Créons du lien, tel un bon petit idéaliste à cheveux longs inscrit au potager communal, car j’en garde bien trop de côté dans l’espoir d’en faire des articles qui ne voient jamais le jour. Et c’est l’occasion aussi de répercuter certaines des bêtises dont seuls Facebook et Twitter profitent, c’est quand même ballot, des bêtises si bêtes. (Merci à ceux qui m’en recommandent également.)
Parlant de potagers, on a déjà causé de l’étude-buzz sur la nocivité des OGM, continuons en signalant deux articles qui démontent la statistique de l’étude et prouvent, de façon didactique, que l’article ne prouve rien.
Les droits des créateurs sur leurs oeuvres sont menacés, nouvelle pièce à verser au dossier : les scientifiques, dont les travaux sont réalisés grâce à l’argent public, diffusent gratuitement leurs publications (ça semble la moindre des choses). Sauf que certaines bases documentaires les vendent à des prix exorbitants. Soit dit en passant, c’est la parfaite démonstration par l’exemple de l’importance du volet moral du droit d’auteur – ici bafoué – alors qu’il n’y a pas de copyright – certains de ces articles sont diffusés sous licence libre. On en reparlera en détail.
Jean-Luc Romero, premier homme politique à avoir fait son coming-out, donne une magistrale leçon au cardinal Barbarin (pour qui l’homosexualité ouvre la voie à l’inceste) à travers cette lettre ouverte, faisant la magistrale et pacifique démonstration que bien des prétendus messagers d’amour de l’Église ne sont guère plus que des coquilles vides protégeant des valeurs desséchées.
Un peu de poésie, alors ! Pour Léviathan : Le Pouvoir, je cherchais une citation précise dans le Cimetière marin de Paul Valéry. Le texte n’est pas dans le domaine public chez nous, mais dans d’autres pays, oui, ce qui le rend accessible en ligne. Aqui esta.
Trop mou ? Je suis en train d’indexer ma collection de musique, alors je voulais me renseigner sur les genres de l’électro. J’ai eu peur.
Et sinon, hey.
ça fait un moment que je veux te le signaler, avec Chromium, tes billets sont difficiles à lire ; il n’y a aucune marge quel que soit le zoom. Avec Firefox, aucun problème.
Malheureusement Chrome (et donc Chromium) ne respecte pas un certain nombre de standards du web. Je ne peux pas y faire grand-chose, mais je vais quand même essayer; quand tu parles des marges, c’est sur les bords gauche et droite?
Oui, les deux.
Mais bon, de toute façon, Firefox est mieux, et je vais repasser dessus, à présent que les bugs avec Linux ont été corrigés.
Tiens, je ne peux plus me connecter sur cet article que j’ai lu tout à l’heure… J’ai changé un paramètre de Chromium, et je voulais voir si l’affichage était meilleur…
T’AS TOUT CASSɧ§§
(J’ai un souci côté hébergement)
It iz réparéd.
Bon courage pour le classement de ta discographie. J’avais toujours adoré le classement du héros de High Fidelity, un rangement par ordre d’écoute 🙂 une sorte d’organisation intime et personnelle. Suite à des influences néfastes dans mon entourage je me suis mis au vinyle, s’il est impossible que j’adopte le classement pré-mentionné pour mes livres je l’ai mis en place pour les vinyles (avec l’effet bonus que, comme je n’achète que les vinyles des groupes que je vois en live et que j’aime, j’ai pour le même prix un historique de mes concerts, la cote étant la date 🙂
J’ai récupéré des marges.
J’aime bien aussi le système de classement de bibliothèque de Jean-Claude Dunyach : mettre côte à côte des auteurs qui ont des choses en commun et auraient eu des choses à se dire 🙂
J’ai vu « le jeu des sabliers » de Dunyach entre « Total recall » de Dick et « Seigneur de Lumière » de Zelazny, ça m’a semblé parfaitement indiqué, librairie suivante entre un Bradbury et un Matheson, presque trop beau pour être vrai. Après j’ai déjà ce classement dans ma bibliothèque interne mais pas vis-à-vis tellement des auteurs, plus vis-à-vis des textes. Avec des répétitions parfois! « Les langages de la peau » de JCD est en pendant avec « Un rêve d’herbe » de Sylvie Lainé (excès du désir amoureux masculin et féminin respectivement, le besoin de possession de l’autre/l’oubli de soi pour l’autre) mais « Les langages » est aussi ailleurs avec « Le langage de la peau » de Mélanie Fazi, placés entre « Le Remède » de Lisa Tuttle, acquisition récente mais oeuvre maîtresse (salle langage/silence, le langage parallère de la sensualité).
(J’ai plein de salles Davoust mais je t’avais déjà décrit mon accrochage à l’occasion de « Gris sourire », d’ailleurs « nuit de visitation », selon le peu que j’en sais, risque de finir accrochée en vis-à-vis avec… suspense…. Prière à Aarluk!)
Donc j’aurais pu être tenté mais non, je l’ai déjà ce système d’une certaine façon 🙂