Créé en 1986, ce prix attribué par la fondation du même nom (sous l’égide de la Fondation de France) récompense des romans de SF ou fantasy faisant la part belle à l’aventure et au romanesque.
Les finalistes de cette année sont :
- La Nuit sans fin, de M. Chadbourn (Orbit), trad. B. Mariot
- L’Odyssée du temps – 1 de A.C. Clarke & S. Baxter (Bragelonne), trad. L. Carissimo
- Cygnis de V. Gessler (L’Atalante )
- Rien que l’Acier de R. Morgan (Bragelonne), trad. C. Perdereau
- Nuigrave, L. Murail (Robert Laffont/Ailleurs& Demain)
- Le Nom du Vent, P. Rothfuss (Bragelonne), trad. C. Carrière
- L’Empire ultime de B. Sanderson (Orbit), trad. M. Fazi
- Ceci n’est pas un jeu de W. J. Williams (L’Atalante), trad. J.-D. Brèque
Le nom du lauréat sera révélé lors de la cérémonie de remise des prix qui se tiendra pendant le festival Utopiales de Nantes, vendredi 12 novembre à 18h30. Félicitations à tous les sélectionnés !
[…] This post was mentioned on Twitter by Lionel Davoust, Keff. Keff said: RT @lioneldavoust: Sur le blog : Finalistes du prix Julia Verlanger >> http://bit.ly/bYnoQx […]
Une fois de plus, je trouve que ce prix ne ressemble pas à un prix Verlanger, je me fais la réflexion tous les ans. Ils sont où les romans d’aventures vitaminés, qui sont l’esprit même de l’auteur ?
A quoi bon faire un prix à son nom si c’est pour nommer du A.C Clarke et Baxter les 2 auteurs les plus chiants du monde ?
Dans la liste je n’en voix qu’un seul primable : Rien que l’acier de R. Morgan. Le reste ressemble plutôt à une liste de GPI (sauf chadbourn, que je n’ai pas lu).
Je ne saurais dire, ne suivant pas du tout, à ma grande honte, l’actualité ces temps-ci (j’ai le nez dans des essais et des traités…)