8 – Ton défaut principal ? Je ne suis jamais satisfait du chemin parcouru. Une fois quelque chose de réalisé, je ne prends pas le temps de célébrer, car je pense toujours au projet suivant, au défi prochain, à la route qui reste à parcourir. Je suis insatiable, il faut que je fasse toujours quelque chose d’autre.
Un entretien proposé par la Ligue de l’Imaginaire, collectif d’auteurs fondé par Patrick Bauwen, Maxime Chattam, Olivier Descosse, Eric Giacometti, Henri Loevenbruck, Laurent Scalese, Jacques Ravenne, Franck Thilliez, Bernard Werber et Erik Wietzel, qui vise à défendre et promouvoir ces littératures. Elle soumet une série de questions, appelant des réponses courtes, à ses membres ainsi qu’à d’autres auteurs invités.
L’entretien est lisible sur cette page.
Le Seigneur des Anneaux, Lionel, le Seigneur des Anneaux… Cela dit tu as parfaitement raison, beaucoup trop de randos. En plus, je l’ai toujours trouvé trop pompeusement traduit.
*soupir de soulagement*
Rhaa merci 😀
Plus jamais je t’offre d’oeuvres d’art, jamais 😀
Je ne savais pas que tu hantais encore les fauteuils de l’ENSBAR. Depuis le temps, tu dois faire quasiment partie du mobilier…
(Hé, c’est très bien les Trois mousquetaires ! On y trouve notamment une superbe description de diner autour d’une poule au pot, un passage injustement méconnu.)
« Depuis le temps, tu dois faire quasiment partie du mobilier… » Je confirme. Diane, 157bis.
Trop fan ! a meilleure interview, je crois.
PS: bouncy, bouncy, bouncy !
PPS: ENSAR on the beach!
ENSAR on the beach hey-hey!
Eh bien oui, j’avoue, la bière est bon marché, l’ambiance chaleureuse et improbable, le mobilier très confortable… et puis très joli aussi :p
Citer Buffy et même pas HIMYM ? Je suis profondément déçue…^^
Tout comme l’absence impardonnable de « Le Clandestin » dans ta liste des films préférés, un grand film trop injustement méconnu On y apprend pourtant comment bruiter une chute d’une voiture uniquement avec des débris de verre…
Sinon, j’ai dévoré cette interview. Elle est géniale !
Pouvais pas tout citer, mais j’y ai pensé, surtout au Clandestin !
Merci Claire, content qu’elle t’ait plu !
Salut Lionel,
Très intéressante ton interview. Cela permet de mieux te connaître.
Je pensais être une des rares personnes à classer » Bienvenue à GATTACA » dans les meilleurs films de SF. En fait, nous sommes au moins 2. ;-))
Par contre, tu as tort en ce qui concerne l’Entreprise E. Il n’est pas le plus beau. C’est le NCC 1701 A sans fioriture technologique le faisant ressembler à un sapin de Noël dans l’espace.
C’est malheureusement un conflit de génération inévitable. En effet, j’ai 8 ans de plus que toi. ;-)) ;-))
Bien amicalement.
Cyrille
Ah, j’aime beaucoup le A aussi. Je reste un fan absolu du premier film ; sa lenteur kubrickienne a été critiquée, mais elle retranscrit justement très bien, à mon goût, la vastitude de l’espace.
Mais bon, le E dans First Contact m’a offert la plus belle bataille spatiale que j’avais vue avant d’être détrôné par Battlestar Galactica, et je n’ai plus aucun esprit critique dès qu’on m’offre une belle bataille spatiale… 😉
On est 4 à classer « Bienvenue à GATTACA » dans les meilleurs films de SF (mon copain et moi :-)).
Pour ce qui est de la femme qui ne lit que des « romans de femme », Harlequin a une collection spéciale pour les thrillers et les romans à suspense. Ann Voss Peterson a écrit pas mal de thrillers pour eux, avant d’aller s’auto-publier chez Amazon…
Belle métaphore sur l’auteur et l’éditeur ! Au fait, que penses-tu des groupes d’écrivains qui se bêta-lisent les uns les autres ?
Cela me paraît très sensé ! Avec Elisabeth et Jean-Claude, nous recommandions justement aux jeunes auteurs à l’atelier d’écriture des Imaginales de se constituer en petits cercles de confiance pour s’entraider et se signaler mutuellement les faiblesses… Mais je pense que ce conseil est valide que l’on cherche à publier sa première nouvelle ou que l’on aie vingt romans derrière soi. Avoir un regard extérieur et estimé ne peut qu’apporter à la qualité finale d’un texte, tant que l’on sait faire le tri de ce qui est cohérent avec son intention originale. Des dizaines d’écrivains de ma connaissance fonctionnent ainsi, je beta-lis pour ma part quelques amis et me fais beta-relire également.