Parce que c’est cool, parce que c’est des copains, parce que ce sont des étudiants de l’ENSAR où j’ai moi-même fait mes classes (comme l’indiquent le jaune et le vert), parce que ce sont les improvisateurs théâtraux avec qui nous racontons moult billevesées, parce que c’est Rennes et parce que l’initiative est drôlement rigolote – des batailles de polochons improvisées dans la rue, avec les passants, sans paroles, juste un oreiller tendu d’une main et, de l’autre, une ouverture des hostilités sans sommation :