Non parce que ce qui m’intéresse, c’est le traitement de questions de société, vous comprenez, où la multiplicité des points de vue en rencontre fait jaillir une étincelle nouvelle, imprévisible, où un sens second se dégage. Ce hors-texte, cette sémantique du silence, si l’on veut, c’est là que réside tout le discours, toute l’interprétation du lecteur, qui fait de l’oeuvre littéraire un objet intemporel, et…
Quoi, comment ça, mes notes ? Hein ? Euh…
Oui, c’est bien mes notes pour une scène. Bah quoi ? Qu’est-ce qu’elles ont, mes notes ?
*croivez
nan mais la baston, là, c’est bien un symbole de la lutte des classes et du capitalisme, non ? avec en finish l’espoir de lendemains qui chantent et tout le tremblement ?
Mais il se trouve juste que le capitalisme c’est un dragon géant avec des écailles * dorées *, et le prolétariat un über-mage surstaffé.
désuperstructurons ! ^^
*a titré son turning point en cours d’écriture « Début et Fin BASTON », donc va s’abstenir de faire tout long commentaire là-dessus…* (mais elles sont très claires, ces notes, d’abord).
tatata et le plaisir de planquer des trucs à la con en loucedé dans les textes? ^^
Moi j’aime bien quand t’es introspectif, je vote pour un Aarluk II !
Hmmm je pense que ça ne se prête pas à y revenir. Mais niveau introspection, tu devrais être servi dans Port d’Âmes (même s’il n’y a pas que ça, loin de là) 🙂
Ca fait pas un peu commandant Sylvestre, comme philosophie ?
quand je te dis un Aarluk II c’est une nouvelle instrospective, quoique tu me files ma dose tous les deux ans à peu près (Nuit de visitation), et tu te doutes bien que j’ai déjà repéré que la thématique du perso feminin qui troque des souvenirs ^^
Huhu 😉
Hmmm la nouvelle dans l’antho des Imaginales pourrait peut-être convenir au poste. Quoiqu’en version acerbe pour la déconne…
Si si ça ressemble à ce que je pensais….
moi je note que le discours pour aller vendre la SF à la Grande Librairie est prêt. Yapuka être invité.
C’est fabuleux les notes de travail. C’est parfois de l’art brut qui mériterait d’être publié tel quel, la preuve !