Salutations, auguste lectorat, encore pris entre le four, le moulin et un rendez-vous chez la banque pour s’assurer que je vais bien (j’ai tous les ans l’impression d’aller chez le médecin, en pire : on discute de mes projets – rien qui ne nécessite un emprunt sur vingt ans -, de ma situation – ça va, c’est cool, et vous – et de ma mort – c’est pas prévu, mais merci d’avoir posé la question), je n’ai pas la possibilité d’être brillant aujourd’hui, mais peut-être y parviendrai-je demain, tout est possible, car c’est demain.
Du coup, je vous laisse réfléchir.
Ah, les rendez-vous à la banque… Marre de perdre du temps avec ça, ils veulent juste voir s’ils peuvent te fourguer autre chose, j’ai fini par leur dire que si j’avais besoin d’infos je savais où les trouver mais qu’ils me foutent la paix avec leurs rdv à la noix…
Merci pour le morceau 🙂
LOL, mon banquier m’a appelé hier en pour fixer un RDV de ce genre…
jamais ça avec la mienne…
Pareil que Lau LeiaTortoise Twenteas : ils m’ont eu une fois ou deux, ça s’est révélé chaque fois pour me refourguer quelque chose dont je n’avais pas besoin, ensuite j’ai refusé poliment mais fermement toute demande de rendez-vous « pour faire le point » (et par changer de banque, d’ailleurs, entre autres pour ça).
Tu peux avoir le banquier fan aussi 🙂 David Vincent me racontait que son banquier l’avait reconnu, gros admirateur. Bon Dav a pas eu plus de prêts ou de facilités mais déjà le mec en face l’a pas seriné sur son statut, genre chanteur c’est un métier, ça?
Vous me rappelez l’un à l’autre d’ailleurs, beaucoup de points communs dans le rapport au métier et dans la disponibilité/rapport aux admirateurs.
hihi mon inconscient est plus malin que moi. Je sais pas pourquoi mais la semaine sanglante dans mon musée mental est dans la même salle que la tirade du laquais dans l’Aiglon :
» Et nous, les petits, les obscurs, les sans-grades,
Nous qui marchions fourbus, blessés, crottés, malades,
Sans espoir de duchés ni de dotations;
Nous qui marchions toujours et jamais n’avancions;
Trop simples et trop gueux pour que l’espoir nous berne »
Et bin Lionel, ça je paierai cher pour t’entendre la lire à un concert des Deep Ones!! Ca, ca serait cool.
😉
OMG Nico… Quelle EXCELLENTE idée!
Problème, ce n’est pas tellement de l’imaginaire… Je ne sais pas si ça pourrait s’insérer.
Sinon, ma banquière est cool, elle veut toujours essayer de me faire gagner de l’argent, en général. Le problème, c’est que j’en gagnerais plus si j’en avais plus, mais c’est un problème que je ne suis pas seul à avoir 😉
pas compris le concept alors moi je croyais que le concept c’était des auteurs de l’imaginaire qui lisaient un de leur texte et une de leur influence/inspiration. Si les influences doivent tjrs être dans l’imaginaire je trouve ça super réducteur 🙂 Pis bon tu le cites qd meme en ouverture de la Volonté 🙂 ça suffit comme justification.
Mais ouais l’idée m’a fait tripper, même hors Deep Ones si un jour tu voulais enregistrer des trucs, ça c’est un must pr moi 🙂
Je vais en parler aux camarades. 🙂
c’est surtt que ouah ca pt etre terrible en liaison avec les musicos 🙂 plein de choses possibles je trouve en y réflehissant. enfin bon my two cents