordPress. Le fait que ce soit « le nec plus ultra des plates-formes sémantiques de publication personnelle » me donne pleinement confiance. Mince,
quoi, si avec ça je ne deviens pas mentalement efficient et syntaxiquement optimal, je désespère.
Moi j’ai dit que j’étais née le 1/01/01 et que mon code postal était le 00000
Tout comme je mens sur ma situation ou mes goûts à chaque fois qu’on m’appelle pour me vendre quelque chose…
faut dire que j’ai lu ce truc juste après avoir été alertée au sujet de facebook sur le fait que, d’après les nouvelles conditions d’utilisation, nous céderions tous droits sur tout ce qu’on met en ligne… Bref, c’était pas le moment de cherche à me vendre du site web !
Un WordPress, que tu pourrais fourrer en sous-domaine de ton site, c’est ce que j’ai fait et j’en suis bien contente.
(surtout qu’il y a des dizaines de gadgets pour cette plateforme, c’est presque aussi bien qu’un iPhone.)
Moi, j’ai avoué que j’étais en France.
C’est vrai que le procédé est assez désagréable, mais ça va dans le sens général que prend internet. On cherche partout à nous « cibler », et pas mal de gens aiment ça en fait. J’ai même vu un site qui fonctionnait entièrement sur le principe de dire ce qu’on aime et ce qu’on aime pas pour se voir proposer des pages sur ce que les autres dont les gouts sont similaires ont aimé aussi.