Prends garde, Paris, car le petit orque breton monte à ton assaut, il remonte la Seine, s’empêtre à demi dans ses algues mutantes, acquiert trois lésions cutanées à cause de nappes de produits toxiques, mais c’est pas grave, ça le rendra plus facile à photoidentifier, et débarque ce samedi dans une de tes plus grandes librairies. En clair : je serai en dédicace ce samedi 26 novembre à partir de 15h chez Gibert Joseph, en compagnie de David Khara et Stéphane Ghreener (26 bd Saint-Michel, Paris 5e).
D’autre part, autour de Léviathan : La Chute, le site de référence ActuSF propose un mini-dossier avec un entretien à cette adresse, ainsi qu’une chronique du roman ici.
Et en parlant de chroniques, je vous propose de découvrir les suivantes :
- Par Sandrine Brugot-Maillard, sur le blog Mes Imaginaires ;
- Par Allan chez Fantastinet ;
- Par Clara Keunt chez Livres à Lire ;
- Enfin, dans le dernier numéro de La Tête en Noir, périodique critique où participe l’illustre Jean-Hugues Villacampa : une excellente lecture pour choisir le prochain roman qui vous accompagnera, disponible gratuitement en ligne ici (PDF).
Très grand merci à tous les critiques !
Bewaaaaaaaaaaaare !
Et bientôt, une tournée nationale ! Ce qui me permettra de te payer ce coup à boire que je n’ai pu t’offrir aux Utopiales, tu n’étais presque jamais au bar… 🙁
Dingue, hein ? Je devais être malade 😉
Merci pour l’attention. J’espère qu’on aura bien la possibilité de faire ça tranquille sous peu.
Vous y êtes jusqu’à quelle heure ? Parce qu’il y a un salon devant la maison de la Radio où je vais aller passer une bonne partie de l’après-midi, mais passer voir voir me ferait plaisir…
Erf, je suis censé faire autre chose ce jour là. :/ Zut, pour une fois que ça se passe près de chez moi ! En plus je n’ai pas encore le petit dernier de David Khara…
Je crois que je vais tenter de me libérer. ^^
J’espère qu’on pourra t’y voir !
Claaaaaaaaaaaaasse !
Phénomène J a été installé quelques années dans le Quartier Latin, ce qui nous rendait cible des non-visites de Jean Tibéry, car 1° Nous n’étions pas corses et 2° Nous étions libertaires… Et je peux dire que tu exagères car Jacques Chirac “Le bien-aimé des parisiens” comme il aurait aimé se faire appeler, avait promis de se baigner dans la Seine à l’aube de l’an 2000. Malheureusement ses amnésies sélectives ne lui ont pas permis de réaliser ce beau rêve.
D’autre part, je tenais à dire que je ne suis pas l’éditeur de “La tête en noir” (rôle que je laisse bien volontiers à Jean-Paul Guéry, qui nous fait ça très très bien depuis plus de 25 ans…). Nous le distribuons à Phénomène J, l’hébergeons sur notre site, et j’y collabore modestement de manière géniale…
Angers est une ville tellement agréable et sa population est si charmante, je ne peux que te comprendre ! 🙂 Désolé pour le raccourci très saisissant sur La Tête en Noir, je corrige tout de suite…
Joyeux Drille : Il semble que ça dure deux heures, donc je ne peux pas garantir d’être toujours là passé 17h (il faut que je redescende la Seine dans l’autre sens :p )
Alors, je passerai d’abord chez Gibert, c’est sur mon chemin 😉
Et juste pour info, il ne sera pas seul, David Khara et Stéphane Ghreener l’acompagneront, à partir de 15h00.
Merci pour l’info, je n’avais pas le dernier nom: je mets l’article à jour. 🙂
C’est quand même bête : à une semaine près tu avais un barbu roux qui pouvait in extremis passer à ta dédicace te dire tout le mal qu’il ne pense pas de ton livre.
Je tenterai peut-être de passer dire bonjour dans l’après-midi, puisque tu fais tout ce chemin pour nous et pour si peu de temps.
Argh, dommage, j’aurais aimé ne pas en prendre plein la face de sa part 😉
En tout cas ce serait cool si tu peux passer, ça fait un moment !
“le petit orque breton” c’est dangereux de mettre des choses pareilles sur la toile… Ca peut vite prendre, ou alors c’est volontaire, une technique pour supplanter un surnom pire?
Je boycotte les critiques tant que je n’ai pas lu Léviathan… Il me semble que nous regretterons vite le temps où l’ont pouvait te trouver sans personne et discuter cinq mn avec toi pendant une dédicace. (= félicitations)
Merci beaucoup ! Mais bon, n’exagérons pas, je n’en suis quand même pas là (et même si j’en étais là, j’espère que j’aurais toujours cinq minutes !!)